AMI - L'assemblée nationale a adopté, au cours d'une séance plénière tenue vendredi soir sous la présidence de M. Lemrabott Ould Bennahi, son premier vice président, un projet de loi sur le don, le prélèvement, la transplantation d'organes et la greffe de tissus humains.
Le gouvernement était représenté par le ministre de la santé, Dr Kane Boubacar qui a souligné dans son intervention devant les députés que le présent projet de loi est le résultat de la situation sanitaire dans notre pays et le développement qu'a connu le méthode d'intervention dans le monde pour le traitement des maladies rampantes, en tenant compte de la spécificité de notre société musulmane.
Il a par la suite précisé que l'absence d'une loi qui organise le don, le prélèvement, la transplantation d'organes et la greffe de tissus humains a conduit, dans certains pays, au trafic des organes et des tissus humains et, dans certains cas, aux crimes les plus odieux contraires à notre sainte religion.
Il a enfin mis en exergue l'importance de ce projet de loi qui constitue un cadre juridique pour la sauvegarde de la vie des malades et le respect de la dignité humaine.
Les députés ont loué, dans leurs interventions, ce projet de loi eu égard à son importance, appelant les ministères de la santé et de l'orientation islamique et les acteurs dans ce domaine à organiser des journées de sensibilisation et de réflexion pour mettre en relief la conformité de la transplantation des organes avec la loi islamique.
Ils ont enfin demandé la mise en place d'une infrastructure nécessaire à ces opérations, soulignant l'importance d'accorder davantage d'intérêt aux hôpitaux nationaux pour la promotion de leur rendement et le maintien de leur propreté.
Le gouvernement était représenté par le ministre de la santé, Dr Kane Boubacar qui a souligné dans son intervention devant les députés que le présent projet de loi est le résultat de la situation sanitaire dans notre pays et le développement qu'a connu le méthode d'intervention dans le monde pour le traitement des maladies rampantes, en tenant compte de la spécificité de notre société musulmane.
Il a par la suite précisé que l'absence d'une loi qui organise le don, le prélèvement, la transplantation d'organes et la greffe de tissus humains a conduit, dans certains pays, au trafic des organes et des tissus humains et, dans certains cas, aux crimes les plus odieux contraires à notre sainte religion.
Il a enfin mis en exergue l'importance de ce projet de loi qui constitue un cadre juridique pour la sauvegarde de la vie des malades et le respect de la dignité humaine.
Les députés ont loué, dans leurs interventions, ce projet de loi eu égard à son importance, appelant les ministères de la santé et de l'orientation islamique et les acteurs dans ce domaine à organiser des journées de sensibilisation et de réflexion pour mettre en relief la conformité de la transplantation des organes avec la loi islamique.
Ils ont enfin demandé la mise en place d'une infrastructure nécessaire à ces opérations, soulignant l'importance d'accorder davantage d'intérêt aux hôpitaux nationaux pour la promotion de leur rendement et le maintien de leur propreté.
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