...pour des raisons de gabegie .
L’expert militaire et politique Mohamed Salem Ould Haiba a appelé dans une déclaration de presse faite mardi à la nécessité de juger Ould Abdel Aziz pour des raisons de gabegie, soulignant que la mauvaise gestion du président de la république n’échappe plus à personne, illustrant ses affirmations par plusieurs exemples dont ci-après quelques-uns.
- Construction d’une institution militaire forte et cohérente, permettant à l’actuelle armée de disposer d’équipements, d’avions, de véhicules ultramodernes, alors qu’elle se déplaçait pendant les périodes passées à dos d’âne, que ses éléments étaient égorgés de sang froid sans posséder de quoi assurer leur propre défense ,
- Mise en place d’un mécanisme nouveau et rationnel, régissant les rapports entre le citoyen et sa patrie, en plus du rejet de l’obstacle psychologique et matériel qui séparait le citoyen de ses dirigeants ; puisque le président de la république a tenu à organiser une série de visites de terrain aux quartiers précaires, hôpitaux, écoles, localités éloignées pour s’informer de près sur la vie des citoyens..
- Le président de la république a donné des instructions pour la construction d’une route reliant les villages les uns aux autres du Triangle de la pauvreté désormais appelé Triangle de l’Espoir, contribuant ainsi au désenclavement de cette zone jamais visitée par un chef d’Etat avant Ould Abdel Aziz, et dont la visite effectuée à ses localités reculées et coupées du tissu socioéconomique national a été marquée par l’inauguration de stations électriques alors que l’éclairage était perçu comme agressif dans ces contrées,
- Mise à terme au pillage systématique des richesses du pays qui étaient dilapidées par les prévaricateurs et les budgétivores sans aucune morale ou coercition,
- Rupture des relations avec l’entité sioniste qui est perçue comme étant l’un des plus hideux visages de l’égarement politique.
Pour ces raisons, Ould Haiba trouve que le président de la république est devenu l’un des moufcidines, puisqu’il a sauvé les pauvres du marécage de l’oubli dans lequel ils pataugeaient depuis la création de l’Etat mauritanien, coupé le chemin devant les politiques qui en faisaient un fonds de commerce et s’en servaient pour grimper dans les fonctions éligibles (parlement, présidence, communes).
« Ould Abdel Aziz a changé les règles de base du jeu, à travers la mise en place de données nouvelles sur la scène, ayant permis au démuni de devenir un citoyen au premier rang et à part entière » a-t-ildit, faisant remarquer que ce sont ces mesures qui avaient agacées les opposants ayant servi sous les précédents régimes, dans tous les postes, sans jamais vouloir changer la triste réalité du dur train de vie des citoyens.
« Puisque le président de la république a décidé de changer cette amère et invivable vérité ; ce qui a eu effectivement lieu avant la fin de son premier mi-mandat quinquennal, sur les fonds propres de l’Etat à lui seul, de sorte à que les réalisations faites en aussi peu de temps n’ont pu l’être pendant 50 ans ; la situation devient insupportable et il devient alors impératif pour nous de bouger rapidement pour mettre terme à cette gabegie qui menace les intérêts de la classe politique, des courtiers (samsara), des suceurs de la sève des démunis, pour répondre aux appels de la majorité de l’opposition mauritanienne qui dirigeait la Mauritaniedepuis des décennies par ses homme politiques, ses chefs de l’Etat, ses ministres, ses directeur, ses espions » dit Ould Haiba.
Et de poursuivre : « Voilà, aujourd’hui Ould Abdel Aziz et son Premier ministre Dr Moulaye Ould Mohamed Laghdaf, se déploient pour faire sortir le pays et les citoyens de leur mainmise…Ils sont mécontents des inaugurations des réseaux d’alimentation en eau potable et d’électrification dans les villages de Bouratt, de la planification et de l’aménagement des Kebbas, du programme Emel 2012, de l’enrôlement biométrique, de la construction de réseaux d’eau potable et d’électrification dans des dizaines de villages du pays. Ce qui a conduit l’opposition à exiger le départ de Ould Abdel Aziz qui a créé une prise de conscience chez les pauvres, sur lesquels les opposants bâtissaient leurs fortunes ».
Evoquant la majorité, Ould Haiba a indiqué que ceux que se vantent d’être des partisans du pouvoir sont plus dangereux pour Abdel Aziz que ses opposants, et que s’il n’aime pas les qualifier d’opposants réels, certains d’entre eux œuvrent pour l’avénement d’un putsch politique sur le pouvoir, à travers leurs mauvaises actions dans l’accomplissement des missions dont ils ont été investies, ainsi que leur vielle passion pour le mensonge et l’escroquerie.
« Ils se considèrent aujourd’hui comme étant les plus proches du président de la république, exploitent en son nom leur influence fictive, alors qu’aucun d’entre eux n’avait voté en faveur de Ould Abdel Aziz au cours des élections, mais au contraire, ils ont escaladé vers les fonctions qu’ils occupent actuellement dont ils s’en servent pour isoler et éloigner le président de la république de ses fidèles éléments, toujours tenaces à son programme politique et qui peuvent contribuer réellement à la concrétisation de ses ambitieux choix nationaux ».
Ould Haiba a demandé enfin au président de la république de renoncer à l’appui des pauvres, à la réalisation des hôpitaux, de couper l’eau et l’électricité, d’affamer les citoyens et de ramener l’Ambassadeur d’Israël en Mauritanie pour pouvoir bénéficier de la satisfaction de l’opposition, pour mettre fin à ses appels incessants à son départ du pouvoir.
L’expert militaire et politique Mohamed Salem Ould Haiba a appelé dans une déclaration de presse faite mardi à la nécessité de juger Ould Abdel Aziz pour des raisons de gabegie, soulignant que la mauvaise gestion du président de la république n’échappe plus à personne, illustrant ses affirmations par plusieurs exemples dont ci-après quelques-uns.
- Construction d’une institution militaire forte et cohérente, permettant à l’actuelle armée de disposer d’équipements, d’avions, de véhicules ultramodernes, alors qu’elle se déplaçait pendant les périodes passées à dos d’âne, que ses éléments étaient égorgés de sang froid sans posséder de quoi assurer leur propre défense ,
- Mise en place d’un mécanisme nouveau et rationnel, régissant les rapports entre le citoyen et sa patrie, en plus du rejet de l’obstacle psychologique et matériel qui séparait le citoyen de ses dirigeants ; puisque le président de la république a tenu à organiser une série de visites de terrain aux quartiers précaires, hôpitaux, écoles, localités éloignées pour s’informer de près sur la vie des citoyens..
- Le président de la république a donné des instructions pour la construction d’une route reliant les villages les uns aux autres du Triangle de la pauvreté désormais appelé Triangle de l’Espoir, contribuant ainsi au désenclavement de cette zone jamais visitée par un chef d’Etat avant Ould Abdel Aziz, et dont la visite effectuée à ses localités reculées et coupées du tissu socioéconomique national a été marquée par l’inauguration de stations électriques alors que l’éclairage était perçu comme agressif dans ces contrées,
- Mise à terme au pillage systématique des richesses du pays qui étaient dilapidées par les prévaricateurs et les budgétivores sans aucune morale ou coercition,
- Rupture des relations avec l’entité sioniste qui est perçue comme étant l’un des plus hideux visages de l’égarement politique.
Pour ces raisons, Ould Haiba trouve que le président de la république est devenu l’un des moufcidines, puisqu’il a sauvé les pauvres du marécage de l’oubli dans lequel ils pataugeaient depuis la création de l’Etat mauritanien, coupé le chemin devant les politiques qui en faisaient un fonds de commerce et s’en servaient pour grimper dans les fonctions éligibles (parlement, présidence, communes).
« Ould Abdel Aziz a changé les règles de base du jeu, à travers la mise en place de données nouvelles sur la scène, ayant permis au démuni de devenir un citoyen au premier rang et à part entière » a-t-ildit, faisant remarquer que ce sont ces mesures qui avaient agacées les opposants ayant servi sous les précédents régimes, dans tous les postes, sans jamais vouloir changer la triste réalité du dur train de vie des citoyens.
« Puisque le président de la république a décidé de changer cette amère et invivable vérité ; ce qui a eu effectivement lieu avant la fin de son premier mi-mandat quinquennal, sur les fonds propres de l’Etat à lui seul, de sorte à que les réalisations faites en aussi peu de temps n’ont pu l’être pendant 50 ans ; la situation devient insupportable et il devient alors impératif pour nous de bouger rapidement pour mettre terme à cette gabegie qui menace les intérêts de la classe politique, des courtiers (samsara), des suceurs de la sève des démunis, pour répondre aux appels de la majorité de l’opposition mauritanienne qui dirigeait la Mauritaniedepuis des décennies par ses homme politiques, ses chefs de l’Etat, ses ministres, ses directeur, ses espions » dit Ould Haiba.
Et de poursuivre : « Voilà, aujourd’hui Ould Abdel Aziz et son Premier ministre Dr Moulaye Ould Mohamed Laghdaf, se déploient pour faire sortir le pays et les citoyens de leur mainmise…Ils sont mécontents des inaugurations des réseaux d’alimentation en eau potable et d’électrification dans les villages de Bouratt, de la planification et de l’aménagement des Kebbas, du programme Emel 2012, de l’enrôlement biométrique, de la construction de réseaux d’eau potable et d’électrification dans des dizaines de villages du pays. Ce qui a conduit l’opposition à exiger le départ de Ould Abdel Aziz qui a créé une prise de conscience chez les pauvres, sur lesquels les opposants bâtissaient leurs fortunes ».
Evoquant la majorité, Ould Haiba a indiqué que ceux que se vantent d’être des partisans du pouvoir sont plus dangereux pour Abdel Aziz que ses opposants, et que s’il n’aime pas les qualifier d’opposants réels, certains d’entre eux œuvrent pour l’avénement d’un putsch politique sur le pouvoir, à travers leurs mauvaises actions dans l’accomplissement des missions dont ils ont été investies, ainsi que leur vielle passion pour le mensonge et l’escroquerie.
« Ils se considèrent aujourd’hui comme étant les plus proches du président de la république, exploitent en son nom leur influence fictive, alors qu’aucun d’entre eux n’avait voté en faveur de Ould Abdel Aziz au cours des élections, mais au contraire, ils ont escaladé vers les fonctions qu’ils occupent actuellement dont ils s’en servent pour isoler et éloigner le président de la république de ses fidèles éléments, toujours tenaces à son programme politique et qui peuvent contribuer réellement à la concrétisation de ses ambitieux choix nationaux ».
Ould Haiba a demandé enfin au président de la république de renoncer à l’appui des pauvres, à la réalisation des hôpitaux, de couper l’eau et l’électricité, d’affamer les citoyens et de ramener l’Ambassadeur d’Israël en Mauritanie pour pouvoir bénéficier de la satisfaction de l’opposition, pour mettre fin à ses appels incessants à son départ du pouvoir.
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