Trois partis de la majorité présidentielle, rassemblés au sein de la Convergence patriotique, en l’occurrence le Mouvement pour la refondation (MPR), leRenouveau Démocratique (RD) et ADIL, ont organisé jeudi dernier une conférence de presse au cours de laquelle ils ont lancé un appel au pouvoir pour prendre les mesures capables d’assurer la tenue d’un dialogue bis, auquel participent tous les acteurs politiques et de la société civile.
Les trois leaders de ces formations politiques, Kane Hamidou Baba du MPR, Yahya Ould El Waghf de Adil et Moustapha Ould Abeidarrahmane du RD ont motivé leur appel par l’absence de suite favorable à leur première initiative lancée fin février dans le même cadre visant à chercher les voies et moyens pour un dialogue renforcé et consensuel.
Ces formations politiques estiment que le pays est actuellement confronté à un ensemble de menaces d’ordre interne et externe qui interpelle toutes ses forces vives à privilégier les voies de la décrispation et de la concertation politique. Ils ont cité à titre d’exemples de ces défis les agitations, la secheresse, l’insécurité au Mali, le terrorisme…ect.
Les partis de la Convergence patriotique se sont félicités au cours de leur rencontre avec les médias de la promulgation des textes législatifs fruits de ce dialogue, par le président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz, appelant les acteurs politiques à y participer pour assurer la stabilité politique de la Mauritanie et le renforcement de la démocratie dans le pays.
Ils ont invité aussi le gouvernement à réintégrer le pays dans la Cedeao. « Cette organisation qui regroupe 15 pays joue un rôle positif et important dans le renforcement de la démocratie et la lutte contre les coups d’Etat militaires et l’intégration économique de la région » ont-ils dit, soulignant que de nombreux ressortissants mauritaniens vivent dans les pays membres de cette organisation. La Mauritanie s’est retirée de la CEDEAO en 1999 pour adhérer à l’Union du Maghreb arabe (UMA).
Le dialogue n’avance pas selon l’APP
L’un des dirigeants de l’APP, Ahmed Sambe Ould Abdallahi, a accusé le régime de ne pas accélérer le processus de mise en œuvre des résultats du dialogue politique, organisé en octobre dernier entre la majorité présidentielle et quatre partis de l’opposition.
Ould Sambe, réputé proche du président de l’APP, Messaoud Ould Boulkheir, a indiqué que les résultats issus de ce dialogue tardent à être appliqués, ajoutant que les rapports du pouvoir avec l’opposition commencent également à changer, du fait que le premier considère que le danger du « printemps arabe est maintenant écarté ». Pour Ould Samba, Messaoud« réagira durement s’il se rend compte que Oud Abdel Aziz essaie de le tromper, comme il l’a fait, dans le passé, pour ses opposants », selon ses propos.
Les trois leaders de ces formations politiques, Kane Hamidou Baba du MPR, Yahya Ould El Waghf de Adil et Moustapha Ould Abeidarrahmane du RD ont motivé leur appel par l’absence de suite favorable à leur première initiative lancée fin février dans le même cadre visant à chercher les voies et moyens pour un dialogue renforcé et consensuel.
Ces formations politiques estiment que le pays est actuellement confronté à un ensemble de menaces d’ordre interne et externe qui interpelle toutes ses forces vives à privilégier les voies de la décrispation et de la concertation politique. Ils ont cité à titre d’exemples de ces défis les agitations, la secheresse, l’insécurité au Mali, le terrorisme…ect.
Les partis de la Convergence patriotique se sont félicités au cours de leur rencontre avec les médias de la promulgation des textes législatifs fruits de ce dialogue, par le président de la République Mohamed Ould Abdel Aziz, appelant les acteurs politiques à y participer pour assurer la stabilité politique de la Mauritanie et le renforcement de la démocratie dans le pays.
Ils ont invité aussi le gouvernement à réintégrer le pays dans la Cedeao. « Cette organisation qui regroupe 15 pays joue un rôle positif et important dans le renforcement de la démocratie et la lutte contre les coups d’Etat militaires et l’intégration économique de la région » ont-ils dit, soulignant que de nombreux ressortissants mauritaniens vivent dans les pays membres de cette organisation. La Mauritanie s’est retirée de la CEDEAO en 1999 pour adhérer à l’Union du Maghreb arabe (UMA).
Le dialogue n’avance pas selon l’APP
L’un des dirigeants de l’APP, Ahmed Sambe Ould Abdallahi, a accusé le régime de ne pas accélérer le processus de mise en œuvre des résultats du dialogue politique, organisé en octobre dernier entre la majorité présidentielle et quatre partis de l’opposition.
Ould Sambe, réputé proche du président de l’APP, Messaoud Ould Boulkheir, a indiqué que les résultats issus de ce dialogue tardent à être appliqués, ajoutant que les rapports du pouvoir avec l’opposition commencent également à changer, du fait que le premier considère que le danger du « printemps arabe est maintenant écarté ». Pour Ould Samba, Messaoud« réagira durement s’il se rend compte que Oud Abdel Aziz essaie de le tromper, comme il l’a fait, dans le passé, pour ses opposants », selon ses propos.
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