Touche Pas à Notre Unité (TPNU) est le mouvement que j’aimerai initier à l’endroit des pouvoirs publics d’une part et des militants du mouvement TPN d’autre part pour amener ces compatriotes à tisser des canaux de communication qui peuvent contribuer à la préservation de ce que tous les mauritaniens possèdent de précieux : La sacralité de notre Unité Nationale pour chacun d’entre nous.
TPN est l’acronyme que se sont choisis des compatriotes soucieux de se rassurer sur l’intangibilité légitime de leur nationalité qu’ils ont pensé bafoué, compte tenu du déficit de communication qui a caractérisé l’une des plus novatrices des opérations d’enregistrement biométrique d’état civil à travers le monde.
TPNU est l’acronyme que nous devons choisir tous pour atteindre notre double objectif : Réussir la mise en place d’un dispositif technique d’identification fiable de chacun d’entre nous dans l’objectivité, l’honnêteté et la sérénité requises d’une part et Préserver comme la prunelle de nos yeux cette unité sacrée qui a créé cette nation, malgré toutes les convoitises‘fraternelles’ de part et d’autre de nos frontières Nord et Sud.
TPN est l’acronyme que se sont choisis des compatriotes soucieux de se rassurer sur l’intangibilité légitime de leur nationalité qu’ils ont pensé bafoué, compte tenu du déficit de communication qui a caractérisé l’une des plus novatrices des opérations d’enregistrement biométrique d’état civil à travers le monde.
TPNU est l’acronyme que nous devons choisir tous pour atteindre notre double objectif : Réussir la mise en place d’un dispositif technique d’identification fiable de chacun d’entre nous dans l’objectivité, l’honnêteté et la sérénité requises d’une part et Préserver comme la prunelle de nos yeux cette unité sacrée qui a créé cette nation, malgré toutes les convoitises‘fraternelles’ de part et d’autre de nos frontières Nord et Sud.
De cette construction théorique pertinente qui veut étendre naturellement TPN à TPNU pour renforcer la mobilisation autour du renforcement du contrôle citoyen ,je me suis trouvé embarqué dans une volonté quasi viscérale d’inviter à une mobilisation générale pour vulgariser, évaluer et corriger le jalonnement de cette opération à laquelle nous tenons tous et qui, à terme est de nature à renforcer l’identité mauritanienne dans son entendement civique et citoyen qui a péché jusqu’ ici par défaut.
Lorsque j’ai jeté un coup d’œil aux commentaires publiés dans les limites de la charte contraignante de CRIDEM, compte tenu du plafond de responsabilité que cette plateforme s’est assignée j’ai eu comme un frisson en imaginant ce qui peut passer à travers les mailles largement ouvertes de plusieurs autres sites qui ne s’imposent aucune déontologie ni même quelque brin de responsabilité susceptible de donner libre cours a toutes les formes d’escalades verbales aussi bien nauséabondes que bestiales et foncièrement irresponsables.
Alors est ce nécessaire d’attendre que des dérapages se produisent par endroits et à répétitions pour se résoudre à favoriser l’émergence d’initiatives qui auraient du avoir lieu bien avant ?
A quoi servent tous ces écrits que font ces bénévoles de la cohésion nationale qui ne cessent d’attirer l’attention de ces décideurs publics pourvus d’une autonomie de décision qui n’existe en fait que dans l’imaginaire de ceux qui leur adressent à travers ces écrits les conseils et suggestions multiples pour anticiper les crises prévisibles ?
A rien du tout, de mon point de vue, parce que le ‘centralisme démocratique’ concept nouveau chez nous, veut que le chef suprême soit à l’origine de toute décision aussi minime soit elle pour se prémunir de ses frasques plus imprévisibles que toutes les crises à venir.
Il est temps que les élites mauritaniennes dans le camp de l’opposition et celui de la majorité prennent leur responsabilité en prenant suffisamment du recul face à des événements qui peuvent nuire à la cohésion nationale et rompre d’avec ce cantonnement classique et stérile dans des positions tranchées, sans commune mesure avec la nature véritable du problème posé. reculant ainsi l’échéance du dénouement escompté au lieu d’accélérer la recherche de solutions idoines.
Gageons que des personnes ressources consensuelles et crédibles monteront au créneau pour démontrer combien tout cela n’est que dialogue entre sourds en imposant l’ouverture de canaux de communications bouchées jusqu’ici !
Lorsque j’ai jeté un coup d’œil aux commentaires publiés dans les limites de la charte contraignante de CRIDEM, compte tenu du plafond de responsabilité que cette plateforme s’est assignée j’ai eu comme un frisson en imaginant ce qui peut passer à travers les mailles largement ouvertes de plusieurs autres sites qui ne s’imposent aucune déontologie ni même quelque brin de responsabilité susceptible de donner libre cours a toutes les formes d’escalades verbales aussi bien nauséabondes que bestiales et foncièrement irresponsables.
Alors est ce nécessaire d’attendre que des dérapages se produisent par endroits et à répétitions pour se résoudre à favoriser l’émergence d’initiatives qui auraient du avoir lieu bien avant ?
A quoi servent tous ces écrits que font ces bénévoles de la cohésion nationale qui ne cessent d’attirer l’attention de ces décideurs publics pourvus d’une autonomie de décision qui n’existe en fait que dans l’imaginaire de ceux qui leur adressent à travers ces écrits les conseils et suggestions multiples pour anticiper les crises prévisibles ?
A rien du tout, de mon point de vue, parce que le ‘centralisme démocratique’ concept nouveau chez nous, veut que le chef suprême soit à l’origine de toute décision aussi minime soit elle pour se prémunir de ses frasques plus imprévisibles que toutes les crises à venir.
Il est temps que les élites mauritaniennes dans le camp de l’opposition et celui de la majorité prennent leur responsabilité en prenant suffisamment du recul face à des événements qui peuvent nuire à la cohésion nationale et rompre d’avec ce cantonnement classique et stérile dans des positions tranchées, sans commune mesure avec la nature véritable du problème posé. reculant ainsi l’échéance du dénouement escompté au lieu d’accélérer la recherche de solutions idoines.
Gageons que des personnes ressources consensuelles et crédibles monteront au créneau pour démontrer combien tout cela n’est que dialogue entre sourds en imposant l’ouverture de canaux de communications bouchées jusqu’ici !
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