Cette question mérite bien d’être posée. En effet on remarque que les mauritaniens sont de plus en plus divisés et ne se regroupent plus que sous des slogans divisionnistes tels que les tribus, les races, les ethnies, les régions etc…
Il ne se passe plus un jour sans que des réunions fondées sur une base divisionnistes ne soient signalées et cela au vu et au su de tout le monde. Certains usent de la couleur de la peau, de la race, de l’ethnie, de la tribu ou de la région pour morceler la société. D’autres continuent maladroitement à utiliser l’Islam, notre symbole d’union en tout lieu réduisant sa dimension morale à une sorte d’instrument de mobilisation de masses derrière leur propre projet.
Cette nouvelle réalité avait disparue il y’a quelques années et plus précisément lors du coup d’état qui avait emporté le pouvoir de l’ancien président Ould Taya. Mais bizarrement la situation actuelle du pays ressemble trop à celle de Ould Taya qui lorsqu’il avait pris le pouvoir un certain 12-12 avait crié à la face des mauritaniens « A bas le tribalisme ».
Il ne se passe plus un jour sans que des réunions fondées sur une base divisionnistes ne soient signalées et cela au vu et au su de tout le monde. Certains usent de la couleur de la peau, de la race, de l’ethnie, de la tribu ou de la région pour morceler la société. D’autres continuent maladroitement à utiliser l’Islam, notre symbole d’union en tout lieu réduisant sa dimension morale à une sorte d’instrument de mobilisation de masses derrière leur propre projet.
Cette nouvelle réalité avait disparue il y’a quelques années et plus précisément lors du coup d’état qui avait emporté le pouvoir de l’ancien président Ould Taya. Mais bizarrement la situation actuelle du pays ressemble trop à celle de Ould Taya qui lorsqu’il avait pris le pouvoir un certain 12-12 avait crié à la face des mauritaniens « A bas le tribalisme ».
Mais quelques années plus tard l’homme avait tout misé sur les tribus, les régions et les ethnies. Si de nombreux mauritaniens avaient un certain 6 aout 2008 vu dans le HCR un mouvement de rectification qui va mener le pays vers la voie de l’unité, aujourd’hui ils constatent que le pays est plus que divisé. La référence aux races, classes, tribus, ethnies et régions étaient monnaies courantes favorisant l’instauration d’un système inédit de corruption et de prédation fatal à notre pays.
De nombreuses personnes aux visées dangereuses veulent profiter de ce faux semblant de liberté pour diviser les mauritaniens mais le rôle de l’état doit être celui d’un régulateur et de rappeler les citoyens. Jusqu’à date récente, nos relations intercommunautaires ont toujours été l’une de nos préoccupations premières.
C’est ainsi que nous avons inlassablement œuvré à les consolider. La Mauritanie est fragile et ne saurait être soumise à de perpétuelles divergences. Des tendances politiques sont en train de la déstabiliser.
Certains parlent au nom de généraux, d’autres au nom de ministres et d’autres encore au nom de personnes « proches du président Aziz ». Cette méthode est bien payante car ceux qui la suivent en tire les dividendes et ceux qui la rejette en payent les frais. Il y ‘a ceux qui croient à la démocratie réelle et à l’avenir du pays. Ceux là sont encore mal vus. Ils son qualifiés de rêveurs.
Il n’est pas acceptable que certains « vendeurs de malheurs » pour se faire une place au soleil touchent à l’unité du pays. La Mauritanie est une et indivisible elle est composé de plusieurs ethnies, races et tribus mais c’est cela qui fait sa force et sa fierté.
Aucun homme et aucun régime ne doit accepter que l’unité du pays reste menacée pour assoir Tout mauritanien, à quelque communauté, race, ethnie, tribu ou région, qu’il appartienne, nourrit l’espoir de voir ce pays uni et radieux pour le bien-être de l’ensemble de ses citoyens, un pays dans lequel, seuls les critères de compétences prévalent, un pays de justice.
Aussi longtemps que l’ensemble de nos concitoyens n’auront pas le sentiment d’appartenir au même pays, nous ne bâtirons jamais la Mauritanie dont nous rêvons. Peut être que ce que nous vivons actuellement est la Mauritanie nouvelle que les pouvoirs publics nous avaient promis.
De nombreuses personnes aux visées dangereuses veulent profiter de ce faux semblant de liberté pour diviser les mauritaniens mais le rôle de l’état doit être celui d’un régulateur et de rappeler les citoyens. Jusqu’à date récente, nos relations intercommunautaires ont toujours été l’une de nos préoccupations premières.
C’est ainsi que nous avons inlassablement œuvré à les consolider. La Mauritanie est fragile et ne saurait être soumise à de perpétuelles divergences. Des tendances politiques sont en train de la déstabiliser.
Certains parlent au nom de généraux, d’autres au nom de ministres et d’autres encore au nom de personnes « proches du président Aziz ». Cette méthode est bien payante car ceux qui la suivent en tire les dividendes et ceux qui la rejette en payent les frais. Il y ‘a ceux qui croient à la démocratie réelle et à l’avenir du pays. Ceux là sont encore mal vus. Ils son qualifiés de rêveurs.
Il n’est pas acceptable que certains « vendeurs de malheurs » pour se faire une place au soleil touchent à l’unité du pays. La Mauritanie est une et indivisible elle est composé de plusieurs ethnies, races et tribus mais c’est cela qui fait sa force et sa fierté.
Aucun homme et aucun régime ne doit accepter que l’unité du pays reste menacée pour assoir Tout mauritanien, à quelque communauté, race, ethnie, tribu ou région, qu’il appartienne, nourrit l’espoir de voir ce pays uni et radieux pour le bien-être de l’ensemble de ses citoyens, un pays dans lequel, seuls les critères de compétences prévalent, un pays de justice.
Aussi longtemps que l’ensemble de nos concitoyens n’auront pas le sentiment d’appartenir au même pays, nous ne bâtirons jamais la Mauritanie dont nous rêvons. Peut être que ce que nous vivons actuellement est la Mauritanie nouvelle que les pouvoirs publics nous avaient promis.
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