Homme en diplomatie, en politique il faut savoir lire entre les mots. Surtout, il faut faire le rapprochement entre les différentes sorties de nos hommes forts pour comprendre l’état d’esprit de tout un chacun. Messaoud s’en le vouloir vient de donner au président Aziz la leçon de son mandat en l’invitant à se revoir et à faire œuvre de transparence.
Pour ceux qui se souviennent encore, Messoud est le seul ami du président qui n’arrête de nous chanter sa sincérité et qui jusque là à toujours évité les grandes questions malgré son statut de président de l’assemblée nationale et d’opposant historique.
Interrogé plusieurs fois sur le recensement et les élections, il répondait par la simplicité en affirmant qu’il n’en connaissait pas assez pour en parler. Mais hier, l’homme s’est laissé aller.
Pour ceux qui se souviennent encore, Messoud est le seul ami du président qui n’arrête de nous chanter sa sincérité et qui jusque là à toujours évité les grandes questions malgré son statut de président de l’assemblée nationale et d’opposant historique.
Interrogé plusieurs fois sur le recensement et les élections, il répondait par la simplicité en affirmant qu’il n’en connaissait pas assez pour en parler. Mais hier, l’homme s’est laissé aller.
En affirmant que pour le recensement « il faut revenir à des choses claires », Messoudrejoint les milliers de voix qui voient en cette opération un enroulement dont l’objectif n’est ni plus ni moins qu’une violation totale du droit de certains citoyens sur fond de racisme et d’ethnocentrisme. Poursuivant sous l’effet des bains de foules, l’homme fort de l’APP à remis en question la date des élections législatives et municipales pour laquelle le président Aziz en personne à affirmer être catégorique sur l’échéance.
En outre, tous ceux qui se vantaient de la question des Gazra pour faire la promotion du locataire de la maison brune devront avoir constamment à l’esprit qu’elle persiste et n’arrête de poursuivre le légendaire Méssaoud. Ce qui revient à dire que rien n’est fait en réalité.
Car l’administration spécule toujours sur cette question et plus grave, elle serait à la solde du régime et non des citoyens. Pour terminer, il à montrer que c’est l’armée qui tient encore les manettes de notre souveraineté et comme le tenue militaire ne peut bâtir un d’état de droit,Messaoud demande à son ami Aziz de se séparer de ses frères d’armes ou d’aller les tenir compagnie dans les casernes.
Pour les observateurs de notre ring, le revirement annonce la reprise du bâton de pèlerin. Mais, que pensera et fera le président Aziz de son ami qui remet en doutes ses meilleurs projets ? SiAziz est celui qu’on décrit comme hostile aux critiques, l’avenir du dialogue politique est sur un champ de combat.
Cissé Housseynou Birama
L’avocat du peuple et le plus proche conseiller
En outre, tous ceux qui se vantaient de la question des Gazra pour faire la promotion du locataire de la maison brune devront avoir constamment à l’esprit qu’elle persiste et n’arrête de poursuivre le légendaire Méssaoud. Ce qui revient à dire que rien n’est fait en réalité.
Car l’administration spécule toujours sur cette question et plus grave, elle serait à la solde du régime et non des citoyens. Pour terminer, il à montrer que c’est l’armée qui tient encore les manettes de notre souveraineté et comme le tenue militaire ne peut bâtir un d’état de droit,Messaoud demande à son ami Aziz de se séparer de ses frères d’armes ou d’aller les tenir compagnie dans les casernes.
Pour les observateurs de notre ring, le revirement annonce la reprise du bâton de pèlerin. Mais, que pensera et fera le président Aziz de son ami qui remet en doutes ses meilleurs projets ? SiAziz est celui qu’on décrit comme hostile aux critiques, l’avenir du dialogue politique est sur un champ de combat.
Cissé Housseynou Birama
L’avocat du peuple et le plus proche conseiller
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