15-03-2015 11:11 -

Le Quotidien de Nouakchott - J’ai suivi avec peine votre intervention (comme l’arbre qui cache la forêt) sur le plateau de laTVM1, donner des consignes de bonne conduite pour l’utilisation et la commande des produits pharmaceutiques, devant la journaliste avec beaucoup d’incohérences.
- Mon directeur, avez-vous oublié le sort réservé aux médicaments octroyés à une ONG de bienfaisance de la commune rurale de Tachott au Guidimakha, disparus dés qu’ils ont quitté l’aéroport et mis à votre disposition pour contrôle ?
-Quatre (4) caisses avec 35 263 doses pour un montant de 3 363,95 euros, de laquelle s’ajoute le détail du contenu de la liste. Cette livraison a un caractère de donation sans aucune valeur commerciale, offerte par une ONG Espagnole avec un certificat de livraison à ma disposition.
- Monsieur le directeur, notre première rencontre, vous avez exigé une lettre du DRAS de Sélibabi en me disant que les médicaments sont de trop pour la seule commune de Tachott. La réponse du DRAS ne s’est pas fait attendre, comme quoi les produits ont un destinataire, leur retenue à Nouakchott ne s’explique pas ?
Il faut après contrôle, les envoyer aux intéressés ou au DRAS qui convoquera à son tour, les ayants droit à Sélibabi pour consigne d’utilisation et par la suite leur demander une partie de ces produits pour secourir d’ autres communes ou l’hôpital régional de Sélibabi suivant leur vouloir, tout ceci par conversations téléphoniques, vous avez rejeté cette proposition ????
-Monsieur le directeur, quand la sénatrice Mint Abdelmaleck s’est rendue enEspagne, dans le cadre de ses fonctions de sénatrice pour l’étranger, les émigrés de cette commune de Tachott résidant en Espagne l’ont interpelée sur les mobiles de la retenue du lot de médicaments sans prétexte élucidé ???
- Une fois de retour en Mauritanie, avec mes coordonnées téléphoniques, remises par les soins des émigrés, elle me convoque au sénat pour organiser une rencontre tous les trois c'est-à-dire l’élu de Sélibabi, elle-même et moi pour aller en groupe vous écouter monsieur le directeur des laboratoires et pharmacies.
D’après elle, sa demande a été déclinée par son collègue du Guidimakha. Pour quoi ? C’est aussi une question pertinente ???
-Monsieur le directeur, dés notre arrivée, la sénatrice a introduit l’objet de notre visite. Il faut d’abord saluer l’intégrité de cette grande dame, qui a utilisé un langage constructif.
Elle vous a même demandé si vous avez envoyé quelques médicaments au centre hospitalier de Nouakchott ou tout autre service public sanitaire, puisque les produits sont avec vous il y a déjà plusieurs mois, bien que cela ne relève que de la compétence des destinataires.
Votre réponse a été négative en nous promettant que tout sera réglé dans les brefs délais et de restituer aux destinataires leurs médicaments après avoir contacté le ministère ???
-Monsieur le directeur, quelques semaines passèrent sans aucune réaction de votre part, je me suis fait accompagner d’un témoin qui est toujours présent àNouakchott, venir vous manifester mon impatience, après avoir rencontré le ministre de la santé de l’époque. Ce qui vous a bouleversé jusqu’à me répondre : allons ensemble au ministère, tous embarqués dans ma voiture, c'est-à-dire les trois (le témoin, vous et moi-même).
A peine au virage de l’hôpital national en direction du ministère, votre réaction était d’arrêter la voiture en déclarant : c’est votre élu de la chambre basse qui m’a induit en erreur en le citant nominativement (bizarre un élu qui contrecarre l’intérêt de ses électeurs surtout en matière de santé publique, c’est quand même bizarre???), l’accompagnant témoin peut le confirmer.
Monsieur le directeur, malgré votre déclaration sur l’honneur de restituer ces produits pharmaceutiques une fois le secrétaire général de votre ministère avisé (ce qui veut dire aussi beaucoup de choses), les médicaments sont toujours dans vos secrets ???
-Monsieur le directeur, la rencontre du FNDD au siège de l’UNAD après le coup d’Etat où le vent était encore variable, on était tous là politiquement, je vous ai interpelé que tôt ou tard ces médicaments doivent arriver à destination et qu’on ne relâchera pas. BRULER EST FACILE COMME LES VENDRE AUSSI ???
S’agissant toujours de ces braves émigrés, j’interpelle aussi le directeur de l’hydraulique qui nous a imposé des démons (ennemi du genre humain) pour une surfacturation d’eau.
-Monsieur le directeur, je profite de l’occasion pour vous interpeller également, bien que le château d’eau de Tachott avec toutes installations comprises, entièrement financé par ces mêmes émigrés en Espagne, cette population souffre aujourd’hui d’une surfacturation.
Les robinets ne coulent pratiquement plus et les démons que vous avez chargé de la facturation, continuent d’exploiter des pauvres innocents du bien de leurs braves fils (exp : le mètre cube d’eau coute à Tachott 250à 300 UM).
En tout cas, la population souffre de cette pénurie. Le bien mal acquis ne sera pas de grande utilité, la vie est courte, nous serons tous demain devant le Seigneur des mondes « INCHAALLAH. »
Seydou Silly Kamara
Ressortissant de la commune rurale de Tachott
- Mon directeur, avez-vous oublié le sort réservé aux médicaments octroyés à une ONG de bienfaisance de la commune rurale de Tachott au Guidimakha, disparus dés qu’ils ont quitté l’aéroport et mis à votre disposition pour contrôle ?
-Quatre (4) caisses avec 35 263 doses pour un montant de 3 363,95 euros, de laquelle s’ajoute le détail du contenu de la liste. Cette livraison a un caractère de donation sans aucune valeur commerciale, offerte par une ONG Espagnole avec un certificat de livraison à ma disposition.
- Monsieur le directeur, notre première rencontre, vous avez exigé une lettre du DRAS de Sélibabi en me disant que les médicaments sont de trop pour la seule commune de Tachott. La réponse du DRAS ne s’est pas fait attendre, comme quoi les produits ont un destinataire, leur retenue à Nouakchott ne s’explique pas ?
Il faut après contrôle, les envoyer aux intéressés ou au DRAS qui convoquera à son tour, les ayants droit à Sélibabi pour consigne d’utilisation et par la suite leur demander une partie de ces produits pour secourir d’ autres communes ou l’hôpital régional de Sélibabi suivant leur vouloir, tout ceci par conversations téléphoniques, vous avez rejeté cette proposition ????
-Monsieur le directeur, quand la sénatrice Mint Abdelmaleck s’est rendue enEspagne, dans le cadre de ses fonctions de sénatrice pour l’étranger, les émigrés de cette commune de Tachott résidant en Espagne l’ont interpelée sur les mobiles de la retenue du lot de médicaments sans prétexte élucidé ???
- Une fois de retour en Mauritanie, avec mes coordonnées téléphoniques, remises par les soins des émigrés, elle me convoque au sénat pour organiser une rencontre tous les trois c'est-à-dire l’élu de Sélibabi, elle-même et moi pour aller en groupe vous écouter monsieur le directeur des laboratoires et pharmacies.
D’après elle, sa demande a été déclinée par son collègue du Guidimakha. Pour quoi ? C’est aussi une question pertinente ???
-Monsieur le directeur, dés notre arrivée, la sénatrice a introduit l’objet de notre visite. Il faut d’abord saluer l’intégrité de cette grande dame, qui a utilisé un langage constructif.
Elle vous a même demandé si vous avez envoyé quelques médicaments au centre hospitalier de Nouakchott ou tout autre service public sanitaire, puisque les produits sont avec vous il y a déjà plusieurs mois, bien que cela ne relève que de la compétence des destinataires.
Votre réponse a été négative en nous promettant que tout sera réglé dans les brefs délais et de restituer aux destinataires leurs médicaments après avoir contacté le ministère ???
-Monsieur le directeur, quelques semaines passèrent sans aucune réaction de votre part, je me suis fait accompagner d’un témoin qui est toujours présent àNouakchott, venir vous manifester mon impatience, après avoir rencontré le ministre de la santé de l’époque. Ce qui vous a bouleversé jusqu’à me répondre : allons ensemble au ministère, tous embarqués dans ma voiture, c'est-à-dire les trois (le témoin, vous et moi-même).
A peine au virage de l’hôpital national en direction du ministère, votre réaction était d’arrêter la voiture en déclarant : c’est votre élu de la chambre basse qui m’a induit en erreur en le citant nominativement (bizarre un élu qui contrecarre l’intérêt de ses électeurs surtout en matière de santé publique, c’est quand même bizarre???), l’accompagnant témoin peut le confirmer.
Monsieur le directeur, malgré votre déclaration sur l’honneur de restituer ces produits pharmaceutiques une fois le secrétaire général de votre ministère avisé (ce qui veut dire aussi beaucoup de choses), les médicaments sont toujours dans vos secrets ???
-Monsieur le directeur, la rencontre du FNDD au siège de l’UNAD après le coup d’Etat où le vent était encore variable, on était tous là politiquement, je vous ai interpelé que tôt ou tard ces médicaments doivent arriver à destination et qu’on ne relâchera pas. BRULER EST FACILE COMME LES VENDRE AUSSI ???
S’agissant toujours de ces braves émigrés, j’interpelle aussi le directeur de l’hydraulique qui nous a imposé des démons (ennemi du genre humain) pour une surfacturation d’eau.
-Monsieur le directeur, je profite de l’occasion pour vous interpeller également, bien que le château d’eau de Tachott avec toutes installations comprises, entièrement financé par ces mêmes émigrés en Espagne, cette population souffre aujourd’hui d’une surfacturation.
Les robinets ne coulent pratiquement plus et les démons que vous avez chargé de la facturation, continuent d’exploiter des pauvres innocents du bien de leurs braves fils (exp : le mètre cube d’eau coute à Tachott 250à 300 UM).
En tout cas, la population souffre de cette pénurie. Le bien mal acquis ne sera pas de grande utilité, la vie est courte, nous serons tous demain devant le Seigneur des mondes « INCHAALLAH. »
Seydou Silly Kamara
Ressortissant de la commune rurale de Tachott
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