ALAKHBAR (Nouakchott)- Le député de la majorité présidentielle, Mohamed Ould Kharchy a précisé lors d'une intervention devant les parlementaires que la torture n’existe pas sous le régime actuel et les prisons sont ouvertes aux observateurs qui désirent voir ce qui s’y passe.
Mohamed Ould Kharchy avait pris la parole à l’occasion du vote d’un projet de loi permettant la ratification du protocole facultatif relatif à la Convention contre la torture physique ou psychologique.
Le député n'a pas terminé son mot, sans avoir accusé l’opposition mauritanienne de se servir des étudiants et des élèves comme bouclier humain pour acquérir des privilèges politiques et faire comme si le pays était à feu et à sang.
Mohamed Ould Kharchy avait pris la parole à l’occasion du vote d’un projet de loi permettant la ratification du protocole facultatif relatif à la Convention contre la torture physique ou psychologique.
Le député n'a pas terminé son mot, sans avoir accusé l’opposition mauritanienne de se servir des étudiants et des élèves comme bouclier humain pour acquérir des privilèges politiques et faire comme si le pays était à feu et à sang.
Cependant, plusieurs dizaines d'étudiants ont été blessés et arrêtés plusieurs fois par les forces de police pendant les grèves qui ont secoué l’Université de Nouakchott et l’Institut supérieur des études et des recherches islamiques (ISERI), ces derniers mois, ont témoigné avoir été torturés par la police. (Voir ici)
Mais pour Ould Kharchi, ce n'est pas le régime et non la police qui torturent les étudiants. «C'est plutôt les politiques qui les manipulent et les incitent à une révolution imaginaire».
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