Réaction à la réponse d'Ely Cheikh M'Bareck à Sidi Ould Lahah.
Mohamed Ould Noueyguedh est actuellement la cible d'une vive campagne de dénigrement, de diffamation. Une première fois par l’intermédiaire du Quotidien de Nouakchott, puis via Cridem, un certainEly Cheikh MBareck verse sans aucun scrupule dans l’intox de la pire espèce avec le dessein de nuire à la réputation du GroupeNoueyguedh et particulièrement de son président.
Un acharnement évident qui prend l’ampleur de lynchage médiatique aux relents de chasse aux sorcières. Un premier brûlot, auquel j’ai réagi ainsi que Sidi Ould Lahah à travers un droit de réponse. Mais, ce n’est pas fini. Comme pour avoir le dernier mot, Ely Cheikh MBareckreprend sa plume pour déverser une nouvelle fois son venin.
Il n’hésite pas à monter un scénario diabolique dans un papier qui n'est en fait qu'un tissu de mensonges. Et rebelote ! L’Ordre du Caniveau reprend du service.
On a eu droit à un étalage de tout ce qu'il y a de pire dans ce qui s’avère être le degré zéro du journalisme: invectives, manque de respect, impolitesse, agressivité, stigmatisation. C'est effarant cette haine, ce mépris, cette hargne malveillante et ce total manque d'éthique professionnelle! A-t-on déjà vu pareil traitement à un grand banquier de la place ? Ils sont payés combien ces pseudo journalistes pour salir, dénigrer et donc tenter de décrédibiliser de respectables citoyens ?
Les lecteurs de Cridem ne doivent pas se prêter, par empathie, à des jugements définitifs, sans preuve ni juge, rendant inaudible la défense de la personne indûment mise en cause. Le suivisme, adepte de la méthode du copier-coller et du mimétisme, a tendance à alimenter les fausses certitudes de bien piètres journalistes. Trop c'est trop... Et cela devient suspect. Trop de pseudo « affaires » mal imbriquées et contrefaites dans le seul et unique but de nuire. Pourquoi cet acharnement ?
Comment peut-on croire à une coïncidence, à une spontanéité avec une telle suite de brûlots n’ayant d’autre sujet que le groupe Noueyguedh ? Mêlant comme de coutume rumeurs, calomnies et diffamation ?
Votre agressivité envers un homme que vous ne connaissez pas, à qui vous n’avez jamais demandé son avis par rapport « aux questions qui vous préoccupent », si tant est que vous êtes animé de bonne volonté, ne peut être que suspecte...
Le ton personnel, que dis-je, l’aveu même de l’acharnement « je n’aurais de cesse de raviver vos mémoires courtes pour que vous sachiez –une fois pour toutes… » en disent long sur l’intention d’Ely Cheikh MBareck. Il est évident que ce dernier en fait une affaire personnelle, ce qui est rédhibitoire aussi bien pour un journaliste que pour un politique.
Et ce d’autant plus que, pour toute enquête journalistique, la méthode contradictoire requiert que le reporter prenne contact avec tous les protagonistes du dossier à traiter. Faute de quoi, cela risque de devenir une batterie de tirs à sens unique. Après un suite de brûlots particulièrement virulents, cela devient de la variation sur le même thème. Comme si l’auteur, Ely Cheikh MBareck, n’a rien d’autre à faire ! A ses risques et périls!
Mohamed Yahya Ould Hamoud
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