La situation politique nationale est dominée depuis un certains par les avis mitigés de l’opposition politique quant à la gestion de la destinée du pays.
Une opposition centriste qui a accepté la concertation avec le pouvoir et qui réclame des concessions au Président de la République tout en préservant les acquis et une autre qui se radicalise et demande tout simplement le départ du Président de la République son excellence Mohamed Ould Abdel-Aziz.
Face à cette situation, les citoyens doivent mettre en avant, l’intérêt national qui prime sur toute autre considération. La Mauritanie n’a pas besoin d’une place Tahrir car il n’ya pas de place publique à travers le territoire qui ne réponde pas à ce vocable né du printemps arabe.
L’histoire de certains pays, qui ont choisit la voix de la fronde et la révolte sociale, nous enseigne que la loi de la rue ne mène qu’au désordre et au délabrement du tissu social.
Ceux qui scandent et demandent le départ du président de la République, justifient à travers leur choix ainsi formulé le degré des libertés d’expression enregistré dans le pays.
D’autre part, si nous essayons d’être un peu regardant vers le bilan en cour du Président de la République, on ne peut passer sous silence plusieurs réalisations importantes. pour l’exemple, le nouveau visage de la capitale Nouakchott est une parfaite illustration.
Bref, soutenons les actions du président de la République son excellence Mohamed Ould Abdel-Aziz sans discréditer l’opposition qui doit continuer à jouer son rôle de contre pouvoir dans le respect de la logique imposée par le rapport pouvoir et savoir.
Ex capitaine de la gendarmerie
Hadrami O. Wedad
Diplômé de l’institut de criminologie, Paris II
Docteur en Droit Pénal.
Une opposition centriste qui a accepté la concertation avec le pouvoir et qui réclame des concessions au Président de la République tout en préservant les acquis et une autre qui se radicalise et demande tout simplement le départ du Président de la République son excellence Mohamed Ould Abdel-Aziz.
Face à cette situation, les citoyens doivent mettre en avant, l’intérêt national qui prime sur toute autre considération. La Mauritanie n’a pas besoin d’une place Tahrir car il n’ya pas de place publique à travers le territoire qui ne réponde pas à ce vocable né du printemps arabe.
L’histoire de certains pays, qui ont choisit la voix de la fronde et la révolte sociale, nous enseigne que la loi de la rue ne mène qu’au désordre et au délabrement du tissu social.
Ceux qui scandent et demandent le départ du président de la République, justifient à travers leur choix ainsi formulé le degré des libertés d’expression enregistré dans le pays.
D’autre part, si nous essayons d’être un peu regardant vers le bilan en cour du Président de la République, on ne peut passer sous silence plusieurs réalisations importantes. pour l’exemple, le nouveau visage de la capitale Nouakchott est une parfaite illustration.
Bref, soutenons les actions du président de la République son excellence Mohamed Ould Abdel-Aziz sans discréditer l’opposition qui doit continuer à jouer son rôle de contre pouvoir dans le respect de la logique imposée par le rapport pouvoir et savoir.
Ex capitaine de la gendarmerie
Hadrami O. Wedad
Diplômé de l’institut de criminologie, Paris II
Docteur en Droit Pénal.
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