Ce qui est terrifiant avec ce régime, c’est qu’à défaut d’avoir les ressources pour fédérer les mauritaniens, les faire rêver, le voilà qui fait tout pour les diviser et les monter les uns contre les autres comme si la position de l’état face à la double-nationalité était un gage de bon sens ou même de patriotisme or il n’en est rien, bien au contraire.
Voyons cette loi aberrante venant d’un régime aberrant : d’abord remontons à la source pour s’étonner que Daddah le grand ayant épousé une française n’ait jamais songé à tous les métis de ce pays au point de leur éviter d’avoir à faire un choix barbare à savoir choisir entre le sang de leur père ou celui de leur mère alors que les deux coulent dans leurs veines.
Ainsi, même si les lois n’ont aucun sens au pays des coups d’état où l’occupant du moment a de fait tous les droits du règne de l’arbitraire, souvenons-nous que jusqu’en 2010, la loi de 1961 ne reconnaissait pas la double-nationalité.
Voyons cette loi aberrante venant d’un régime aberrant : d’abord remontons à la source pour s’étonner que Daddah le grand ayant épousé une française n’ait jamais songé à tous les métis de ce pays au point de leur éviter d’avoir à faire un choix barbare à savoir choisir entre le sang de leur père ou celui de leur mère alors que les deux coulent dans leurs veines.
Ainsi, même si les lois n’ont aucun sens au pays des coups d’état où l’occupant du moment a de fait tous les droits du règne de l’arbitraire, souvenons-nous que jusqu’en 2010, la loi de 1961 ne reconnaissait pas la double-nationalité.
Qu’est-ce que cela signifie ne pas reconnaître ?
Est-ce que cela signifie qu’étant mauritanien votre seconde nationalité n’a aucune valeur ?
Selon Aziz, le polytechnicien, juriste à l’occasion, jusqu’à lui quiconque prenait une autre nationalité perdait automatiquement la nationalité mauritanienne même le Maroc n’abandonne jamais la marocanité de ses sujets aussi lâchement !
Aziz, en bon juriste, s’y connaît en conséquence d’un mot : il dit « un mauritanien qui se retrouve en France et qui prend la nationalité française n’est plus mauritanien tant qu’il n’a pas demandé à garder sa nationalité mauritanienne.». Demander ne signifie pas avoir le droit, demander signifie demander… ensuite c’est par décret au cas par cas que le pouvoir vous accepte ce droit ou non ;
Très bien ! Mais qu’en est-il d’un étranger qui devient mauritanien ?
C’est le cas de tous les peuples qui ont fondé la Mauritanie ! Cet étranger acquérant la nationalité la perd aussitôt vu qu’il a une autre nationalité ou la Mauritanie lui retire-t-elle son autre nationalité ? C’est aberrant !
Ainsi sans parler de tous les mauritaniens nés de parents mauritaniens de souche, même si cela ne veut rien dire, qui ne sont plus mauritaniens de droit depuis qu’ils ont une autre nationalité car d’une part la loi de 1961 leur retire la nationalité de fait et celle d’Aziz les oblige à demander un décret
les réintégrant or combien de tels décrets ont-ils été délivrés depuis ?
En clair, à cette heure le pouvoir bien renseigné peut débarquer chez n’importe qui ayant la double-nationalité et l’expulser ! Des dizaines de milliers de maures et de harratines sont concernés sans parler des négro-mauritaniens !
Nous disons que sans parler de ces gens-là, on peut estimer que, pour ne citer que des cas charmants, Marième Daddah et Birgitte Daddah ne sont plus mauritaniennes tant qu’Azizne leur délivrera pas un décret encore faut-il qu’elles en fassent la demande ! Car ni la Franceni le Danemark ne les ont déchues de leur nationalité !
Voilà où mènent des lois élaborées par des irresponsables dangereux qui estiment avoir le droit de décider de la mauritanité du peuple car ils représentent une force armée digne de l’occupation étrangère.
Qu’attend Aziz pour réclamer à quiconque veut garder la nationalité mauritanienne d’être déchu de son autre nationalité ? Il ferait un carton chez les complexés qu’il excite…mais il y perdrait lui-même...
Vu le nombre de belges, de marocains et même de sénégalais chez ses ministres et dans sa propre famille, on peut comprendre qu’Aziz veuille se réserver le droit de servir des décrets leur évitant la charrette de l'exil…
Tout ça pour dire combien ce régime est à bout de souffle, incapable de rassembler, de faire rêver, d’unir les mauritaniens autour du vivre-ensemble. L’essentiel est toujours de diviser éternellement pour régner. Triste règne.
Règne qui va jusqu’à ne pas reconnaître à des enfants métis le droit à avoir deux cultures ce qu’ils sont de fait, génétiquement et culturellement. C’est barbare ! C’est primitif, c’est archaïque, en un mot c’est criminel ! Ce manque d’humanité, cette façon d’être mentalement étriqué est la marque des esprits étroits ennemis jurés d’un peuple métis de culture et de sang !
Nous sommes tous des métis ! Et si chacun devait rentrer chez lui, chez ses ancêtres, seuls les harratines resteraient ici car ils n’ont pas où aller sinon rester chez eux !
Merci !
Est-ce que cela signifie qu’étant mauritanien votre seconde nationalité n’a aucune valeur ?
Selon Aziz, le polytechnicien, juriste à l’occasion, jusqu’à lui quiconque prenait une autre nationalité perdait automatiquement la nationalité mauritanienne même le Maroc n’abandonne jamais la marocanité de ses sujets aussi lâchement !
Aziz, en bon juriste, s’y connaît en conséquence d’un mot : il dit « un mauritanien qui se retrouve en France et qui prend la nationalité française n’est plus mauritanien tant qu’il n’a pas demandé à garder sa nationalité mauritanienne.». Demander ne signifie pas avoir le droit, demander signifie demander… ensuite c’est par décret au cas par cas que le pouvoir vous accepte ce droit ou non ;
Très bien ! Mais qu’en est-il d’un étranger qui devient mauritanien ?
C’est le cas de tous les peuples qui ont fondé la Mauritanie ! Cet étranger acquérant la nationalité la perd aussitôt vu qu’il a une autre nationalité ou la Mauritanie lui retire-t-elle son autre nationalité ? C’est aberrant !
Ainsi sans parler de tous les mauritaniens nés de parents mauritaniens de souche, même si cela ne veut rien dire, qui ne sont plus mauritaniens de droit depuis qu’ils ont une autre nationalité car d’une part la loi de 1961 leur retire la nationalité de fait et celle d’Aziz les oblige à demander un décret
les réintégrant or combien de tels décrets ont-ils été délivrés depuis ?
En clair, à cette heure le pouvoir bien renseigné peut débarquer chez n’importe qui ayant la double-nationalité et l’expulser ! Des dizaines de milliers de maures et de harratines sont concernés sans parler des négro-mauritaniens !
Nous disons que sans parler de ces gens-là, on peut estimer que, pour ne citer que des cas charmants, Marième Daddah et Birgitte Daddah ne sont plus mauritaniennes tant qu’Azizne leur délivrera pas un décret encore faut-il qu’elles en fassent la demande ! Car ni la Franceni le Danemark ne les ont déchues de leur nationalité !
Voilà où mènent des lois élaborées par des irresponsables dangereux qui estiment avoir le droit de décider de la mauritanité du peuple car ils représentent une force armée digne de l’occupation étrangère.
Qu’attend Aziz pour réclamer à quiconque veut garder la nationalité mauritanienne d’être déchu de son autre nationalité ? Il ferait un carton chez les complexés qu’il excite…mais il y perdrait lui-même...
Vu le nombre de belges, de marocains et même de sénégalais chez ses ministres et dans sa propre famille, on peut comprendre qu’Aziz veuille se réserver le droit de servir des décrets leur évitant la charrette de l'exil…
Tout ça pour dire combien ce régime est à bout de souffle, incapable de rassembler, de faire rêver, d’unir les mauritaniens autour du vivre-ensemble. L’essentiel est toujours de diviser éternellement pour régner. Triste règne.
Règne qui va jusqu’à ne pas reconnaître à des enfants métis le droit à avoir deux cultures ce qu’ils sont de fait, génétiquement et culturellement. C’est barbare ! C’est primitif, c’est archaïque, en un mot c’est criminel ! Ce manque d’humanité, cette façon d’être mentalement étriqué est la marque des esprits étroits ennemis jurés d’un peuple métis de culture et de sang !
Nous sommes tous des métis ! Et si chacun devait rentrer chez lui, chez ses ancêtres, seuls les harratines resteraient ici car ils n’ont pas où aller sinon rester chez eux !
Merci !
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