A en croire Boidiel Ould Homeid, des individus profiteraient de l’esclavage pour en faire un fonds de commerce non sans rappeler que ce phénomène n’existe plus juridiquement en Mauritanie car il existe des textes l’interdisant.
"Il faut se méfier de l’extrémisme. Aujourd’hui, le problème de l’esclavage est un problème qui est très vendu, très recherché. Et malheureusement, il y’a certains qui en profitent pour autre chose",a-t-il déclaré mardi soir, lors d’une conférence de presse.
"Il y’a des gens qui pratiquent l’esclavage comme les gens qui amènent la drogue. C’est interdit mais il y’a des gens qui continuent à amener la drogue. Avec l’esclavage, c’est la même chose", a expliqué le président d’El Wiam.
"Il faut se méfier de l’extrémisme. Aujourd’hui, le problème de l’esclavage est un problème qui est très vendu, très recherché. Et malheureusement, il y’a certains qui en profitent pour autre chose",a-t-il déclaré mardi soir, lors d’une conférence de presse.
"Il y’a des gens qui pratiquent l’esclavage comme les gens qui amènent la drogue. C’est interdit mais il y’a des gens qui continuent à amener la drogue. Avec l’esclavage, c’est la même chose", a expliqué le président d’El Wiam.
"Notre rôle, en tant que parti politique et personnalité politique contre l’esclavage, nous devons continuer à sensibiliser les esclaves eux-mêmes pour les conscientiser et aussi travailler auprès des maîtres esclaves afin qu’ils sachent que ce n’est plus le moment, que ce n’est plus acceptable de pratiquer l’esclavage dans un pays comme le nôtre", a-t-il ajouté tout en faisant observer qu’il y’a eu une évolution dans la lutte contre les pratiques esclavagistes.
Babacar Baye Ndiaye
Pour Cridem
Babacar Baye Ndiaye
Pour Cridem
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