samedi 9 juillet 2011

Messaoud ould boulkheir pendant qu’il s’active à sauver le pays du naufrage .


ses adversaires travaillent à le discréditer. 

Un adage bien de chez nous dit qu' "un cri de d'amertume ne peut en rien nuire au ciel". Depuis que APP, a annoncé son intention ferme d'aller au dialogue avec le pouvoir doublée de son refus catégorique d'inciter les masses à prendre part à tout soulèvement populaire qui pourrait déstabiliser le pays et la quiétude des citoyens, on assiste ça et là, à travers une certaine presse aux ordres, à une campagne de dénigrement commanditée contre le président du parti Messaoud ould Boulkheir.

Loin de nous toute intention de prendre part à une quelconque polémique stérile et d'ailleurs inutile, pour la simple raison qu'un parti politique souverain et très représentatif a, sans équivoque, exprimé son opinion personnelle par rapport à une question très cruciale qui concerne l'avenir du pays.

Même si les commanditaires de cette honteuse campagne sont connus de tous, le niveau auquel ils se sont rabaissés, fait qu'en aucune manière, ils ne méritent qu'on ne réponde à leurs provocations, parce que, sincèrement, rien ne peut expliquer ou justifier leurs agissements à la limite antidémocratiques ; qu'on refuserait à un parti autonome et souverain d'exprimer sa position par rapport à une question nationale majeure.

Cependant, nous nous permettons d'apporter, ici, quelques modestes précisions à l'intention d'une certaine opinion.

En effet, les parcours politiques de ce grand parti qu'est APP et de son leader prouvent qu'ils n'ont de leçons à recevoir de personne. Pour toujours et contrairement à ce qui prévaut sous nos cieux, ils ont été les seuls à faire de l'intérêt général et du bien être de la Mauritanie leurs priorités ; jamais ce parti, depuis qu'il a existé, n'est, une seule fois, allé à l'encontre de ses principes démocratiques et de la constitution du pays, quel que soit ce qu'il en pense, d’ailleurs.

Le président Messaoud ould Boulkheir, objet de ces attaques mesquines, paye ainsi pour sa proximité avec les préoccupations de ses compatriotes et la place prépondérante qu'il occupe dans leurs cœurs. Un privilège que ses détracteurs n’ont jamais voulu lui concéder. D'où la conspiration en cours.

Ainsi, on s’active à le discréditer aux yeux de l’opinion, et tout est mis en contribution pour en faire un politicien ordinaire tel que le connaissent les mauritaniens. Ce que ceux-ci semblent oublier ou font semblant d'oublier, le fait que cet homme ne doit rien à personne dans ce bas monde, il est à la place, où il se trouve, par la grâce d'ALLAH, d’abord, et, ensuite, par sa constance et sa forte conviction en ses principes de justice et d'équité.

Quels que soient les circonstances, Messaoud ould Boulkheir est resté égal à lui-même. LaMauritanie et les mauritaniens savent qu’ils lui doivent beaucoup quant aux percées démocratiques enregistrées chez nous, ces dernières années, timides soient-elles.

En effet, ce haut cadre de l'administration a, très tôt, accepté de tout sacrifier pour prendre en charge les préoccupations de tous ses concitoyens, et principalement celles des sans voix et des laissés pour compte, et-ce en une période où ce n'était pas n'importe qui, qui pouvait surfer à contre courant des tenants du pouvoir. Les brimades, les privations, la prison et la diabolisation n'y ont rien servi, l'homme est resté fidèle à ses convictions.

A l'opposé de certains politiciens qui n'ont qu'une seule obsession : accéder au pouvoir, tout de suite et quelles que soient la manière et les conditions, même s'il faut marcher sur les cadavres de tous leurs compatriotes pour occuper le palais présidentiel.

Personne dans ce pays n'a la mémoire courte. Ici, on se souvient encore de ceux qui ont travaillé à faire éclater l'opposition en mille morceaux pour seulement asseoir leur pouvoir personnel. Notre opposition se relève encore à peine des effets néfastes du boycott suicidaire de 1992 qui lui a été imposé par un individu parce que simplement lui n’a pas été installé à la présidence de la république.

Dans la même optique, les mauritaniens connaissent ces genres de politiciens qui ont toujours adapté leurs discours politiques en fonction de leur auditoire de l'heure, les thèmes développés et défendus dans la vallée ne sont jamais évoqués lorsque ces derniers se trouvent dans des zones à forte présence nationaliste arabe.

Mieux encore, tout le monde connaît quel chef de parti a parrainé et collaboré avec tous les putschistes, rien que pour que ceux-ci lui cèdent le fauteuil moelleux de la présidence ; son grand rêve, qu'il doit à tout prix réaliser. Chose qui a fait que celui-ci n'a en aucun moment hésité à reléguer au second plan tous ses compagnons des premières heures, lors des dernières élections législatives et municipales pour mettre en avant des prédateurs et délinquants économiques de notoriété publique pour la simple raison qu'ils seraient des porteurs de voix, et donc qu'ils contribueraient à le porter au pouvoir vaille que vaille.

L’homme, en question, depuis qu’il s’est engagé en politique, n’a cessé de multiplier les camouflets. Apparemment, pour lui, l’instinct politique prime sur la morale et l’éthique politiques. Ainsi, on ne peut s’empêcher d’évoquer cette assertion de Churchill où il est dit que « la politique est plus difficile que la guerre, car à la guerre, on meurt une seule fois, alors qu’en politique, on meurt plusieurs fois ».

Compte tenu de ce qui a précédé, nous serions tenté de se demander, pourquoi le président de l'APP et président de l’Assemblée Nationale n’a-t-il pas le droit, en bon leader politique, d'exprimer clairement ce qu'il pense, sans que cela ne dérange personne. Même si on sait que ses propos ont un effet certain sur les cours des événements dans ce pays. Mais on ne doit, cependant, lui nier son droit à la différence. D' autant plus que les militants de son parti et l'écrasante majorité de ses compatriotes sont de son avis.

Que tout le monde sache, ici, que, désormais APP et son président ne sont plus prêts à travailler dans une coalition, dont certains chefs ne pensent qu'à leurs propres intérêts avant celui du pays. Ce parti a conscience de ce qu'il représente, et il est déterminé à se battre jusqu'au bout pour le triomphe de ses convictions avec ou contre tous. La diffamation et les coups bas n'y feront rien.

Quant à ceux qui, hier, respiraient par les narines de Messaoud Ould Boulkheir, qui ont obtenu des promotions grâce à lui et qui se sont fait aujourd’hui embarqués et sont embrigadés par les forces du mal pour des ambitions égoïstes et personnelles, nous disons bonne chance ! Mais l’histoire a déjà enregistré et maintiendra que Ould Boulkheir est le meilleur. Comme disait l’autre : « j’y suis et j’y reste !»

Brahim Fall et Jiddou Hamoud, militants de APP


Source :Jiddou Hamoud
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