La ferme lutte menée depuis quelques mois par Nouakchott contre le terrorisme, particulièrement contre Aqmi suscite de grands intérêts de la part des occidentaux.Paris et Africom sont les premiers à faire le déplacement de Nouakchott, pour exprimer directement aux autorités nationales leur soutien total dans cette guerre de longue haleine.
Une lutte contre le terrorisme où l’armée mauritanienne s’est courageusement distinguée ces derniers temps, par l’excellente efficacité de ses dispositifs d’attaque et de défense contre un ennemi des plus dangereux de la sous région.
Au terme de la visite qu’il a effectuée dimanche et lundi derniers à Nouakchott, le ministre des affaires étrangères français Alain Juppé a exprimé la solidarité de la France avec laMauritanie dans sa lutte contre le terrorisme, saluant l’action courageuse menée par l’armée nationale contre les éléments d’Aqmi, aussi bien au cours du raid du camp de la forêt deWagadou que pendant l’agression de la caserne militaire de Bassiknou.
Une lutte contre le terrorisme où l’armée mauritanienne s’est courageusement distinguée ces derniers temps, par l’excellente efficacité de ses dispositifs d’attaque et de défense contre un ennemi des plus dangereux de la sous région.
Au terme de la visite qu’il a effectuée dimanche et lundi derniers à Nouakchott, le ministre des affaires étrangères français Alain Juppé a exprimé la solidarité de la France avec laMauritanie dans sa lutte contre le terrorisme, saluant l’action courageuse menée par l’armée nationale contre les éléments d’Aqmi, aussi bien au cours du raid du camp de la forêt deWagadou que pendant l’agression de la caserne militaire de Bassiknou.
Par ailleurs, le chef du Quai d’Orsay a indiqué que les relations entre Nouakchott et Parissont tout à fait excellentes, indiquant qu’il a évoqué avec les autorités mauritaniennes plusieurs questions dont la lutte contre le terrorisme, la situation en Libye et le rôle que l'Union africaine peut jouer dans la recherche d'une solution politique.
A ce propos, Alain Juppé a réaffirmé e que le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi n'avait"plus d'avenir" dans son pays, plaidant pour une "grande convention nationale" associant les différentes parties. "Il faut maintenir la pression militaire contre le régime libyen tout en travaillant avec l'Union africaine sur une solution politique sans Kadhafi qui doit comprendre qu'il n'a plus de place et n'a plus d'avenir en Libye", a souligné le chef de la diplomatie française lors d'une conférence de presse.
Pour lui, "la solution politique inclut un vrai cessez-le-feu, un engagement de Kadhafi de s'écarter du pouvoir, un dialogue inclusif entre les Libyens et une feuille de route pour une transition démocratique et des élections libres".
Selon Alain Juppé, "le processus de négociations politiques peut s'engager à travers une grande convention nationale inclusive qui associe le Conseil national de transition mais aussi les autorités traditionnelles, les chefs de tribus et tous les responsables de Tripoli qui ont compris que Kadhafi n'a pas d'avenir".
Il a estimé que l'Union africaine pouvait "jouer un rôle tout à fait déterminant" pour "bâtir, à l'initiative des Libyens eux-mêmes bien entendu, la Libye démocratique de demain". Sur un autre plan, notons que le commandant de l’Africom, le Général Carter F. Ham s’est rendu hier en Mauritanie pour une visite de deux jours.
Un séjour placé lui aussi sous le sceau de la lutte contre le terrorisme et l’examen des voies et moyens de règlement du conflit interlibyen. En effet Nouakchott est considérée comme un interlocuteur de taille en raison de sa présidence du panel panafricain pour ce dossier. Le Général Carter F. Ham a entamé aussitôt après son arrivé des rencontres avec le ministre de la défense et des hauts gradés de l'armée nationale.
Amadou Diaara
A ce propos, Alain Juppé a réaffirmé e que le dirigeant libyen Mouammar Kadhafi n'avait"plus d'avenir" dans son pays, plaidant pour une "grande convention nationale" associant les différentes parties. "Il faut maintenir la pression militaire contre le régime libyen tout en travaillant avec l'Union africaine sur une solution politique sans Kadhafi qui doit comprendre qu'il n'a plus de place et n'a plus d'avenir en Libye", a souligné le chef de la diplomatie française lors d'une conférence de presse.
Pour lui, "la solution politique inclut un vrai cessez-le-feu, un engagement de Kadhafi de s'écarter du pouvoir, un dialogue inclusif entre les Libyens et une feuille de route pour une transition démocratique et des élections libres".
Selon Alain Juppé, "le processus de négociations politiques peut s'engager à travers une grande convention nationale inclusive qui associe le Conseil national de transition mais aussi les autorités traditionnelles, les chefs de tribus et tous les responsables de Tripoli qui ont compris que Kadhafi n'a pas d'avenir".
Il a estimé que l'Union africaine pouvait "jouer un rôle tout à fait déterminant" pour "bâtir, à l'initiative des Libyens eux-mêmes bien entendu, la Libye démocratique de demain". Sur un autre plan, notons que le commandant de l’Africom, le Général Carter F. Ham s’est rendu hier en Mauritanie pour une visite de deux jours.
Un séjour placé lui aussi sous le sceau de la lutte contre le terrorisme et l’examen des voies et moyens de règlement du conflit interlibyen. En effet Nouakchott est considérée comme un interlocuteur de taille en raison de sa présidence du panel panafricain pour ce dossier. Le Général Carter F. Ham a entamé aussitôt après son arrivé des rencontres avec le ministre de la défense et des hauts gradés de l'armée nationale.
Amadou Diaara
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