Essahraa - L’Union Nationale des Employeurs de Mauritaniens (UNEM), surnommé également le Patronat, a démenti les récentes informations faisant état de problèmes de transfert des devises étrangères rencontrés par des banques mauritaniennes, en raison de ce que des enquêtes financières américaines ont révélé sur la Mauritanie, ayant conduit à réviser le classement de ce pays dans le domaine de la lutte contre le blanchiment d’argent et le terrorisme.
L’UNEM a précisé dans un communiqué relatif au sujet que le rang de la Mauritanie dans le classement se rapportant au blanchiment d’argent est resté inchangé au cours de la dernière décennie.
« Toutes les banques mauritaniennes offrent de façon satisfaisante des crédits dans toutes les devises, y compris le dollar, à travers les réseaux de leurs correspondants en activité partout dans le Monde », précise ledit communiqué.
Le Patronat rappelle que les transferts directs en dollars sont soumis dans le monde, depuis les attentats du 11 septembre 2011, à une procédure particulière.
Plusieurs banques étrangères évitent de jouer le rôle d'intermédiaire par crainte de sanctions pouvant être imposées par le gouvernement américain.
Raison pour laquelle, ces établissements financiers ont réduit leurs transactions en cette devise, au moment même où les banques américaines suspendaient les transferts directs avec certains Etats y compris la Mauritanie.
L’UNEM a précisé dans un communiqué relatif au sujet que le rang de la Mauritanie dans le classement se rapportant au blanchiment d’argent est resté inchangé au cours de la dernière décennie.
« Toutes les banques mauritaniennes offrent de façon satisfaisante des crédits dans toutes les devises, y compris le dollar, à travers les réseaux de leurs correspondants en activité partout dans le Monde », précise ledit communiqué.
Le Patronat rappelle que les transferts directs en dollars sont soumis dans le monde, depuis les attentats du 11 septembre 2011, à une procédure particulière.
Plusieurs banques étrangères évitent de jouer le rôle d'intermédiaire par crainte de sanctions pouvant être imposées par le gouvernement américain.
Raison pour laquelle, ces établissements financiers ont réduit leurs transactions en cette devise, au moment même où les banques américaines suspendaient les transferts directs avec certains Etats y compris la Mauritanie.
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