AMI - L’état-major de la gendarmerie nationale a informé les députés, les organisations de la société civile et les médias publics au sujet de sa nouvelle cellule de lutte contre les stupéfiants qui a été mise en place par l’état- major dans le cadre de la mission de sensibilisation, de protection et de dissuasion contre le phénomène de la propagation de la drogue qui lui est confiée.
C’était au cours d’un colloque organisé mercredi à Nouakchott par l’état- major de la gendarmerie nationale à son siège consacré à informer les parties concernées au sujet de l’objectif recherché à travers la création de cette cellule qui constitue un apport de qualité dans les efforts de lutte contre les stupéfiants.
L'état- major a édifié l’assistance sur les missions dévolues à cette cellule et qui consistent en l’étude du public cible, la détermination de la nature du discours à adresser à cette occasion et ce partant des références à la fois religieuses et juridiques et la démonstration des dangers et préjudices qui résultent de l’usage des stupéfiants et autres produits psychotropes.
Le secrétaire général du ministère de la défense nationale, général de brigade Hanena Ould Henoune Ould Sidi a, dans un mot pour la circonstance, loué l’état- major de la gendarmerie pour sa conscience du volume des responsabilités qui pèsent sur le secteur, notant l’importance que représente la création de cette cellule en raison des risques majeurs de ce fléau non seulement sur les individus mais aussi sur les sociétés en particulier à l’époque actuelle.
Il a ajouté que lutter contre ce phénomène planétaire et en prémunir la société constitue une des plus grandes préoccupations du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, le chef suprême des forces armées, soulignant que faire face à ce danger extrême requiert de commencer par empêcher sa propagation et en prémunir la société.
Il a appelé toutes les forces vives, les acteurs sociaux à appuyer l’action de cette composante (la cellule) et à coopérer avec ses responsables en, vue de réaliser les nobles objectifs visés par sa création afin de sécuriser les jeunes d’abord et la société ensuite et leur éviter de tomber à nouveau dans le cercle du risque.
Le commandant de la cellule, le capitaine Abadila Cheikh, a présenté quant à lui un exposé détaillé sur la menace représentée par les stupéfiants et leur propagation rapide à l’échelle mondiale dans les milieux jeunes, mettant en exergue les pratiques étrangères aux valeurs traditionnelles de notre société, rappelant la saisie d’importantes quantités de drogue dans les zones frontalières et dans certaines parties du territoire national d’une part, et l’arrestation de personnes impliquées dans ce trafic d’autre part.
« 44% de la population, âgée de 15 ans environ, constitue la catégorie fragile ciblée par les narcotrafiquants et leurs réseaux, d’où l’importance de l’entourer de toute l’attention nécessaire afin de la mettre à l’abri de ce phénomène dévastateur», a-t-il ajouté.
« La décision de l’Etat-major de créer cette cellule chargée fondamentalement de l’aspect préventif de l'approche globale pour endiguer ce phénomène et pour former et équiper ses ressources humaines, s’inscrit dans le cadre des efforts nationaux déployés à cette fin », a-t-il ajouté.
D’autres explications d’intérêt capital, ayant porté sur les drogues et leurs variétés naturelles et chimiques ((inhibiteurs, dopeurs, stimulants, hallucinogènes), les symptômes et les nuisances sanitaires manifestées par leurs usagers, ainsi que leurs causes qui poussent certaines personnes à la dérive et à rejoindre les milieux de la criminalité, ont été présentées également au cours de cette rencontre.
Les participants ont suivi par ailleurs un documentaire sur les consommateurs des stupéfiants et leur dépendance, qui augmente progressivement, avant qu’ils ne deviennent des accros de la drogue.
Les députés ont exprimé pour la circonstance, leurs vifs remerciements à l’état-major de la gendarmerie nationale pour cette décision judicieuse, appropriée et inédite de créer cette cellule, afin d’immuniser la société et de parer à la propagation des stupéfiants chez les jeunes.
D’autres intervenants ont exprimé leur soutien à cette orientation et leur disponibilité à contribuer aux efforts déployés par l’état-major de la gendarmerie nationale à cet égard.
Le forum s’est déroulé en présence du Chef d'état-major de la gendarmerie nationale, le Général de division Sultane Ould Mohamed Lessouad, d’officiers et de chefs de bureaux ainsi que de directions à l’état-major.
C’était au cours d’un colloque organisé mercredi à Nouakchott par l’état- major de la gendarmerie nationale à son siège consacré à informer les parties concernées au sujet de l’objectif recherché à travers la création de cette cellule qui constitue un apport de qualité dans les efforts de lutte contre les stupéfiants.
L'état- major a édifié l’assistance sur les missions dévolues à cette cellule et qui consistent en l’étude du public cible, la détermination de la nature du discours à adresser à cette occasion et ce partant des références à la fois religieuses et juridiques et la démonstration des dangers et préjudices qui résultent de l’usage des stupéfiants et autres produits psychotropes.
Le secrétaire général du ministère de la défense nationale, général de brigade Hanena Ould Henoune Ould Sidi a, dans un mot pour la circonstance, loué l’état- major de la gendarmerie pour sa conscience du volume des responsabilités qui pèsent sur le secteur, notant l’importance que représente la création de cette cellule en raison des risques majeurs de ce fléau non seulement sur les individus mais aussi sur les sociétés en particulier à l’époque actuelle.
Il a ajouté que lutter contre ce phénomène planétaire et en prémunir la société constitue une des plus grandes préoccupations du Président de la République, Monsieur Mohamed Ould Abdel Aziz, le chef suprême des forces armées, soulignant que faire face à ce danger extrême requiert de commencer par empêcher sa propagation et en prémunir la société.
Il a appelé toutes les forces vives, les acteurs sociaux à appuyer l’action de cette composante (la cellule) et à coopérer avec ses responsables en, vue de réaliser les nobles objectifs visés par sa création afin de sécuriser les jeunes d’abord et la société ensuite et leur éviter de tomber à nouveau dans le cercle du risque.
Le commandant de la cellule, le capitaine Abadila Cheikh, a présenté quant à lui un exposé détaillé sur la menace représentée par les stupéfiants et leur propagation rapide à l’échelle mondiale dans les milieux jeunes, mettant en exergue les pratiques étrangères aux valeurs traditionnelles de notre société, rappelant la saisie d’importantes quantités de drogue dans les zones frontalières et dans certaines parties du territoire national d’une part, et l’arrestation de personnes impliquées dans ce trafic d’autre part.
« 44% de la population, âgée de 15 ans environ, constitue la catégorie fragile ciblée par les narcotrafiquants et leurs réseaux, d’où l’importance de l’entourer de toute l’attention nécessaire afin de la mettre à l’abri de ce phénomène dévastateur», a-t-il ajouté.
« La décision de l’Etat-major de créer cette cellule chargée fondamentalement de l’aspect préventif de l'approche globale pour endiguer ce phénomène et pour former et équiper ses ressources humaines, s’inscrit dans le cadre des efforts nationaux déployés à cette fin », a-t-il ajouté.
D’autres explications d’intérêt capital, ayant porté sur les drogues et leurs variétés naturelles et chimiques ((inhibiteurs, dopeurs, stimulants, hallucinogènes), les symptômes et les nuisances sanitaires manifestées par leurs usagers, ainsi que leurs causes qui poussent certaines personnes à la dérive et à rejoindre les milieux de la criminalité, ont été présentées également au cours de cette rencontre.
Les participants ont suivi par ailleurs un documentaire sur les consommateurs des stupéfiants et leur dépendance, qui augmente progressivement, avant qu’ils ne deviennent des accros de la drogue.
Les députés ont exprimé pour la circonstance, leurs vifs remerciements à l’état-major de la gendarmerie nationale pour cette décision judicieuse, appropriée et inédite de créer cette cellule, afin d’immuniser la société et de parer à la propagation des stupéfiants chez les jeunes.
D’autres intervenants ont exprimé leur soutien à cette orientation et leur disponibilité à contribuer aux efforts déployés par l’état-major de la gendarmerie nationale à cet égard.
Le forum s’est déroulé en présence du Chef d'état-major de la gendarmerie nationale, le Général de division Sultane Ould Mohamed Lessouad, d’officiers et de chefs de bureaux ainsi que de directions à l’état-major.
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Source : Agence Mauritanienne d'Information
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