
A ces lieux de vente s’ajoutent la place de vente des produits avariés située en plein centre du marché de Sebkha et les véhicules-boutiques qui sont stationnés dans plusieurs places de la capitale.
Ces véhicules vendent des produits de consommation de première nécessité dont les dattes, le lait, le sucre, les tomates, le riz, les pâtes alimentaires à des prix réduits.
Notons que les responsables de ces véhicules-boutiques qui bordent le Carrefour Madrid et les différents marchés ne sont jamais inquiétés et ne cessent d’écouler aisément au vu et au su de tous, leurs marchandises qui constituent des poisons pour les enfants et les familles pauvres.
Alors où se situe la responsabilité des pouvoirs publics et l’association de la protection des consommateurs face à ce phénomène qui continue de ravager des vies humaines?
Les
articles, commentaires et propos sont la propriété de leur(s) auteur(s)
et n'engagent que leur avis, opinion et responsabilité
Source :
Tawary (Mauritanie)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire