26-01-2015 08:29 -

Selon notre source, tout est parti du lundi 19 janvier. A cette date, des salafistes qui avaient purgé leur peine et à qui les autorités avaient fait des promesses de remise en liberté - qui se sont révélées sans lendemain par la suite - décident de se ressembler pour protester contre leur détention, si bien que les autorités en arrivent à interdire les visites aux prisonniers. « Cette situation va durer dix jours», précise notre source.
Vendredi 20 janvier, les autorités décident de mettre fin au rassemblement des salafistes. «Un petit groupe de gardes munis de matraques est chargé de réprimer.
Les salafistes prennent vite le dessus obligeant les gardes à fuir. D’autres éléments de force de sécurité postés en haut se mettent à user de gaz lacrymogènes. Sachant que les salafistes s’étaient emparés de deux leurs frères d’armes, ils cessent de lancer du gaz», affirme la source.
Dès cet instant les salafistes qui ont accès à internet se mettent à manipuler les médias à grands renforts de photos et d'intox, à formuler des menaces d’exécution. Décidément les preneurs d’otages qui ont tenu toute une république en haleine auraient été des preneurs d’otages désarmés. Ahurissant !
SC
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Source :
Rédaction Cridem
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