mercredi 22 octobre 2014
La
question de la décentralisation est de nouveau au centre de la
coopération Mauritanie-France qui inaugure ainsi une sixième rencontre
sur ce sujet. Le pouvoir fortement centralisant de l’Etat mauritanien
va-t-il enfin lâcher du lest en délaissant une partie de ses
prérogatives aux acteurs décentralisés, notamment les régions et les
communes.
La sixième rencontre de Coopération Mauritanie-France sur la décentralisation s’est achevée après deux jours de débats et de travaux d’atelier. Il fut en effet question lors de cette réunion de haut niveau, de développement local, de la place des jeunes et d’autres sujets liés à la décentralisation. L’occasion pour le ministre de l’Intérieur de magnifier l’excellence des relations qui lient la Mauritanie à l’ancienne métropole. Il a évoqué les avancées enregistrées par l’Etat mauritanien dans le domaine des réformes pour la modernisation de l’administration, du développement local, soulignant que la décentralisation reste dans les priorités du gouvernement. Et de citer dans ce cadre la loi sur la décentralisation d’avril 2010 qui entrerait selon lui dans le sillage d’une stratégie nationale allant dans ce sens.
Il a également évoqué les élections de 2013 qui ont permis le renouvellement des mairies et l’Assemblée nationale, mais aussi la présidentielle de 2014, la place accordée à la femme, aux jeunes, notamment le rôle de leadership accordé à ces deux franges. Le ministre s’est par la suite félicité des nombreux cas de jumelage entre des communes mauritaniennes et françaises avec leur apport en matière de soutiens matériels, financiers souvent et parfois en renforcement des capacités locales et échanges d’expérience. Il a rappelé que la rencontre qui réunit les experts des deux pays, en plus de la société civile et les partenaires techniques et financiers, devra sortir avec des solutions sur les moyens susceptibles d’aider la Mauritanie à mener une bonne politique de décentralisation, avec au cœur, un accent sur les jeunes et le secteur privé.
De son côté, le ministre français des Finances, dans une déclaration lue en son nom, a renouvelé la disponibilité des autorités de son pays à renforcer la coopération avec la Mauritanie. Pour le président de l’Association des maires de Mauritanie, il a insisté sur la nécessaire consolidation des liens entre les municipalités des deux pays. Il fut également des 40 pays en cours en Mauritanie grâce à cette coopération.
JOB
La sixième rencontre de Coopération Mauritanie-France sur la décentralisation s’est achevée après deux jours de débats et de travaux d’atelier. Il fut en effet question lors de cette réunion de haut niveau, de développement local, de la place des jeunes et d’autres sujets liés à la décentralisation. L’occasion pour le ministre de l’Intérieur de magnifier l’excellence des relations qui lient la Mauritanie à l’ancienne métropole. Il a évoqué les avancées enregistrées par l’Etat mauritanien dans le domaine des réformes pour la modernisation de l’administration, du développement local, soulignant que la décentralisation reste dans les priorités du gouvernement. Et de citer dans ce cadre la loi sur la décentralisation d’avril 2010 qui entrerait selon lui dans le sillage d’une stratégie nationale allant dans ce sens.
Il a également évoqué les élections de 2013 qui ont permis le renouvellement des mairies et l’Assemblée nationale, mais aussi la présidentielle de 2014, la place accordée à la femme, aux jeunes, notamment le rôle de leadership accordé à ces deux franges. Le ministre s’est par la suite félicité des nombreux cas de jumelage entre des communes mauritaniennes et françaises avec leur apport en matière de soutiens matériels, financiers souvent et parfois en renforcement des capacités locales et échanges d’expérience. Il a rappelé que la rencontre qui réunit les experts des deux pays, en plus de la société civile et les partenaires techniques et financiers, devra sortir avec des solutions sur les moyens susceptibles d’aider la Mauritanie à mener une bonne politique de décentralisation, avec au cœur, un accent sur les jeunes et le secteur privé.
De son côté, le ministre français des Finances, dans une déclaration lue en son nom, a renouvelé la disponibilité des autorités de son pays à renforcer la coopération avec la Mauritanie. Pour le président de l’Association des maires de Mauritanie, il a insisté sur la nécessaire consolidation des liens entre les municipalités des deux pays. Il fut également des 40 pays en cours en Mauritanie grâce à cette coopération.
JOB
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