vendredi 24 octobre 2014
Plusieurs
sources d’information ont évoqué l’échec des dernières négociations
entre la direction de la Mauritanienne de Sécurité Privée (MSP) et ses
employés grévistes, lesquels ont entamé depuis plus d’un mois, une
marche de plus de 700 kilomètres pour relier Zouerate, lieu de leur
travail, à Nouakchott. Beaucoup se demandent cependant la fiabilité
d’une telle marche qui n’a jamais réussi à d’autres, même si certains
trouvent curieux l’intensité des intermédiaires qui se sont multipliés
pour arrêter l’initiative des agents de la MSP.
Selon les dernières informations de presse, l’ultime négociation entre la direction de la MSP et ses travailleurs ont échoué. Ces derniers, qui ne sont plus loin de Nouakchott, entament depuis plus d’un mois, une marche de protestation, face à ce qu’ils considèrent être une spoliation grave de leurs droits de la part de leur employeur. Selon quelques correspondants de presse, ils se seraient reposés pendant quelques jours dans une auberge à Akjoujt (250 Km de Nouakchott).
Un geste du parti au pouvoir, l’Union pour la République (UPR), le temps de leur permettre de reprendre des forces et de subir quelques pressions politiques de nature à les dissuader de poursuivre leur périple. Dirigée par d’anciens dignitaires militaires, la MSP qui est subventionnée par le Budget de l’Etat, serait le cadeau-refuge que les tenants du pouvoir auraient offert il y a deux ans à des frères d’armes pour leur offrir des retraites dorées, selon plusieurs observateurs.
L’escale-villégiature d’Akjoujt, offerte par l’UPR avec toutes les commodités, aurait été marquée par d’intenses négociations au cours desquelles, les dirigeants de la MSP épaulés par le parti au pouvoir auraient tenté d’extorquer aux grévistes-marcheur une reddition que ces derniers ont refusé. Un scénario catastrophe pour les deux parties, ce qui fausse leur calcul, car il aurait été prévu qu’un accord allait être trouvé et que les travailleurs allaient rebrousser chemin vers Zouerate.
Mais ces derniers sont restés intransigeants sur leurs revendications, refusant toute concession à leurs employeurs, d’autant plus selon eux, que les anciens officiers qui gèrent la MSP se considèrent au dessus des lois. Ayant remercié l’UPR pour ses efforts à résoudre le différent, les travailleurs ont toutefois marqué leur détermination à poursuivre leur périple, en quittant l’auberge en direction de Nouakchott.
JOB
Selon les dernières informations de presse, l’ultime négociation entre la direction de la MSP et ses travailleurs ont échoué. Ces derniers, qui ne sont plus loin de Nouakchott, entament depuis plus d’un mois, une marche de protestation, face à ce qu’ils considèrent être une spoliation grave de leurs droits de la part de leur employeur. Selon quelques correspondants de presse, ils se seraient reposés pendant quelques jours dans une auberge à Akjoujt (250 Km de Nouakchott).
Un geste du parti au pouvoir, l’Union pour la République (UPR), le temps de leur permettre de reprendre des forces et de subir quelques pressions politiques de nature à les dissuader de poursuivre leur périple. Dirigée par d’anciens dignitaires militaires, la MSP qui est subventionnée par le Budget de l’Etat, serait le cadeau-refuge que les tenants du pouvoir auraient offert il y a deux ans à des frères d’armes pour leur offrir des retraites dorées, selon plusieurs observateurs.
L’escale-villégiature d’Akjoujt, offerte par l’UPR avec toutes les commodités, aurait été marquée par d’intenses négociations au cours desquelles, les dirigeants de la MSP épaulés par le parti au pouvoir auraient tenté d’extorquer aux grévistes-marcheur une reddition que ces derniers ont refusé. Un scénario catastrophe pour les deux parties, ce qui fausse leur calcul, car il aurait été prévu qu’un accord allait être trouvé et que les travailleurs allaient rebrousser chemin vers Zouerate.
Mais ces derniers sont restés intransigeants sur leurs revendications, refusant toute concession à leurs employeurs, d’autant plus selon eux, que les anciens officiers qui gèrent la MSP se considèrent au dessus des lois. Ayant remercié l’UPR pour ses efforts à résoudre le différent, les travailleurs ont toutefois marqué leur détermination à poursuivre leur périple, en quittant l’auberge en direction de Nouakchott.
JOB
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