
Le Président de laCoalition PCQVP, MaîtreMine O. Abdoullah, a participé le jeudi 26 Septembre 2013 à une émission de la Télévision nationale.
Le débat portait sur l’ITIEen Mauritanie, la suspension de ce pays et la levée de cette suspension ainsi que la question de transparence dans les industries minières.
Participaient aussi à ce débat le Vice-président de l’ITIE, des représentants du Ministère des Mines et du Pétrole et des responsables d’entreprises.
Ce fut l’occasion pour le Président de PCQVP d’insister sur la nécessité que la société civile soit impliquée au niveau de la chaîne des valeurs, tout comme il a tenu à souligner que malgré l’aspect que revêt la problématique des montants versés par les compagnies et ceux déclarés avoir été reçus par l’Etat, la Coalition estime nécessaire la prise en considération de ce qu’il est convenu d’appeler ici une approche de droit, c’est-à-dire :
- le respect des droits des travailleurs
- les retombées au niveau des communautés
- et le respect de l’environnement.
La Coalition PCQVP rappelle que le souci de la Coalition Mauritanienne PCQVPest de s’assurer que tous les citoyens mauritaniens profitent des nombreuses richesses de leur pays, notamment (le fer, le poisson, le pétrole, l’or, etc.).
Le président a, en outre, souligné le paradoxe d’un pays immensément riche et qui, selon le classement des institutions internationales, se retrouve dans le dernier peloton des Etats les plus pauvres de la planète.
Ce paradoxe ne peut s’expliquer, pour le président Mine O. Abdoullah, que par les maux qui ont toujours gangrené la Mauritanie depuis les indépendances à savoir la mauvaise gouvernance, la corruption et la fraude.
Pour conclure, le président a déclaré que la Coalition PCQVP entend apporter sa modeste contribution, tant au niveau du Comité national ITIE que dans le cadre de ses propres activités (sensibiliser davantage les décideurs sur l’importance de la transparence dans le domaine des industries extractives qui va dans l’intérêt de toutes les parties concernées : Etat, entreprises, société civile…).
Le débat portait sur l’ITIEen Mauritanie, la suspension de ce pays et la levée de cette suspension ainsi que la question de transparence dans les industries minières.
Participaient aussi à ce débat le Vice-président de l’ITIE, des représentants du Ministère des Mines et du Pétrole et des responsables d’entreprises.
Ce fut l’occasion pour le Président de PCQVP d’insister sur la nécessité que la société civile soit impliquée au niveau de la chaîne des valeurs, tout comme il a tenu à souligner que malgré l’aspect que revêt la problématique des montants versés par les compagnies et ceux déclarés avoir été reçus par l’Etat, la Coalition estime nécessaire la prise en considération de ce qu’il est convenu d’appeler ici une approche de droit, c’est-à-dire :
- le respect des droits des travailleurs
- les retombées au niveau des communautés
- et le respect de l’environnement.
La Coalition PCQVP rappelle que le souci de la Coalition Mauritanienne PCQVPest de s’assurer que tous les citoyens mauritaniens profitent des nombreuses richesses de leur pays, notamment (le fer, le poisson, le pétrole, l’or, etc.).
Le président a, en outre, souligné le paradoxe d’un pays immensément riche et qui, selon le classement des institutions internationales, se retrouve dans le dernier peloton des Etats les plus pauvres de la planète.
Ce paradoxe ne peut s’expliquer, pour le président Mine O. Abdoullah, que par les maux qui ont toujours gangrené la Mauritanie depuis les indépendances à savoir la mauvaise gouvernance, la corruption et la fraude.
Pour conclure, le président a déclaré que la Coalition PCQVP entend apporter sa modeste contribution, tant au niveau du Comité national ITIE que dans le cadre de ses propres activités (sensibiliser davantage les décideurs sur l’importance de la transparence dans le domaine des industries extractives qui va dans l’intérêt de toutes les parties concernées : Etat, entreprises, société civile…).
Les articles, commentaires et propos sont la propriété de leur(s) auteur(s) et n'engagent que leur avis, opinion et responsabilité
Source : Rédaction Cridem
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire