Mohamed Ould Abdallah, élève en 2è année fondamental vivait depuis sa naissance àBoutilimit avec Fatimetou Mint Bala Chrif. Une dame chez qui vivait sa mère jusqu’à sa mort.
Il y a quelques jours àBoutilimit, Mohamed Lemine Ould Bala Chrif, frère de Fatimetou s’est rendu à la police pour dire que sa sœur à qui on avait confié un enfant n’était plus tranquille.
Elle avait sans doute peur d’être ciblée par les membres de l’IRA qui faisaient un sit-in depuis une dizaine de jours à la gendarmerie de Boutilimit pour le cas d’une fillette de 14 ans dont les présumés maîtres seraient en fuite.
Apprenant le cas du jeune Mohamed, la section d’IRA de Boutilimit a fait un sit-in au commissariat de la ville ; le leader du mouvement aurait conduit la grand-tante de l’enfant à Boutilimit pour qu’elle porte plainte ; par la suite, la police deBoutilimit a dressé un PV et décidé de transférer le cas à Rosso.
C’est ainsi que le 15 septembre, Fatimetou Mint Bala Cherif, le jeune Mohamedet son oncle qui vivait à Boghé ont été conduits par la police au tribunal de Rossooù les attendaient les membres de la section d’IRA de Rosso.
A Rosso, les deux parties ont été entendues par le juge d’instruction qui a décidé de confier l’enfant à sa grand-tante (la tante à sa maman), Vréha Mint Mahmoudvenue de Nouakchott. Selon les responsables d’IRA à Rosso, le juge d’instruction s’est basé sur le PV établi par la police de Boutilimit. Un PV qui aurait passé sous silence les témoignages de parents proches de l’enfant qui soutiennent qu’il s’agit d’un cas d’esclavage pour ne retenir que la thèse de la maîtresse présumée selon laquelle l’enfant lui a été confié.
Vréha Mint Mahmoud est repartie à Nouakchott avec le jeune Mohamed qui va ainsi retrouver sa sœur. Quant à Vréha, elle a enfin gain de cause. Il y a quelques années à la mort de sa nièce (la mère de Mohamed) elle s’était rendue àBoutilimit pour récupérer l’enfant mais elle avait été sévèrement battue.
AB Djigo
Il y a quelques jours àBoutilimit, Mohamed Lemine Ould Bala Chrif, frère de Fatimetou s’est rendu à la police pour dire que sa sœur à qui on avait confié un enfant n’était plus tranquille.
Elle avait sans doute peur d’être ciblée par les membres de l’IRA qui faisaient un sit-in depuis une dizaine de jours à la gendarmerie de Boutilimit pour le cas d’une fillette de 14 ans dont les présumés maîtres seraient en fuite.
Apprenant le cas du jeune Mohamed, la section d’IRA de Boutilimit a fait un sit-in au commissariat de la ville ; le leader du mouvement aurait conduit la grand-tante de l’enfant à Boutilimit pour qu’elle porte plainte ; par la suite, la police deBoutilimit a dressé un PV et décidé de transférer le cas à Rosso.
C’est ainsi que le 15 septembre, Fatimetou Mint Bala Cherif, le jeune Mohamedet son oncle qui vivait à Boghé ont été conduits par la police au tribunal de Rossooù les attendaient les membres de la section d’IRA de Rosso.
A Rosso, les deux parties ont été entendues par le juge d’instruction qui a décidé de confier l’enfant à sa grand-tante (la tante à sa maman), Vréha Mint Mahmoudvenue de Nouakchott. Selon les responsables d’IRA à Rosso, le juge d’instruction s’est basé sur le PV établi par la police de Boutilimit. Un PV qui aurait passé sous silence les témoignages de parents proches de l’enfant qui soutiennent qu’il s’agit d’un cas d’esclavage pour ne retenir que la thèse de la maîtresse présumée selon laquelle l’enfant lui a été confié.
Vréha Mint Mahmoud est repartie à Nouakchott avec le jeune Mohamed qui va ainsi retrouver sa sœur. Quant à Vréha, elle a enfin gain de cause. Il y a quelques années à la mort de sa nièce (la mère de Mohamed) elle s’était rendue àBoutilimit pour récupérer l’enfant mais elle avait été sévèrement battue.
AB Djigo
Les articles, commentaires et propos sont la propriété de leur(s) auteur(s) et n'engagent que leur avis, opinion et responsabilité
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire