A quelque mois des législatives et tout à sa stratégie de petits pas, l’IRA de Ould Abeid veut investir les listes électorales de tous les partis politiques qui seront au rendez-vous du 12 octobre prochain.
A défaut d’être reconnu politiquement, l’IRAs’engage à mettre à contribution sa communauté et tous les citoyens mauritaniens à faire barrage à tout parti politique qui refuserait au moins un député Hratin en position d’éligibilité dans toutes les listes candidates à la députation dans les Moughataa comportant plus d’un député au scrutin majoritaire et au moins un à la tête de l’une des listes élues à la proportionnelle.
C’est ce qui ressort de la déclaration de l’IRA issue du Manifeste du 29 avrildernier et publiée cette semaine par Cridem. Un véritable plaidoyer qui vient à point nommé pour l’égalité des chances en Mauritanie dont l’objectif est de faire prendre conscience aux Hratins qu’ils sont majoritaires aujourd’hui dans le pays pour construire ensemble l’avenir. Pour cela, ils doivent d’abord compter sur leurs propres forces.
Ce n’était jusqu’à peu qu’une indignation qui se transforme aujourd’hui en un véritable plaidoyer pour l’égalité des chances en Mauritanie. L’IRA l’a compris quand le coup de massue du ministère de l’intérieur a frappé le RAG (parti radical pour une action globale). Une façon pour l’interdire de jouer dans la cour des grands pour continuer son travail de sape contre l’exclusion, le racisme, le tribalisme et la féodalité qui symbolisent le régime de Ould Aziz.
Cette grave atteinte à la démocratie aura au moins permis aux militants anti esclavagistes d’actualiser le Manifeste du 29 avril dernier pour jeter un pavé dans la mare de la classe politique en demandant aux partis politiques qui prendront part aux législatives prochaines de tout mettre en œuvre pour faciliter l’entrée d’un député Hratin dans leurs listes électorales au niveau des Moughataa comportant plus d’un député au scrutin majoritaire et au moins un à la tête de l’une des listes élues à la proportionnelle.
A défaut, l’IRA s’engage à barrer la route à ceux qui refuseront. C’est la première fois qu’un mouvement mauritanien issu d’une organisation non gouvernementale non reconnue fasse une telle pression politique dans une déclaration publiée cette semaine par le site Cridem.
L’IRA se prépare ainsi à jouer les arbitres en octobre prochain. Apparemment les militants anti esclavagistes en ont les moyens ou du moins l’envergure comme en témoignent les succès de leurs nombreux meetings et caravane de liberté dans le passé.
Dans cette perspective un comité de suivi va mener une campagne pour sensibiliser toutes les populations .Une main tendue à tous les citoyens et aux leaders des partis politiques toutes tendances confondues pour examiner ces consignes de vote. D’ores et déjà des comités de soutien vont être créés dans tous les quartiers de la capitale et des grandes villes et dans tous les villages et hameaux du pays. Et pour couronner toute cette démarche, une grande marche pour la justice et l’égalité citoyenne peu avant les élections.
Pour les observateurs il s’agit d’un mouvement qui risque de prendre de l’ampleur et pourrait ainsi consolider le cordon sanitaire qui lie déjà l’IRA et les quelques mouvements citoyens et partis politiques négro mauritaniens .Lesquels continuent d’apporter leur soutien au RAG.
A coup sûr c’est l’UPR, le parti majoritaire qui est visé pour les sanctions parce que de toute façon il ne risquera pas de plaider pour cette ouverture mais c’est plus nuancé du côté de la nouvelle opposition dialoguiste même si l’on sait queOuld Boulkheir de l’APP ou Ould Houmeid d’El Wiam sont considérés comme des traîtres du mouvement originel El Hor à condition que leurs alliés aillent aux urnes.
En réalité dans le contexte actuel de crise la chance des Hratins est mince. Au fond l’IRA n’ambitionne pas d’avoir des élus pour les prochaines échéances mais entend marquer les esprits et des points et surtout dédramatiser son cas en vue de se préparer pour les années à venir.
En définitive cette déclaration- manifeste des cadres Hratins tombe à pic. Elle vise en particulier de faire prendre conscience à la communauté Hratine qu’elle est majoritaire dans le pays. Et par conséquent qu’elle doit pouvoir relever la tête pour construire un avenir meilleur. Pour cela, elle doit d’abord compter sur ses propres forces.
A défaut d’être reconnu politiquement, l’IRAs’engage à mettre à contribution sa communauté et tous les citoyens mauritaniens à faire barrage à tout parti politique qui refuserait au moins un député Hratin en position d’éligibilité dans toutes les listes candidates à la députation dans les Moughataa comportant plus d’un député au scrutin majoritaire et au moins un à la tête de l’une des listes élues à la proportionnelle.
C’est ce qui ressort de la déclaration de l’IRA issue du Manifeste du 29 avrildernier et publiée cette semaine par Cridem. Un véritable plaidoyer qui vient à point nommé pour l’égalité des chances en Mauritanie dont l’objectif est de faire prendre conscience aux Hratins qu’ils sont majoritaires aujourd’hui dans le pays pour construire ensemble l’avenir. Pour cela, ils doivent d’abord compter sur leurs propres forces.
Ce n’était jusqu’à peu qu’une indignation qui se transforme aujourd’hui en un véritable plaidoyer pour l’égalité des chances en Mauritanie. L’IRA l’a compris quand le coup de massue du ministère de l’intérieur a frappé le RAG (parti radical pour une action globale). Une façon pour l’interdire de jouer dans la cour des grands pour continuer son travail de sape contre l’exclusion, le racisme, le tribalisme et la féodalité qui symbolisent le régime de Ould Aziz.
Cette grave atteinte à la démocratie aura au moins permis aux militants anti esclavagistes d’actualiser le Manifeste du 29 avril dernier pour jeter un pavé dans la mare de la classe politique en demandant aux partis politiques qui prendront part aux législatives prochaines de tout mettre en œuvre pour faciliter l’entrée d’un député Hratin dans leurs listes électorales au niveau des Moughataa comportant plus d’un député au scrutin majoritaire et au moins un à la tête de l’une des listes élues à la proportionnelle.
A défaut, l’IRA s’engage à barrer la route à ceux qui refuseront. C’est la première fois qu’un mouvement mauritanien issu d’une organisation non gouvernementale non reconnue fasse une telle pression politique dans une déclaration publiée cette semaine par le site Cridem.
L’IRA se prépare ainsi à jouer les arbitres en octobre prochain. Apparemment les militants anti esclavagistes en ont les moyens ou du moins l’envergure comme en témoignent les succès de leurs nombreux meetings et caravane de liberté dans le passé.
Dans cette perspective un comité de suivi va mener une campagne pour sensibiliser toutes les populations .Une main tendue à tous les citoyens et aux leaders des partis politiques toutes tendances confondues pour examiner ces consignes de vote. D’ores et déjà des comités de soutien vont être créés dans tous les quartiers de la capitale et des grandes villes et dans tous les villages et hameaux du pays. Et pour couronner toute cette démarche, une grande marche pour la justice et l’égalité citoyenne peu avant les élections.
Pour les observateurs il s’agit d’un mouvement qui risque de prendre de l’ampleur et pourrait ainsi consolider le cordon sanitaire qui lie déjà l’IRA et les quelques mouvements citoyens et partis politiques négro mauritaniens .Lesquels continuent d’apporter leur soutien au RAG.
A coup sûr c’est l’UPR, le parti majoritaire qui est visé pour les sanctions parce que de toute façon il ne risquera pas de plaider pour cette ouverture mais c’est plus nuancé du côté de la nouvelle opposition dialoguiste même si l’on sait queOuld Boulkheir de l’APP ou Ould Houmeid d’El Wiam sont considérés comme des traîtres du mouvement originel El Hor à condition que leurs alliés aillent aux urnes.
En réalité dans le contexte actuel de crise la chance des Hratins est mince. Au fond l’IRA n’ambitionne pas d’avoir des élus pour les prochaines échéances mais entend marquer les esprits et des points et surtout dédramatiser son cas en vue de se préparer pour les années à venir.
En définitive cette déclaration- manifeste des cadres Hratins tombe à pic. Elle vise en particulier de faire prendre conscience à la communauté Hratine qu’elle est majoritaire dans le pays. Et par conséquent qu’elle doit pouvoir relever la tête pour construire un avenir meilleur. Pour cela, elle doit d’abord compter sur ses propres forces.
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