Yamassoukro - Des dirigeants ouest-africains réunis vendredi àYamoussoukro ont appelé le Conseil de sécurité de l'ONU à accélérer en vue de l'adoption d'une résolution autorisant l'envoi d'une force régionale au Mali contre les groupes armés qui contrôlent le Nord.
Le sommet se félicite de l'attention particulière accordée par le Conseil de sécurité des Nations unies à la requête de la Cédéao (Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest) pour une résolution autorisant le déploiement des troupes au Mali sous le chapitre VII des Nations unies, et exhorte le Conseil de sécurité à accélérer le processus, indique le communiqué final.
La Cédéao prépare depuis plusieurs semaines l'envoi éventuel d'une force au Mali, dont l'effectif est actuellement fixé à quelque 3.300 hommes.
Mais elle a besoin, avec l'Union africaine (UA), d'un soutien international à une telle opération, et d'un appui notamment logistique des Etats-Unis et de la France. Un premier projet a été jugé beaucoup trop imprécis au Conseil de sécurité de l'ONU, et la Cédéao revoit sa copie.
Les chefs d'Etat réunis dans la capitale politique ivoirienne autour de leur homologueAlassane Ouattara, président en exercice de la Cédéao, ont renouvelé leur engagement pour un règlement pacifique mais réitéré leur décision de recourir à une intervention armée si nécessaire, selon le communiqué lu par le président de la Commission de la Cédéao, Kadré Désiré Ouédraogo.
Pour accélérer ce déploiement, la Cédéao a décidé de l'envoi immédiat d'une mission technique d'évaluation au Mali, composée de militaires, pour préparer le terrain.
Les participants au sommet se sont inquiétés de l'objectif des groupes terroristes de créer dans le Nord-Mali un sanctuaire et un centre de coordination pour les réseaux terroristes du continent, comme Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), le Mujao, un autre des groupes qui se partagent le Nord-Mali depuis trois mois, le mouvement islamiste nigérian Boko Haramet les rebelles somaliens shebab.
La persistance de cette situation précaire constituera un danger pour la paix et la sécurité régionale et internationale, ont averti les dirigeants ouest-africains.
Le sommet se félicite de l'attention particulière accordée par le Conseil de sécurité des Nations unies à la requête de la Cédéao (Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest) pour une résolution autorisant le déploiement des troupes au Mali sous le chapitre VII des Nations unies, et exhorte le Conseil de sécurité à accélérer le processus, indique le communiqué final.
La Cédéao prépare depuis plusieurs semaines l'envoi éventuel d'une force au Mali, dont l'effectif est actuellement fixé à quelque 3.300 hommes.
Mais elle a besoin, avec l'Union africaine (UA), d'un soutien international à une telle opération, et d'un appui notamment logistique des Etats-Unis et de la France. Un premier projet a été jugé beaucoup trop imprécis au Conseil de sécurité de l'ONU, et la Cédéao revoit sa copie.
Les chefs d'Etat réunis dans la capitale politique ivoirienne autour de leur homologueAlassane Ouattara, président en exercice de la Cédéao, ont renouvelé leur engagement pour un règlement pacifique mais réitéré leur décision de recourir à une intervention armée si nécessaire, selon le communiqué lu par le président de la Commission de la Cédéao, Kadré Désiré Ouédraogo.
Pour accélérer ce déploiement, la Cédéao a décidé de l'envoi immédiat d'une mission technique d'évaluation au Mali, composée de militaires, pour préparer le terrain.
Les participants au sommet se sont inquiétés de l'objectif des groupes terroristes de créer dans le Nord-Mali un sanctuaire et un centre de coordination pour les réseaux terroristes du continent, comme Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi), le Mujao, un autre des groupes qui se partagent le Nord-Mali depuis trois mois, le mouvement islamiste nigérian Boko Haramet les rebelles somaliens shebab.
La persistance de cette situation précaire constituera un danger pour la paix et la sécurité régionale et internationale, ont averti les dirigeants ouest-africains.
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