Ely Ould Mohamed Vall démontre dans cet « interview » des qualités indéniables d’un menteur des plus vils. Quelle canaille !
Et d’abord, la prétendue « période de transition » conduite par Monsieur Ely est, sans doute, la plus terrible supercherie politique de l’histoire de la petite Mauritanie. En effet, jamais Ely n’aurait été à l’origine du renversement d’Ould Taya tant sa servilité évidente à l’égard de ce dernier était la plus totale mais aussi la plus dégradante, ce qui semblait convenir, parfaitement, à Monsieur Ely. Jamais le vol, la rapine, le pillage organisé des deniers publics n’ont été aussi féroces que pendant cette fameuse « période de transition ». Plusieurs Mauritaniens honnêtes et attentifs, plusieurs experts internationaux, dont des diplomates, en poste en Mauritanie, au moment de cette fumeuse période, l’ont constaté de visu ! Et pour preuve, après cette « transition», Monsieur Ely n’était-il pas devenu, soudainement, l’un des hommes les plus riches de la Mauritanie (pays des plus pauvres de la planète) ? Monsieur Ely, n’est-il pas, aujourd’hui encore, et ce depuis 2008, depuis qu’il a remis nous dit-il, cyniquement, « le pouvoir aux civils », l’un des principaux actionnaires « privés » du premier opérateur de téléphonie mobile en Mauritanie ?
Quant à ceux qui ont pris le pouvoir à leur mentor, Ould Taya, en 2005, leur seule motivation était une prédation primaire, digne des hommes des cavernes. En effet, leur crainte était que la Mauritanie, même devenue une charogne puante, ne leur échappe en tombant entre les mains d’autres prédateurs qui auraient pu éliminer tout le système (qui persiste encore) établi par Ould Taya et avec ce système tous les Ould Mohamed Vall et les Ould Abdel Aziz et bien d’autres qui furent les principaux majordomes au service du dictateur par eux déchu.
Quant aux massacres et déportations de fils de Mauritanie en 1989, tous négro-africains, et seulement parce qu’ils sont négro-africains, il est terrifiant d’écouter Monsieur Ely, qui en fut l’ouvrier-maître, nous déclarer, avec une froideur digne des plus grands criminels contre l’humanité, qu’il ne dira rien sur ce que fut son rôle dans cet holocauste mauritanien ! Évidemment, celui qui a participé, ne serait-ce que de loin, à un tel forfait ne fera jamais ses mea-culpa ! Que dire donc de celui qui en fut, de par même sa fonction, l’exécutant principal et servile ?
Monsieur Ely, vous savez mieux que quiconque, les circonstances exactes dans lesquelles de nombreux cadres mauritaniens négro-africains ont été raflés de leurs bureaux pour être jetés, manu-militari, ligotés, dans des avions, pour être expulsés au Mali ou au Sénégal ! Vous savez très bien combien de familles ont été transportées de forces dans des camions et encadrées par des militaires (de notre chère armée, républicaine, dites-vous) pour être jetées, extirpées de leur vie, de leur pays, de leur patrie, dépossédées de leurs biens, comme des malfrats, sur les frontières du Mali et du Sénégal !
Quant à la prétendue querelle entre Ould Mohammed Vall et Ould Abdel Aziz, cela aurait donné envie de rire si les choses n’étaient pas d’une telle gravité. Il est vrai qu’entre lycaons il arrive, des fois même, qu’on se donne des coups de dents, mais cela ne dure jamais longtemps, tant que l’odeur, de la proie gisante, peste !
Oui, nous l’avons bien compris, tout cela n’est qu’un jeu entre prédateurs qui se disputent une même proie, devenue charogne : la Mauritanie !
Mais la Vérité triomphe toujours ! Et c’est ainsi qu’Allah est grand !
Deyloule@yahoo.fr
Et d’abord, la prétendue « période de transition » conduite par Monsieur Ely est, sans doute, la plus terrible supercherie politique de l’histoire de la petite Mauritanie. En effet, jamais Ely n’aurait été à l’origine du renversement d’Ould Taya tant sa servilité évidente à l’égard de ce dernier était la plus totale mais aussi la plus dégradante, ce qui semblait convenir, parfaitement, à Monsieur Ely. Jamais le vol, la rapine, le pillage organisé des deniers publics n’ont été aussi féroces que pendant cette fameuse « période de transition ». Plusieurs Mauritaniens honnêtes et attentifs, plusieurs experts internationaux, dont des diplomates, en poste en Mauritanie, au moment de cette fumeuse période, l’ont constaté de visu ! Et pour preuve, après cette « transition», Monsieur Ely n’était-il pas devenu, soudainement, l’un des hommes les plus riches de la Mauritanie (pays des plus pauvres de la planète) ? Monsieur Ely, n’est-il pas, aujourd’hui encore, et ce depuis 2008, depuis qu’il a remis nous dit-il, cyniquement, « le pouvoir aux civils », l’un des principaux actionnaires « privés » du premier opérateur de téléphonie mobile en Mauritanie ?
Quant à ceux qui ont pris le pouvoir à leur mentor, Ould Taya, en 2005, leur seule motivation était une prédation primaire, digne des hommes des cavernes. En effet, leur crainte était que la Mauritanie, même devenue une charogne puante, ne leur échappe en tombant entre les mains d’autres prédateurs qui auraient pu éliminer tout le système (qui persiste encore) établi par Ould Taya et avec ce système tous les Ould Mohamed Vall et les Ould Abdel Aziz et bien d’autres qui furent les principaux majordomes au service du dictateur par eux déchu.
Quant aux massacres et déportations de fils de Mauritanie en 1989, tous négro-africains, et seulement parce qu’ils sont négro-africains, il est terrifiant d’écouter Monsieur Ely, qui en fut l’ouvrier-maître, nous déclarer, avec une froideur digne des plus grands criminels contre l’humanité, qu’il ne dira rien sur ce que fut son rôle dans cet holocauste mauritanien ! Évidemment, celui qui a participé, ne serait-ce que de loin, à un tel forfait ne fera jamais ses mea-culpa ! Que dire donc de celui qui en fut, de par même sa fonction, l’exécutant principal et servile ?
Monsieur Ely, vous savez mieux que quiconque, les circonstances exactes dans lesquelles de nombreux cadres mauritaniens négro-africains ont été raflés de leurs bureaux pour être jetés, manu-militari, ligotés, dans des avions, pour être expulsés au Mali ou au Sénégal ! Vous savez très bien combien de familles ont été transportées de forces dans des camions et encadrées par des militaires (de notre chère armée, républicaine, dites-vous) pour être jetées, extirpées de leur vie, de leur pays, de leur patrie, dépossédées de leurs biens, comme des malfrats, sur les frontières du Mali et du Sénégal !
Quant à la prétendue querelle entre Ould Mohammed Vall et Ould Abdel Aziz, cela aurait donné envie de rire si les choses n’étaient pas d’une telle gravité. Il est vrai qu’entre lycaons il arrive, des fois même, qu’on se donne des coups de dents, mais cela ne dure jamais longtemps, tant que l’odeur, de la proie gisante, peste !
Oui, nous l’avons bien compris, tout cela n’est qu’un jeu entre prédateurs qui se disputent une même proie, devenue charogne : la Mauritanie !
Mais la Vérité triomphe toujours ! Et c’est ainsi qu’Allah est grand !
Deyloule@yahoo.fr
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