En cette période d’examens, des individus véreux s’activent pour arnaquer des parents d’élèves peu scrupuleux ou complètement désorientés. C’est une véritable fraude qui s’organise avec comme maître d’œuvre ceux qui devaient constituer les pilliers de notre système éducatif.
Des groupes de professeurs (ceux de matières de base) pour chaque série, promettent le bac moyennant de fortes sommes (de 200 à 500 000 voire plus).Les modes opératoires sont généralement les suivants : il s’agit de convenir avec les élèves de signes suffisamment anodins pour échapper aux commissions techniques mais suffisamment précis pour être reconnus par les correcteurs.
Exemple : barrer le cinquième mot de la cinquième ligne et le sixième mot de la dixième ligne ; reprendre le début de la douzième ligne etc.
Si des complices sont dans les secrétariats pendant l’examen, ils peuvent préparer des copies traitées par des professeurs et les mettre à la place de celles des candidats. Cette opération de substitution peut se faire même pendant la correction. On prépare une copie et on la garde, dès que l’occasion se présente, on porte le ‘numéro fictif ‘ sur la copie préparée, on la découpe soigneusement et le tour est joué.
Il faut des mesures draconiennes pour mettre fin à ces pratiques mais des mesures urgentes peuvent limiter les dégâts :
- Choisir un numéro fictif différent pour chaque matière ou à défaut pour chaque matière de base, ce qui va compliquer les recherches de copies.
- Ne regrouper les correcteurs par discipline que pour la correction modèle que chacun va copier avant d’aller dans les salles de correction mixtes (avec des correcteurs de disciplines différentes voire de série différentes).
- Dans la mesure du possible changer une partie des correcteurs ou disperser les copies et du même coup les correcteurs.
Des groupes de professeurs (ceux de matières de base) pour chaque série, promettent le bac moyennant de fortes sommes (de 200 à 500 000 voire plus).Les modes opératoires sont généralement les suivants : il s’agit de convenir avec les élèves de signes suffisamment anodins pour échapper aux commissions techniques mais suffisamment précis pour être reconnus par les correcteurs.
Exemple : barrer le cinquième mot de la cinquième ligne et le sixième mot de la dixième ligne ; reprendre le début de la douzième ligne etc.
Si des complices sont dans les secrétariats pendant l’examen, ils peuvent préparer des copies traitées par des professeurs et les mettre à la place de celles des candidats. Cette opération de substitution peut se faire même pendant la correction. On prépare une copie et on la garde, dès que l’occasion se présente, on porte le ‘numéro fictif ‘ sur la copie préparée, on la découpe soigneusement et le tour est joué.
Il faut des mesures draconiennes pour mettre fin à ces pratiques mais des mesures urgentes peuvent limiter les dégâts :
- Choisir un numéro fictif différent pour chaque matière ou à défaut pour chaque matière de base, ce qui va compliquer les recherches de copies.
- Ne regrouper les correcteurs par discipline que pour la correction modèle que chacun va copier avant d’aller dans les salles de correction mixtes (avec des correcteurs de disciplines différentes voire de série différentes).
- Dans la mesure du possible changer une partie des correcteurs ou disperser les copies et du même coup les correcteurs.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire