Ils sont nombreux à quitter leurs pays en quête du savoir dans les Mahadrasresplendissantes de Mauritanie .Mais ce périple n’est pas souvent parsemé de bonheur ou de fleurs. Alakhbar a contacté certains de ces étudiants dans leursmahadras et a vu de prés comment ils vivent et comment sont nourris dans ce mois béni du Ramadan.
« Notre vie est dure..Avec seulement quelques bouchées de riz blanc sans sauce de l’eau et des restes des repas offerts par les voisins de la mosquée que nous vivons » affirme Moctar Touré le responsable de la Mahadra de la mosquéeZeinebou Mint cheikh Sidi Mohamed à Tenssoueilim (Dar-Naim)« voilà en somme notre pitance du crépuscule jusqu’à l’aube »ajoutait il .
Touré affirme « qu’ils sont au nombre de 40 étudiants venant du Sénégal de la Guinée Bissau et la Guinée Conakry pour le seul objectif d’apprendre par cœur le Saint Coran . On s’entasse dans cette tente et l’autre chambre c’est là où nous gardons nos bagages et nos vêtements et sa moitié est utilisée comme cuisine , mais on se retrouve contraint parfois à passer la nuit dans la mosquée »
« Notre vie est dure..Avec seulement quelques bouchées de riz blanc sans sauce de l’eau et des restes des repas offerts par les voisins de la mosquée que nous vivons » affirme Moctar Touré le responsable de la Mahadra de la mosquéeZeinebou Mint cheikh Sidi Mohamed à Tenssoueilim (Dar-Naim)« voilà en somme notre pitance du crépuscule jusqu’à l’aube »ajoutait il .
Touré affirme « qu’ils sont au nombre de 40 étudiants venant du Sénégal de la Guinée Bissau et la Guinée Conakry pour le seul objectif d’apprendre par cœur le Saint Coran . On s’entasse dans cette tente et l’autre chambre c’est là où nous gardons nos bagages et nos vêtements et sa moitié est utilisée comme cuisine , mais on se retrouve contraint parfois à passer la nuit dans la mosquée »
La coordination de collecte entre ces étudiants est la seule source de revenus ,souvent maigres ne pouvant acheter que du riz ,un peu d’huile et du lait en poudre , « pas d’autre source » confessait Touré. En cas de « déficit de budget » chaque étudiant doit s’évertuer à verser la somme de 100 ouguiya par n’importe quel moyen, même par mendicité s’il le faut. Faute de fonds suffisants ces étudiants font recours au médicament, à la portée de tous, connu sous le nom de Paracétamol pour soigner tout malaise
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