Scènes de liesse devant l'ambassade libyenne en Tunisie, mais aussi àBenghazi, le fief des insurgés : la dernière heure est arrivée disent les rumeurs depuis ce samedi 20 août 2011 au soir. De fait, des tirs plus violents qu'à l'accoutumée ont été entendus cette nuit à Tripoli. Le point sur les événements de ces dernières heures.
Des tirs intenses ont commencé peu après la rupture du jeûne du ramadan et qui se sont doublé vers 4 heures du matin de puissantes explosions, au moins quatre, apparemment dues à des bombardements de l'OTAN dont des avions survolaient la capitale libyenne.
Officiellement tout va bien, si l'on en croit le porte-parole du gouvernement, qui a tenu une conference de presse dans la nuit. Moussa Ibrahim confirme simplement de «petits affrontements» avec des infiltrés mais selon lui les forces loyalistes seraient venues à bout des insurgés au bout d'une demi-heure.
Des tirs intenses ont commencé peu après la rupture du jeûne du ramadan et qui se sont doublé vers 4 heures du matin de puissantes explosions, au moins quatre, apparemment dues à des bombardements de l'OTAN dont des avions survolaient la capitale libyenne.
Officiellement tout va bien, si l'on en croit le porte-parole du gouvernement, qui a tenu une conference de presse dans la nuit. Moussa Ibrahim confirme simplement de «petits affrontements» avec des infiltrés mais selon lui les forces loyalistes seraient venues à bout des insurgés au bout d'une demi-heure.
Alors une question se pose ce matin : la bataille finale pour Tripoli a-t-elle commencé comme l'ont affirmé plusieurs chefs rebelles ? Les adversaires du colonel Khadafi veulent y croire.
Des milliers de personnes en liesse sont descendus samedi soir dans les rues de Benghazi, la capitale de la rebellion. Manifestation de joie également Sabratah, à 50 km de Tripoli et aussi à l'étranger,comme en Tunisie, berceau du printemps arabe. A Tunis, des milliers de personnes sont allées accrocher samedi soir le drapeau de la rébellion sur l'ambassade deLibye.
Des milliers de personnes en liesse sont descendus samedi soir dans les rues de Benghazi, la capitale de la rebellion. Manifestation de joie également Sabratah, à 50 km de Tripoli et aussi à l'étranger,comme en Tunisie, berceau du printemps arabe. A Tunis, des milliers de personnes sont allées accrocher samedi soir le drapeau de la rébellion sur l'ambassade deLibye.
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