Alors que le dépôt des candidatures aux municipalités s'ouvre après deux jours, les forces politiques, y compris le parti au pouvoir, semblent négliger l'échéance.
Le décret de convocation du collège électoral fixe l'ouverture de dépôt des listes du 17 au 27 d'août, soit jour-J moins deux. Sur la scène politique, aucune décision de candidature n'a été prise. Le bureau exécutif du parti au pouvoir n'a pas encore discuté la question.
Auparavant, l'UPR, qui serait plus concerné, (car l'opposition s'oppose au calendrier électoral) avait promis "des candidatures qui viennent des bases".
Le décret de convocation du collège électoral fixe l'ouverture de dépôt des listes du 17 au 27 d'août, soit jour-J moins deux. Sur la scène politique, aucune décision de candidature n'a été prise. Le bureau exécutif du parti au pouvoir n'a pas encore discuté la question.
Auparavant, l'UPR, qui serait plus concerné, (car l'opposition s'oppose au calendrier électoral) avait promis "des candidatures qui viennent des bases".
Des commissions seront chargées de prendre contact avec celles-ci et rendre compte à la direction du parti pour trancher à propos des candidatures. "Rien n'a été fait dans ce sens" a confié une source au sein de ce parti à Alakhbar.
Le décret de convocation des élections a été approuvé le 28 juillet par le conseil des ministres, mais il n'a pas encore été signé pour publication. "Un report est plus que probable" selon un responsable au ministère de l'intérieur.
Paradoxalement, le décret cite dans son article 7 la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) qui doit, selon lui"superviser, contrôler et suivre" l'ensemble des opérations électorales. Cette institution, qui fonctionne théoriquement selon la loi 089-2009 du mars 2009, n'a plus aucune existence pratique.
Elle a été dissoute quelques mois après les élections présidentielles de juillet 2009 qui ont portéOuld Abdel aziz au pouvoir. Des observateurs trouvent "bizarre" le fait de citer dans un décret officiel une institution qui ne fonctionne plus.
Pour ce qui des sénatoriales, le dépôt des candidatures est déjà ouvert depuis le 12 août. Il doit être clôturé le 26 du mois courant. Pourtant, aucune mobilisation politique ne se sent.
Le décret de convocation des élections a été approuvé le 28 juillet par le conseil des ministres, mais il n'a pas encore été signé pour publication. "Un report est plus que probable" selon un responsable au ministère de l'intérieur.
Paradoxalement, le décret cite dans son article 7 la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) qui doit, selon lui"superviser, contrôler et suivre" l'ensemble des opérations électorales. Cette institution, qui fonctionne théoriquement selon la loi 089-2009 du mars 2009, n'a plus aucune existence pratique.
Elle a été dissoute quelques mois après les élections présidentielles de juillet 2009 qui ont portéOuld Abdel aziz au pouvoir. Des observateurs trouvent "bizarre" le fait de citer dans un décret officiel une institution qui ne fonctionne plus.
Pour ce qui des sénatoriales, le dépôt des candidatures est déjà ouvert depuis le 12 août. Il doit être clôturé le 26 du mois courant. Pourtant, aucune mobilisation politique ne se sent.
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