“L’honorable “ député Saleh Ould Hanene a encore une fois rate son coup. Il en effet mobilise toute une armada pour en découdre avec le Wali duHodh El Gharbi, qui est devenu son ennemi jure. Cette fois ci, son champ de bataille était l’hémicycle de l’assemblée nationale.
Le député avait envoyé au Ministre de l’Intérieur, une question orale relative à la gabegie au sein de l’administration territoriale. Jusque-là, rien d’anormal.Boilil n’a pas daigne venir à l’assemblée et répondre. Alors, notre Député jette son dévolu sur ce jeune Wali, qu’il considère comme le protégé du Ministre.
Les arguments avancés par le député sont pour le moins fallacieux. Sur la base de sa déclaration, nous avons essayé de recouper les informations.
Le député avait envoyé au Ministre de l’Intérieur, une question orale relative à la gabegie au sein de l’administration territoriale. Jusque-là, rien d’anormal.Boilil n’a pas daigne venir à l’assemblée et répondre. Alors, notre Député jette son dévolu sur ce jeune Wali, qu’il considère comme le protégé du Ministre.
Les arguments avancés par le député sont pour le moins fallacieux. Sur la base de sa déclaration, nous avons essayé de recouper les informations.
Saleh a commencé par accuser le wali d’avoir été à l’origine de la démolition des deux maisons à Aioun appartenant à des cousins a lui, oubliant au passage de plaider pour les autres familles qui ont été touchées dans le cadre de la réalisation de la voirie urbaine d’Aioun.
Notre «honorable » depute aurait préféré que la maison de la dame Fanta Coulibaly soit démolie au lieu du mur de la maison de ses cousins qui lui fait face. Pourtant le trace, réalisé par les services techniques du MET, épargne la maison de Mme Coulibaly, qui a pour tort de ne pas être la cousine de notre député.
L’autre affaire que Ould Hanene ne pardonne pas au Wali, est celle d’Oum Tikaten. Ce village, situe dans les confins de Kobeni est habité depuis les années 50 par des familles peuhls. Ces vaillants bergers ont toujours été considères par le député comme son bastion électoral. Ces peuhls votaient toujours pour Hatem, pour des raisons purement locales. Lors des dernières présidentielles, ils ont pris le taureau par les cornes et on décidés de faire librement leur choix en choisissant le candidat.
Notre Député les menace alors de leur faire quitter la zone prétextant que la terre appartiendrait à sa tribu, qui l’avait prêté aux Voullanes. Commença alors pour ces pauvres, une série de supplices et d’injustices, auxquelles le Wali, s’est courageusement oppose, à leur grand bonheur.
Mais au fond, et selon des informations concordantes, le député saleh ne s’est toujours pas remis, de la défection du Maire d’Aioun du parti Hatem vers l’UPR. Il accuse le wali d’avoir facilité cette défection en facilitant une rencontre entre ce Maire et le Président de la République, lors de son passage à Aioun. Rencontre à l’issue de laquelle le Maire a démissionné de Hatem et est devenu depuis lors, le fer de lance de l’UPR a Aioun.
Tout récemment, le Député s’était bruyamment oppose au parlement a l’ouverture de l’Université Islamique a Aioun. Ce qui lui a valu le courroux des populations de la région. Alors pour se racheter, il s’est mis à monter un dossier contre le wali, dans le but de redorer son blason fortement entache dans le fief. La sortie de Ould Hanene, a encore été un putsch rate. Il a proféré des allégations non fondées à l’égard du Wali, alors que tout Aioun et au-delà tout le Hodh Gharbi connait la réalité des choses.
Aussitôt après cette déclaration, Saleh s’est rendu à Aioun, mais devant l’accueil froid et les attaques dont il a fait l’objet de la part de ses plus proches, notre honorable député n’a pas fait 48 h sur place.
Sidi Mohamed Ould Youniss
Notre «honorable » depute aurait préféré que la maison de la dame Fanta Coulibaly soit démolie au lieu du mur de la maison de ses cousins qui lui fait face. Pourtant le trace, réalisé par les services techniques du MET, épargne la maison de Mme Coulibaly, qui a pour tort de ne pas être la cousine de notre député.
L’autre affaire que Ould Hanene ne pardonne pas au Wali, est celle d’Oum Tikaten. Ce village, situe dans les confins de Kobeni est habité depuis les années 50 par des familles peuhls. Ces vaillants bergers ont toujours été considères par le député comme son bastion électoral. Ces peuhls votaient toujours pour Hatem, pour des raisons purement locales. Lors des dernières présidentielles, ils ont pris le taureau par les cornes et on décidés de faire librement leur choix en choisissant le candidat.
Notre Député les menace alors de leur faire quitter la zone prétextant que la terre appartiendrait à sa tribu, qui l’avait prêté aux Voullanes. Commença alors pour ces pauvres, une série de supplices et d’injustices, auxquelles le Wali, s’est courageusement oppose, à leur grand bonheur.
Mais au fond, et selon des informations concordantes, le député saleh ne s’est toujours pas remis, de la défection du Maire d’Aioun du parti Hatem vers l’UPR. Il accuse le wali d’avoir facilité cette défection en facilitant une rencontre entre ce Maire et le Président de la République, lors de son passage à Aioun. Rencontre à l’issue de laquelle le Maire a démissionné de Hatem et est devenu depuis lors, le fer de lance de l’UPR a Aioun.
Tout récemment, le Député s’était bruyamment oppose au parlement a l’ouverture de l’Université Islamique a Aioun. Ce qui lui a valu le courroux des populations de la région. Alors pour se racheter, il s’est mis à monter un dossier contre le wali, dans le but de redorer son blason fortement entache dans le fief. La sortie de Ould Hanene, a encore été un putsch rate. Il a proféré des allégations non fondées à l’égard du Wali, alors que tout Aioun et au-delà tout le Hodh Gharbi connait la réalité des choses.
Aussitôt après cette déclaration, Saleh s’est rendu à Aioun, mais devant l’accueil froid et les attaques dont il a fait l’objet de la part de ses plus proches, notre honorable député n’a pas fait 48 h sur place.
Sidi Mohamed Ould Youniss
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