La situation actuelle de la Mauritanie «n’est pas propice pour une élection » a souligné le président de l’APP et de l’Assemblée Nationale, Messoud Ould Boulkheir dans un meeting organisé cevendredi par son parti.
« Nous avons écouté dans les cercles de l’administration des informations concernant la tenue des élections selon le calendrier prévu. Au niveau de l’APP nous affirmons que le climat n’est pas propice pour un scrutin » a martélé Ould Boulkheir.
Ould Boulkheir a indiqué que « le dialogue concerne l’essentiel de la démocratie ; il doit aborder les questions liées à l’unité nationale, au rôle des partis politiques, au retour de l’armée à son rôle d’armée républicaine et quitter la scène politique, et enfin, à la neutralité de l’administration qui doit veiller aux préoccupations des populations».
« Nous avons écouté dans les cercles de l’administration des informations concernant la tenue des élections selon le calendrier prévu. Au niveau de l’APP nous affirmons que le climat n’est pas propice pour un scrutin » a martélé Ould Boulkheir.
Ould Boulkheir a indiqué que « le dialogue concerne l’essentiel de la démocratie ; il doit aborder les questions liées à l’unité nationale, au rôle des partis politiques, au retour de l’armée à son rôle d’armée républicaine et quitter la scène politique, et enfin, à la neutralité de l’administration qui doit veiller aux préoccupations des populations».
Il a ajouté, concernant « le problème » du recensement des citoyens, qu’ «il faut revenir à des choses claires » affirmant que le véritable recensement c’est de « garantir à chaque citoyen mauritanien sa carte d’identifié, son certificat de nationalité et sa carte d’électeur. Le citoyen, a-t-il rappelé, doit avoir tous ses documents et accéder au vote ».
Ould Boulkheir a enfin, rappelé « le problème des gazras ». «C’est un problème qui me poursuit partout où je suis. Il faut répartir entre les populations les terres et les lieux d’habitation; parce que cela relève de leur droit élémentaire, il faut également cesser la spéculation sur les terres et mettre fin au problème de la Gazra » a-t-il affirmé.
Ould Boulkheir a enfin, rappelé « le problème des gazras ». «C’est un problème qui me poursuit partout où je suis. Il faut répartir entre les populations les terres et les lieux d’habitation; parce que cela relève de leur droit élémentaire, il faut également cesser la spéculation sur les terres et mettre fin au problème de la Gazra » a-t-il affirmé.
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