A quoi sert une route ? Elle permet la circulation des véhicules à roues. Faux diront les commerçants du marché du 5e arrondissement. Elle sert à stocker les marchandises. Construites pour fluidifier la circulation, les routes du grand marché de la banlieue ont été monopolisées par les commerçants et les marchands ambulants, créant à longueur de journée, des embouteillages monstres sur la périphérie.
Situé au cœur de la capitale, le marché du 5e arrondissement peine à respirer. Et pour cause, ses nouvelles routes, censées fluidifier la circulation des personnes et des automobiles, semblent être son plus grand malheur.
Aménagées récemment par les autorités publiques, elles ont été accaparées par les commerçants, créant à longueur de journée, des bouchons interminables sur sa voie principale. Notre reporter s’est rendu sur les lieux.
Situé au cœur de la capitale, le marché du 5e arrondissement peine à respirer. Et pour cause, ses nouvelles routes, censées fluidifier la circulation des personnes et des automobiles, semblent être son plus grand malheur.
Aménagées récemment par les autorités publiques, elles ont été accaparées par les commerçants, créant à longueur de journée, des bouchons interminables sur sa voie principale. Notre reporter s’est rendu sur les lieux.
Les voitures s’avançaient en queue leu-leu, impossible pour eux de se frayer un chemin. Sur le trottoir, charretiers et automobilistes se disputent la moindre brèche. Dans cette soirée du dimanche 10 juillet, nombreux ont été les passagers qui ont préféré continuer à pieds pour éviter de s’éterniser dans cette fournaise. A coup de reins, ils évitaient les coups d’éclats des automobilistes.
A pas feutrés, les visiteurs se dirigeaient vers l’antre qui ne cessait de repousser, l’attaque de ses envahisseurs. Son refus se caractérise par l’étranglement de ses routes par des commerçants qui ne se soucient guère de sa suffocation. Sans coup férir, les marchands ambulants étalent leurs marchandises au beau milieu de la route sous le nez et la barbe des autorités municipales. Maitres des lieux, ils dictent leur loi à un marché qui peine à respirer.
Ses artères, en véritables catalyseurs, augmentent son ébullition qui à défaut d’agents de sécurité, prend en otage, automobilistes et badauds pendants de longues minutes. S’époumonant de temps en temps, le marché est vite repris dans son élan par les multiples effractions commises par les automobilistes. A défaut d’un parc de stationnement, un commerçant se paie le luxe de garer sa voiture 4/4, au beau milieu de la route.
Il part rejoindre son magasin qui fait pignon sur rue, sans crier gare, laissant la circulation au bout de l’asphyxie. Pris entre les tenailles, les badauds font des slaloms géantes pour sortir de cette engrenage. En file indienne, ils essaient de se frayer un passage entre les étals des marchands ambulants et les lourdes charges des porteurs. Dos au mur, ils avancent au ralenti, impossible pour eux de voir le bout du tunnel.
A l’horizon, aucun agent du Groupement Général de la Sécurité des Routes (GGSR) pour alléger leur souffrance. Ils savent que seule leur patience les aidera à surmonter ce supplice. Tourmenté par ses énormes bouchons et le laisser-aller des commerçants, le marché du 5e arrondissement ne doit pas mérité un tel sort. Ils devaient bénéficier à longueur de journée de l’aide des agents du GGSR pour redressé la barre.
Dialtabé
A pas feutrés, les visiteurs se dirigeaient vers l’antre qui ne cessait de repousser, l’attaque de ses envahisseurs. Son refus se caractérise par l’étranglement de ses routes par des commerçants qui ne se soucient guère de sa suffocation. Sans coup férir, les marchands ambulants étalent leurs marchandises au beau milieu de la route sous le nez et la barbe des autorités municipales. Maitres des lieux, ils dictent leur loi à un marché qui peine à respirer.
Ses artères, en véritables catalyseurs, augmentent son ébullition qui à défaut d’agents de sécurité, prend en otage, automobilistes et badauds pendants de longues minutes. S’époumonant de temps en temps, le marché est vite repris dans son élan par les multiples effractions commises par les automobilistes. A défaut d’un parc de stationnement, un commerçant se paie le luxe de garer sa voiture 4/4, au beau milieu de la route.
Il part rejoindre son magasin qui fait pignon sur rue, sans crier gare, laissant la circulation au bout de l’asphyxie. Pris entre les tenailles, les badauds font des slaloms géantes pour sortir de cette engrenage. En file indienne, ils essaient de se frayer un passage entre les étals des marchands ambulants et les lourdes charges des porteurs. Dos au mur, ils avancent au ralenti, impossible pour eux de voir le bout du tunnel.
A l’horizon, aucun agent du Groupement Général de la Sécurité des Routes (GGSR) pour alléger leur souffrance. Ils savent que seule leur patience les aidera à surmonter ce supplice. Tourmenté par ses énormes bouchons et le laisser-aller des commerçants, le marché du 5e arrondissement ne doit pas mérité un tel sort. Ils devaient bénéficier à longueur de journée de l’aide des agents du GGSR pour redressé la barre.
Dialtabé
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