Plus de professionnalisme, c’est ce qu’aurait souhaité le Président Ould Abdel Aziz à ses supports politiques et particulièrement en matière d’initiatives de communication pertinentes. La campagne de soutien à la Mosquée d’Alqsa et la population palestinienne de Gaza entreprise actuellement par Tawassoul vient driblerOuld Abdel Aziz dans son propre camp.
Lui qui pense avoir eu le courage de rompre les relations de la Mauritanie avec Israëlpour dénoncer l’attaque de Gaza à un moment où ceux qui lui ravissent l’initiative actuelle de soutien s’accommodaient fort bien à l’époque de cette relation de désolidarisation flagrante avec le peuple palestinien frère. D’où vient cette léthargie de communication de la majorité présidentielle réputée plus nombreuse et mieux lotie que l’opposition démocratique ?
Est-ce la conséquence d’une centralisation à outrance des initiatives du camp présidentiel aux mains de quelques politiques rompus à la stratégie de non communication ou au mieux celle de la défensive adoptée par ce machin dénommé UPR ?
Ou serait -on en manque de ressources financières dédiées à ce poste budgétaire au sein des partis de la majorité ? Ou tout simplement la solidarité avec le gouvernement est réduite à sa plus simple expression parce que le gouvernement ne provient pas d’un partage savant de postes de ce conglomérat de partis qui se forme et se déforme autour d’Ould Abdel Aziz au gré du lancement de grands projets politiques comme le règlement du passif humanitaire ou le dialogue inclusif entre la majorité et une partie de l’opposition ?
En tous cas l’année 2012, tel qu’elle est annoncée par les organismes internationaux en charge de la problématique de la sécurité alimentaire risque d’être particulièrement difficile. Si l’on y ajoute les défis du reflux des populations du Mali et le cheptel mauritanien de ce pays, il y a lieu de craindre le pire. C’est dire que les véritables soutiens du président mauritanien doivent multiplier les initiatives réfléchies et opportunes pour capitaliser les avancées courageuses de la politique d’Ould Abdel Aziz dans le domaine du ralentissement de l’effet de la crise financière internationale sur les couches les plus démunies en Mauritanie.
Il s’agit surtout de saisir l’ampleur réelle de la détérioration des conditions de vie de ces couches qui ont commencé à sentir l’effet de la prise en compte de la dimension sociale des politiques de développement par l’Etat mauritanien.
Pour cela, un travail d’audit de qualité des grandes opérations visant ces populations doivent être entamées le plus rapidement possible en vue de rectifier le tir pour éviter qu’une grande frange de cette population soit gagnée ,au cours d’une période de hausse mondiale des prix d’hydrocarbures et de denrées alimentaires ,par le scepticisme d’une classe politique qui commence à souffrir du recul de prébendes et autres niches budgétaires sensés leur alléger quelque peu les aléas du marché.
Qui est ce qui devra faire ce travail ? Ce sont surtout ceux qui adhèrent complètement au programme présidentiel, nonobstant leur position dans la hiérarchie politique et/ou gouvernementale mais possédant les compétences et la volonté requises.
Lui qui pense avoir eu le courage de rompre les relations de la Mauritanie avec Israëlpour dénoncer l’attaque de Gaza à un moment où ceux qui lui ravissent l’initiative actuelle de soutien s’accommodaient fort bien à l’époque de cette relation de désolidarisation flagrante avec le peuple palestinien frère. D’où vient cette léthargie de communication de la majorité présidentielle réputée plus nombreuse et mieux lotie que l’opposition démocratique ?
Est-ce la conséquence d’une centralisation à outrance des initiatives du camp présidentiel aux mains de quelques politiques rompus à la stratégie de non communication ou au mieux celle de la défensive adoptée par ce machin dénommé UPR ?
Ou serait -on en manque de ressources financières dédiées à ce poste budgétaire au sein des partis de la majorité ? Ou tout simplement la solidarité avec le gouvernement est réduite à sa plus simple expression parce que le gouvernement ne provient pas d’un partage savant de postes de ce conglomérat de partis qui se forme et se déforme autour d’Ould Abdel Aziz au gré du lancement de grands projets politiques comme le règlement du passif humanitaire ou le dialogue inclusif entre la majorité et une partie de l’opposition ?
En tous cas l’année 2012, tel qu’elle est annoncée par les organismes internationaux en charge de la problématique de la sécurité alimentaire risque d’être particulièrement difficile. Si l’on y ajoute les défis du reflux des populations du Mali et le cheptel mauritanien de ce pays, il y a lieu de craindre le pire. C’est dire que les véritables soutiens du président mauritanien doivent multiplier les initiatives réfléchies et opportunes pour capitaliser les avancées courageuses de la politique d’Ould Abdel Aziz dans le domaine du ralentissement de l’effet de la crise financière internationale sur les couches les plus démunies en Mauritanie.
Il s’agit surtout de saisir l’ampleur réelle de la détérioration des conditions de vie de ces couches qui ont commencé à sentir l’effet de la prise en compte de la dimension sociale des politiques de développement par l’Etat mauritanien.
Pour cela, un travail d’audit de qualité des grandes opérations visant ces populations doivent être entamées le plus rapidement possible en vue de rectifier le tir pour éviter qu’une grande frange de cette population soit gagnée ,au cours d’une période de hausse mondiale des prix d’hydrocarbures et de denrées alimentaires ,par le scepticisme d’une classe politique qui commence à souffrir du recul de prébendes et autres niches budgétaires sensés leur alléger quelque peu les aléas du marché.
Qui est ce qui devra faire ce travail ? Ce sont surtout ceux qui adhèrent complètement au programme présidentiel, nonobstant leur position dans la hiérarchie politique et/ou gouvernementale mais possédant les compétences et la volonté requises.
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