L’expérience politique purement islamiste – contrairement à « islamique »- semble montrer de plus en plus ses limites, avec ces échecs cuisants enregistrés par ce courant en Libye, en Egypte, en Tunisieet en Syrie. Des Etats qui sont l’incarnation de ce que l’on appelle aujourd’hui le printemps arabe.
Si dans ces pays, les révolutions ont permis de dégager des dictateurs, elles n’ont malheureusement pas réussi à tirer ces nations du tourbillon de la division et de la fragmentation, conduisant à la naissance d’entités devenues ennemies les unes aux autres, œuvrant en premier dans la satisfaction de leurs propres intérêts au lieu de servir la cause générale de tout un peuple.
Si ces expériences islamistes, qui ont à leur actif quelques mois d’exercice de la politique des Etats en Tunisie, en Egypte et en Libye, elles n’ont pas réussi jusqu’à présent à montrer leurs avantages, puisque ces pays dirigés à l’époque par des présumés despotes, étaient quand même développés, sécurisés et lancés à l’apprentissage de l’unité nationale et de la démocratie.
Actuellement, ces Etats sont exposés à tous les dangers, puisqu’ils n’arrivent pas encore à murir leur transition et à réaliser les mirages de la liberté, de la démocratie et du développement. Cette situation pousse par ailleurs des élites mauritaniennes de tout bord à s’interroger qui sont les islamistes, pour donner des leçons, si les conséquences de leur règne politique est tel que nous en sommes témoins dans notre environnement arabe immédiat et lointain.
L’expérience islamiste est le système politique dont la République Islamique de Mauritaniea le moins besoin, dés lors où cette terre des mille et un érudits, sait parfaitement comment tirer profit de sa sainte religion loin de tout extrémisme et excès.
D’ailleurs, l’expérience islamiste qui n’a réussi jusqu’à ce jour qu’à faire sauter la cohésion et la paix sociale des Etats est plutôt assimilée actuellement à un néocolonialisme, mené par les occidentaux à travers des canaux astucieux et insoupçonnables pour réaliser leur printemps occidental sous le label du printemps arabe.
Des insurrections, qui comme Oussama Ben Laden, Al-Qaeda seraient des produits purement fabriqués par les américains dont les pions islamistes ou terroristes selon les cas, sont sous l’œil vigilant des autorités, aussi bien quand ils se confondent dans les manifs que quand ils prennent part aux conférences de presse.
Ce sont ces grands défis qui interpellent aujourd’hui plus que jamais le président de la république et l’armée à protéger leur pays, leurs concitoyens et leur peuple d’un virus dangereux qui n’a causé jusqu’à présent que du mal dans les pays contaminés.
Mohamed Salem Ould Haiba
Si dans ces pays, les révolutions ont permis de dégager des dictateurs, elles n’ont malheureusement pas réussi à tirer ces nations du tourbillon de la division et de la fragmentation, conduisant à la naissance d’entités devenues ennemies les unes aux autres, œuvrant en premier dans la satisfaction de leurs propres intérêts au lieu de servir la cause générale de tout un peuple.
Si ces expériences islamistes, qui ont à leur actif quelques mois d’exercice de la politique des Etats en Tunisie, en Egypte et en Libye, elles n’ont pas réussi jusqu’à présent à montrer leurs avantages, puisque ces pays dirigés à l’époque par des présumés despotes, étaient quand même développés, sécurisés et lancés à l’apprentissage de l’unité nationale et de la démocratie.
Actuellement, ces Etats sont exposés à tous les dangers, puisqu’ils n’arrivent pas encore à murir leur transition et à réaliser les mirages de la liberté, de la démocratie et du développement. Cette situation pousse par ailleurs des élites mauritaniennes de tout bord à s’interroger qui sont les islamistes, pour donner des leçons, si les conséquences de leur règne politique est tel que nous en sommes témoins dans notre environnement arabe immédiat et lointain.
L’expérience islamiste est le système politique dont la République Islamique de Mauritaniea le moins besoin, dés lors où cette terre des mille et un érudits, sait parfaitement comment tirer profit de sa sainte religion loin de tout extrémisme et excès.
D’ailleurs, l’expérience islamiste qui n’a réussi jusqu’à ce jour qu’à faire sauter la cohésion et la paix sociale des Etats est plutôt assimilée actuellement à un néocolonialisme, mené par les occidentaux à travers des canaux astucieux et insoupçonnables pour réaliser leur printemps occidental sous le label du printemps arabe.
Des insurrections, qui comme Oussama Ben Laden, Al-Qaeda seraient des produits purement fabriqués par les américains dont les pions islamistes ou terroristes selon les cas, sont sous l’œil vigilant des autorités, aussi bien quand ils se confondent dans les manifs que quand ils prennent part aux conférences de presse.
Ce sont ces grands défis qui interpellent aujourd’hui plus que jamais le président de la république et l’armée à protéger leur pays, leurs concitoyens et leur peuple d’un virus dangereux qui n’a causé jusqu’à présent que du mal dans les pays contaminés.
Mohamed Salem Ould Haiba
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