Alakhbar (Nouakchott) la victoire triomphale des rebelles libyens qui a percé l’énigme de Kaddafi dans son fief de Bab El Azizia,ces derniers jours, a braqué les regards de tous les pays magrébiens vers ce pays voisin.
Le gouvernement Mauritanien pour sa part garde encore le silence, malgré le ralliement de l’ambassadeur libyen accrédité à Nouakchott au Conseil National de Transition et la levée des couleurs de ce dernier dans l’enceinte de l’ambassade.
Notons que le président mauritanien est un allié fidèle de khaddafi qui l’a fort soutenu lors de la crise née du putsh de 2008. Khaddafi n’a pas caché son soutien à Ould Abdel Aziz dans cette crise.
La Tunisie, pays frontalier de la Libye est directement affectée par cette crise, a vite reconnu le nouveau Conseil national de Transition basé à Benghazi où sont dirigeaientt les opérations contre Khaddafi et ses bataillons indomptables depuis février dernier.
Le Royaume du Maroc a, quant à lui dépêché son ministre des affaires étrangères, Tayeb El Vassi El Vehri, hier à Benghazi pour remettre un message de reconnaissance du roi Mohamed IX au CNT libyen.
Le gouvernement algérien, a de son coté déclaré qu’il comptait rapidement progresser vers la normalisation des relations avec la CNT libyen à condition que ce dernier accepte de présenter « ses excuses pour les accusations portées contre la régime algérien »
Dans le dit communiqué publié ce mercredi 24 Août par le gouvernement algérien, ce dernier a réfuté à plusieurs reprises les allégations selon lesquelles l’Algérie aurait soutenu le régime de kaddafi pendant le conflit « et a tenu à rappeler que l’Algérie n’a, depuis le déclenchement du mouvement de contestation à Benghazi en février soutenu ni politiquement, ni militairement, ni sous aucune autre forme, le régime de khadafi »
Le gouvernement Mauritanien pour sa part garde encore le silence, malgré le ralliement de l’ambassadeur libyen accrédité à Nouakchott au Conseil National de Transition et la levée des couleurs de ce dernier dans l’enceinte de l’ambassade.
Notons que le président mauritanien est un allié fidèle de khaddafi qui l’a fort soutenu lors de la crise née du putsh de 2008. Khaddafi n’a pas caché son soutien à Ould Abdel Aziz dans cette crise.
La Tunisie, pays frontalier de la Libye est directement affectée par cette crise, a vite reconnu le nouveau Conseil national de Transition basé à Benghazi où sont dirigeaientt les opérations contre Khaddafi et ses bataillons indomptables depuis février dernier.
Le Royaume du Maroc a, quant à lui dépêché son ministre des affaires étrangères, Tayeb El Vassi El Vehri, hier à Benghazi pour remettre un message de reconnaissance du roi Mohamed IX au CNT libyen.
Le gouvernement algérien, a de son coté déclaré qu’il comptait rapidement progresser vers la normalisation des relations avec la CNT libyen à condition que ce dernier accepte de présenter « ses excuses pour les accusations portées contre la régime algérien »
Dans le dit communiqué publié ce mercredi 24 Août par le gouvernement algérien, ce dernier a réfuté à plusieurs reprises les allégations selon lesquelles l’Algérie aurait soutenu le régime de kaddafi pendant le conflit « et a tenu à rappeler que l’Algérie n’a, depuis le déclenchement du mouvement de contestation à Benghazi en février soutenu ni politiquement, ni militairement, ni sous aucune autre forme, le régime de khadafi »
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