03-04-2015 11:54 -
Cheikhany Ould Sidina - Il est clair que le choix du site de Nouakchott parParis en 1958 comme future Capitale de laMauritanie a été une erreur. Nouakchott est construite à un niveau inférieur au niveau de l’Océan et coure aujourd’hui deux risques :
- 1- Le premier, le moins grave, est qu’elle se transforme rapidement dans plusieurs de ses quartiers en marres salées inhabitables sous l’effet du système de vases communicants de remontées capillaires maritimes.
- 2- Le second apocalyptique est qu’il risque à tout moment le débordement des vagues furieuses de l’Océan pour être totalement englouti sans cri d’alarme pour cause du l’augmentation du niveau de la mer provoqué par le dégel rapide des Océans glaciaux provoqué par le phénomène du réchauffement de la terre qui sera l’objet de la grande conférence 2015 de Paris.
- Notre Gouvernement doit être conscient de ce double risques pour solliciter d’urgence, en préparation de la Grande Conférence de Paris:
- 1- L’assistance technique de la France pour la valorisation alimentaire des actuelles et futures marres de la Capitale eu égard à sa notoriété de celle-ci en matière de valorisation alimentaire des marres (frenkenfish et autre techniques culturales aquacoles : l’aquaponie, pisciculture...).
- 2- L’assistance technique de la Hollande (spécialiste des Pays Bas dans les barrages anti-débordements de l’Océan) pour proposer la protection deNouakchott, sur fonds mondial, contre le débordement de l’Océan.
Ces deux dossiers méritent d’être préparés d’urgence et présentés à la Grande Conférence de Paris sur les changements climatiques qui aura lieu du 30 novembre au 15 décembre 2015 à Paris.
Au cas où l’Etat ne serait pas prêt à présenter et à défendre ces deux dossiers, notre ONG serait disposée, de préparer si elle y est invitée par Paris ou proposée par l’Etat et de défendre la présentation de ses deux dossiers urgents qu’elle soulève depuis longtemps, par voie de presse sans suite, à la dite conférence internationale sur l’Environnement.
Nouakchott le 2 Avril 2015
Cheikhany Ould Sididina
Responsable de l’ONG SOS Environnement.
Cheikhany_ouldsidina@yahoo.fr
- 1- Le premier, le moins grave, est qu’elle se transforme rapidement dans plusieurs de ses quartiers en marres salées inhabitables sous l’effet du système de vases communicants de remontées capillaires maritimes.
- 2- Le second apocalyptique est qu’il risque à tout moment le débordement des vagues furieuses de l’Océan pour être totalement englouti sans cri d’alarme pour cause du l’augmentation du niveau de la mer provoqué par le dégel rapide des Océans glaciaux provoqué par le phénomène du réchauffement de la terre qui sera l’objet de la grande conférence 2015 de Paris.
- Notre Gouvernement doit être conscient de ce double risques pour solliciter d’urgence, en préparation de la Grande Conférence de Paris:
- 1- L’assistance technique de la France pour la valorisation alimentaire des actuelles et futures marres de la Capitale eu égard à sa notoriété de celle-ci en matière de valorisation alimentaire des marres (frenkenfish et autre techniques culturales aquacoles : l’aquaponie, pisciculture...).
- 2- L’assistance technique de la Hollande (spécialiste des Pays Bas dans les barrages anti-débordements de l’Océan) pour proposer la protection deNouakchott, sur fonds mondial, contre le débordement de l’Océan.
Ces deux dossiers méritent d’être préparés d’urgence et présentés à la Grande Conférence de Paris sur les changements climatiques qui aura lieu du 30 novembre au 15 décembre 2015 à Paris.
Au cas où l’Etat ne serait pas prêt à présenter et à défendre ces deux dossiers, notre ONG serait disposée, de préparer si elle y est invitée par Paris ou proposée par l’Etat et de défendre la présentation de ses deux dossiers urgents qu’elle soulève depuis longtemps, par voie de presse sans suite, à la dite conférence internationale sur l’Environnement.
Nouakchott le 2 Avril 2015
Cheikhany Ould Sididina
Responsable de l’ONG SOS Environnement.
Cheikhany_ouldsidina@yahoo.fr
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Source : Cheikhany Ould Sidina
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