Pour Stefaan Depypere, le Directeur des Conventions à l’UE, le nouvel accord de pêche Mauritanie-UE "constitue un jalon sur le renforcement du partenariat entre les deux parties notamment dans le domaine des pêches".
Mauritanies1 : Quels étaient les véritables facteurs de blocage du renouvellement des accords de pêche liant la Mauritanie à la Commission ?
Il n’ya pas eu de facteurs de blocages, c’est un accord extrêmement complexe, il ya beaucoup d’espèces dont il faut parler. On a aussi pris en compte des conditions techniques et financières. Il fallait faire tout cela très soigneusement.
On a considéré le cas certaines espèces pour en diminuer ou en augmenter selon les normes. Il n’ya pas eu de vrais blocages. Les céphalopodes font partie des espèces qui ont fait l’objet de débat. On a dit qu’il n’ya pas de surplus provisoirement., c’est une espèce qui se rétablit très rapidement.
Mauritanies1 : La crise économique affecte aujourd’hui certains pays européens comme l’Espagne et la Grèce où la pêche représente une grande part de leur économie. Ce contexte a-t-il pesé sur la signature ?
La commission a défini de nouveaux paramètres pour conclure de nouveaux accords. Il s’agit de bien prendre soin de la durabilité et d’établie un prix correct en fonction des marchés.Il ya certaines parties de l’Europe qui connaissent des problèmes économiques. On est très confiant qu’on va les surmonter. Dans certains pays, la pêche est importante c’est pour cela que nous nous réjouissons de cet accord avec la Mauritanie.
Mauritanies1 : Peut-on dire que les accords de pêche précédents n’étaient pas équitables ?
On ne peut pas dire cela. C’est une matière qui évolue et l’on a aujourd’hui de nouveaux concepts qui sont intégrés. Cela ne veut pas dire que les gens qui ont travaillé avant nous avaient pris de mauvaises décisions. La pêche est un secteur en évolution.Nous intégrons maintenant de nouveaux concepts dans ces accords qui paraissent être plus adéquats conformément aux défis de l’heure.
Mauritanies1 : Quels étaient les véritables facteurs de blocage du renouvellement des accords de pêche liant la Mauritanie à la Commission ?
Il n’ya pas eu de facteurs de blocages, c’est un accord extrêmement complexe, il ya beaucoup d’espèces dont il faut parler. On a aussi pris en compte des conditions techniques et financières. Il fallait faire tout cela très soigneusement.
On a considéré le cas certaines espèces pour en diminuer ou en augmenter selon les normes. Il n’ya pas eu de vrais blocages. Les céphalopodes font partie des espèces qui ont fait l’objet de débat. On a dit qu’il n’ya pas de surplus provisoirement., c’est une espèce qui se rétablit très rapidement.
Mauritanies1 : La crise économique affecte aujourd’hui certains pays européens comme l’Espagne et la Grèce où la pêche représente une grande part de leur économie. Ce contexte a-t-il pesé sur la signature ?
La commission a défini de nouveaux paramètres pour conclure de nouveaux accords. Il s’agit de bien prendre soin de la durabilité et d’établie un prix correct en fonction des marchés.Il ya certaines parties de l’Europe qui connaissent des problèmes économiques. On est très confiant qu’on va les surmonter. Dans certains pays, la pêche est importante c’est pour cela que nous nous réjouissons de cet accord avec la Mauritanie.
Mauritanies1 : Peut-on dire que les accords de pêche précédents n’étaient pas équitables ?
On ne peut pas dire cela. C’est une matière qui évolue et l’on a aujourd’hui de nouveaux concepts qui sont intégrés. Cela ne veut pas dire que les gens qui ont travaillé avant nous avaient pris de mauvaises décisions. La pêche est un secteur en évolution.Nous intégrons maintenant de nouveaux concepts dans ces accords qui paraissent être plus adéquats conformément aux défis de l’heure.
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