Il sera fastidieux à un observateur de la vie politique de notre pays de pouvoir citer tous les noms qu'ont connus les différentes coallitions des partis d'opposition. A cause tout simplement du manque du sérieux des leaders de l'opposition et de l'absence d'un projet de société commun des dits partis.
Dans l'histoire de la politique Mauritanienne et ce depuis l'avènement du multipartisme dans le pays, l'opposition a toujours brillé de façon concrète par son désunion. Les élections présidentielles de 2007 et de 2009 peuvent être citées en exemple.
En 2007, lors du second tour de l'élection présidentielle, le candidat de l'opposition n'a pas obtenu le soutien de tous les opposants récalés au premier tour. En 2009, lors des élections présidentielles qui ont porté au pouvoir, Mohamed O Abdel Aziz, l'actuel président, le même scénario aurait dû se reproduire s'il y avait un deuxième tour.
Car, on se rappelle, qu'en pleine campagne électorale, à travers des propos d'un candidat dont le parti était membre du FNDD, on comprenait clairement qu'il pouvait s'allier avec n'importe qui en cas de second tour. Ce comportement peut orthodoxe de leaders de l'opposition ou des partis d'opposition en période électorale est dû essentiellement à l'absence d'un projet de société commun.
Parallement à celà, la Mauritanie connaît présentement une crise politique occasionnée par l'inexistence d'un dialogue entre le pouvoir et la coordination de l'opposition démocratique (COD) et surtout par le non respect du calendrier républicain. D'aucuns soutiennent que le pouvoir a perdu les pédales après avoir pris une grosse épine au niveau du pied. Pour preuves, on parle des couacs constatés au sein de mouvance présidentielle et que la COD a le vent en poupe.
L'UNION de la COD n'est ou ne sera qu'une union de façade tant qu'elle ne saura mettre en place un projet de société commun accepté par tous et avec l'engagement devant l'opinion nationale, de chaque parti membre de la COD d'appliquer le dit programme, une fois arrivé au pouvoir. Une telle démarche pourrait permettre à la COD d'accueillir dans ses rangs d'autres formations politiques soucieuses de l'avenir du pays et d'éviter ultérieurement des alliances électorales contre nature.
Le salut de la COD passera forcément par :
Dans l'histoire de la politique Mauritanienne et ce depuis l'avènement du multipartisme dans le pays, l'opposition a toujours brillé de façon concrète par son désunion. Les élections présidentielles de 2007 et de 2009 peuvent être citées en exemple.
En 2007, lors du second tour de l'élection présidentielle, le candidat de l'opposition n'a pas obtenu le soutien de tous les opposants récalés au premier tour. En 2009, lors des élections présidentielles qui ont porté au pouvoir, Mohamed O Abdel Aziz, l'actuel président, le même scénario aurait dû se reproduire s'il y avait un deuxième tour.
Car, on se rappelle, qu'en pleine campagne électorale, à travers des propos d'un candidat dont le parti était membre du FNDD, on comprenait clairement qu'il pouvait s'allier avec n'importe qui en cas de second tour. Ce comportement peut orthodoxe de leaders de l'opposition ou des partis d'opposition en période électorale est dû essentiellement à l'absence d'un projet de société commun.
Parallement à celà, la Mauritanie connaît présentement une crise politique occasionnée par l'inexistence d'un dialogue entre le pouvoir et la coordination de l'opposition démocratique (COD) et surtout par le non respect du calendrier républicain. D'aucuns soutiennent que le pouvoir a perdu les pédales après avoir pris une grosse épine au niveau du pied. Pour preuves, on parle des couacs constatés au sein de mouvance présidentielle et que la COD a le vent en poupe.
L'UNION de la COD n'est ou ne sera qu'une union de façade tant qu'elle ne saura mettre en place un projet de société commun accepté par tous et avec l'engagement devant l'opinion nationale, de chaque parti membre de la COD d'appliquer le dit programme, une fois arrivé au pouvoir. Une telle démarche pourrait permettre à la COD d'accueillir dans ses rangs d'autres formations politiques soucieuses de l'avenir du pays et d'éviter ultérieurement des alliances électorales contre nature.
Le salut de la COD passera forcément par :
Pour sortir le pays de l'impasse, la COD en tant qu'opposition républicaine doit organiser un forum national auquel seront conviés tous les partis politiques sans exception, la société civile dans sa globalité, la presse nationale et les mauritaniens vivant à l'étranger.
Ousmane Amadou Dia
Menbre du Comité Exécutif du PLEJ.
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