Malgré l'inquiétude de certains milieux qui n’ont pas compris que la Mauritanie et son leadership ont changé, malgré l’agitation de certains médias bien peu responsables, dire que le régime mauritanien n’a jamais été plus fort qu’aujourd’hui n'est pas une affirmation gratuite.
En effet, si la COD n’a pu mettre fin au régime de Mohamed Abdel Aziz en février 2011, au lendemain du coup d’état du 6 août 2008, et à l’heure où le monde entier l’isolait et rejetait le Haut Conseil d’Etatqu’il présidait, comment pourrait-elle y parvenir aujourd’hui, alors qu’il est fort de la légitimité du président élu, et qu'il est reconnu par la majorité des mauritaniens et la communauté internationale comme tel ?
Si la Coordination de l'opposition démocratique n’a pu ébranler le régime de Mohamed Abdel Aziz en février 2011, dans la foulée des printemps tunisien, libyen, égyptien et yéménite et au moment où toute l’opposition unie contre lui instrumentalisait le fait qu’un homme se soit immolé devant la Présidence, pourquoi - et comment - y parviendrait-elle aujourd’hui, ...
...à l’heure où le front de l’opposition s’est affaibli, et au moment où le pouvoir et la popularité du Président Aziz se sont renforcés comme jamais (près de 40.000 personnes venues l’acclamer au meeting de Nouadhibou), au point qu’il est permis d’affirmer que Mohamed Ould Abdel Aziz finira son mandat actuel sans difficulté, et sera - sûrement, s'il le voulait- réélu pour un second.
Pour ceux qui soutiennent l’action politique de l’homme, rien d’étonnant à cela ! Ould Abdel Aziz travaille comme un forçat, se bat sur tous les fronts pour la Mauritanie et l’homme communique de manière de manière directe, simple - et authentique- avec le peuple.
Aux autres, aux sceptiques, ou à ceux qui feignent de l'être, il est nécessaire de rappeler les faits, même si le pire malvoyant est celui qui ne veut pas voir. Il suffirait, pourtant, pour se faire une religion, d’examiner le bilan économique et sécuritaire depuis 2008.
Les faits parlent d’eux-mêmes : notre économie n’a jamais connu pareille solidité, ni autant de perspectives minières, notre armée n’a jamais été aussi puissante, le pays n’a jamais eu autant de chantiers, et avec autant d’ambition dans le projet, qu’à l’heure actuelle…
Est-ce donc ce qui énerve l’opposition un peu plus que d’habitude ?
Serait-ce le fait d’avoir sous-estimé Mohamed Ould Abdel Aziz, et d’éprouver la frustration de réaliser aujourd’hui l’intelligence politique - et la popularité corollaire – de leur adversaire ?
Pourtant, depuis qu’il est devenu un personnage national, jusque son élection en juillet 2009 en tant que Président de la République, à chaque étape de sa vie, l’homme a toujours eu un coup d’avance sur ses adversaires.
Il semble que la force de cet homme réside principalement dans sa sincérité et dans la constance de ses positions, alors que la faiblesse de ses adversaires provient de leur hypocrisie politique, doublée d'une myopie permanente, à peine tempérée par leurs incessants retournements.
La force du juste tient, quant à elle, au fait qu’il est guidé par le souci de faire d’abord le bien pour autrui. Ce n’est qu’après qu’il ait été payé en retour par l’ingratitude et la trahison qu’il s’autorise une réaction qui, si elle n’est pas bien reçue par quelques uns, est parfaitement comprise par beaucoup. Après tout il s’agit d’un homme qui, comme il l’a rappelé lui-même lors du discours de Nouadhibou, dit ce qu’il veut faire et fait ce qu’il dit.
Prenons quelques exemples parmi les plus évidents : Qu'a fait Mohamed Ould Abdel Aziz àOuld Taya ? Il a sauvé son régime de la sanglante tentative de putsch du 8 juin 2003, et l’a remis sur son fauteuil de Président… Qu'a-t-il fait à Ely Ould Mohamed Vall ? Il lui a simplement offert la Présidence du Comité Militaire pour la Justice et la Démocratie, alors qu’il aurait très bien pu la garder pour lui, puisqu’il est aujourd’hui de notoriété publique que Ould Abdel Aziz fut le véritable auteur du renversement du régime d’Ould Taya.
Qu’a fait Aziz à Saleh Ould Hanena ? il l’a amnistié des geôles où l’avait mis Taya, ce qui lui a permis de se présenter aux élections et de siéger au Parlement.
Qu'a-t-il fait à Sidi Ould Cheikh Abdellahi ? Il a apporté le soutien de l’armée à sa candidature à l’élection de 2007, un soutien sans lequel Ould Cheikh Abdallahi, n’aurai jamais eu la moindre chance d’approcher ne serait-ce qu'un pied de la Présidence de le République.
Qu’à t-il fait aux islamistes ? Il a fait libérer ceux d’entre eux qui n’avaient pas de sang sur les mains, a reconnu et autorisé leur parti, et même associé aux dialogue les plus extrémistes d’entre eux à partir de leur prison.
Même le personnage controversé de Ould Deddew s’est un moment rapproché du régime pour aider à résoudre le litige entre les banquiers indélicats et la Banque Centrale de Mauritanie, alors que ce religieux très politisé est aujourd’hui considéré comme proche de la branche civile des salafistes d’Aqmi en Mauritanie.
Pour autant, la liste des ennemis du Président Aziz n’est pas uniquement constituée d’ingrats insatisfaits dont il a révélé le vrai visage, il faut également rajouter à la liste la cohorte des éconduits guidés par l'amertume ou la rancune. Tous ces personnages de la politique mauritanienne, qui jouent une mi-temps dans chaque camp, ont voulu approcher Ould Abdel Aziz, pour se servir de lui.
D’Ahmed Ould Daddah qui soutint le coup d’état du Haut Conseil d’Etat, à certains membres de l’Union des forces populaires, aux restes du PRDS/ADIL, en passant par certains islamistes dont Jemil Ould Mansour, la liste est longue de ceux devant lesquels il a fermé la porte…
Pourquoi donc Ould Abdel Aziz s’est-il permis le luxe de repousser ces politiciens qui se croyaient incontournables ?
Par sa réponse, non seulement il a prouvé qu’il n’a nul besoin d’eux, il a surtout mis au jour leur duplicité : Qui donc pourrait, dès lors, lui reprocher de rejeter des alliés si peu sincères et aussi peu constants !
On oublie un peu vite qu’il avait fait confiance, par le passé à Ely Ould Mohamed Vall et àSidi Ould Cheikh Abdallahi ! On sait ce qu’il en a été avec ces deux-là… Ceux qui se croyaient les ‘’guides’’ sont aujourd’hui la risée du peuple, ce qui les conduit à appeler à des actes désespérés… Tragique !
Quant à Mohamed Ould Abdel Aziz, il demeure une énigme pour ces Tartuffe… Est-ce la certitude d’avoir été dans le vrai qui lui donne cette assurance tranquille ? Pourquoi demeure-t-il imperturbable ? Comment se permet-il de se déplacer partout à travers le monde, sans la crainte de se voir ravir le pouvoir en son absence, dans une Afrique où les coups d’état sont aussi fréquents que les coupures d’électricité ?
Comment fait-il pour prendre des bains de foule dans les quartiers populaires, sans avoir la peur au ventre? Comment dort-il du sommeil du juste, alors que ses adversaires ont des insomnies ?
Comment ? Pourquoi ?
Tout simplement parce que ces ingrats, ces rancuniers, ces oublieux, ne se confondent pas avec la majorité du peuple qui, lui, n’oublie pas, a des yeux pour voir, et un cœur, généreux, pour comprendre…
C’est fort de cette conviction que le pouvoir actuel, qui détient le monopole de la force et de la violence légale et a la haute main sur les médias publics, n’a pas cru nécessaire de réprimer les manifestations réunies - laborieusement - dans les Moughataas de Nouakchott la semaine dernière par les mêmes personnes - qui font de la politique leur gagne-pain depuis un demi-siècle, et que ce pouvoir n’a pas non plus hésité à faire couvrir ses manifestations par les médias publics.
Faible, valétudinaire, incapable de produire un leadership crédible, minée par les perpétuelles trahisons et tentations de toute sorte, dépourvue de toute légitimité pour avoir mangé à tous les râteliers, cherchant un discours désormais enragé, et en déphasage complet avec son état réel, cette opposition est en peine de constituer une alternative à Mohamed Ould Abdel Aziz.
Le peuple mauritanien le comprend bien, c’est pour cela qu’il entend que le Président Azizpoursuive son action tout au long de son mandat de cinq ans, avant, certainement, de lui renouveler, le moment venu sa confiance, pour mener le plus loin possible son grand œuvre de reconstruction nationale.
Mohamed Ould Ennobi
En effet, si la COD n’a pu mettre fin au régime de Mohamed Abdel Aziz en février 2011, au lendemain du coup d’état du 6 août 2008, et à l’heure où le monde entier l’isolait et rejetait le Haut Conseil d’Etatqu’il présidait, comment pourrait-elle y parvenir aujourd’hui, alors qu’il est fort de la légitimité du président élu, et qu'il est reconnu par la majorité des mauritaniens et la communauté internationale comme tel ?
Si la Coordination de l'opposition démocratique n’a pu ébranler le régime de Mohamed Abdel Aziz en février 2011, dans la foulée des printemps tunisien, libyen, égyptien et yéménite et au moment où toute l’opposition unie contre lui instrumentalisait le fait qu’un homme se soit immolé devant la Présidence, pourquoi - et comment - y parviendrait-elle aujourd’hui, ...
...à l’heure où le front de l’opposition s’est affaibli, et au moment où le pouvoir et la popularité du Président Aziz se sont renforcés comme jamais (près de 40.000 personnes venues l’acclamer au meeting de Nouadhibou), au point qu’il est permis d’affirmer que Mohamed Ould Abdel Aziz finira son mandat actuel sans difficulté, et sera - sûrement, s'il le voulait- réélu pour un second.
Pour ceux qui soutiennent l’action politique de l’homme, rien d’étonnant à cela ! Ould Abdel Aziz travaille comme un forçat, se bat sur tous les fronts pour la Mauritanie et l’homme communique de manière de manière directe, simple - et authentique- avec le peuple.
Aux autres, aux sceptiques, ou à ceux qui feignent de l'être, il est nécessaire de rappeler les faits, même si le pire malvoyant est celui qui ne veut pas voir. Il suffirait, pourtant, pour se faire une religion, d’examiner le bilan économique et sécuritaire depuis 2008.
Les faits parlent d’eux-mêmes : notre économie n’a jamais connu pareille solidité, ni autant de perspectives minières, notre armée n’a jamais été aussi puissante, le pays n’a jamais eu autant de chantiers, et avec autant d’ambition dans le projet, qu’à l’heure actuelle…
Est-ce donc ce qui énerve l’opposition un peu plus que d’habitude ?
Serait-ce le fait d’avoir sous-estimé Mohamed Ould Abdel Aziz, et d’éprouver la frustration de réaliser aujourd’hui l’intelligence politique - et la popularité corollaire – de leur adversaire ?
Pourtant, depuis qu’il est devenu un personnage national, jusque son élection en juillet 2009 en tant que Président de la République, à chaque étape de sa vie, l’homme a toujours eu un coup d’avance sur ses adversaires.
Il semble que la force de cet homme réside principalement dans sa sincérité et dans la constance de ses positions, alors que la faiblesse de ses adversaires provient de leur hypocrisie politique, doublée d'une myopie permanente, à peine tempérée par leurs incessants retournements.
La force du juste tient, quant à elle, au fait qu’il est guidé par le souci de faire d’abord le bien pour autrui. Ce n’est qu’après qu’il ait été payé en retour par l’ingratitude et la trahison qu’il s’autorise une réaction qui, si elle n’est pas bien reçue par quelques uns, est parfaitement comprise par beaucoup. Après tout il s’agit d’un homme qui, comme il l’a rappelé lui-même lors du discours de Nouadhibou, dit ce qu’il veut faire et fait ce qu’il dit.
Prenons quelques exemples parmi les plus évidents : Qu'a fait Mohamed Ould Abdel Aziz àOuld Taya ? Il a sauvé son régime de la sanglante tentative de putsch du 8 juin 2003, et l’a remis sur son fauteuil de Président… Qu'a-t-il fait à Ely Ould Mohamed Vall ? Il lui a simplement offert la Présidence du Comité Militaire pour la Justice et la Démocratie, alors qu’il aurait très bien pu la garder pour lui, puisqu’il est aujourd’hui de notoriété publique que Ould Abdel Aziz fut le véritable auteur du renversement du régime d’Ould Taya.
Qu’a fait Aziz à Saleh Ould Hanena ? il l’a amnistié des geôles où l’avait mis Taya, ce qui lui a permis de se présenter aux élections et de siéger au Parlement.
Qu'a-t-il fait à Sidi Ould Cheikh Abdellahi ? Il a apporté le soutien de l’armée à sa candidature à l’élection de 2007, un soutien sans lequel Ould Cheikh Abdallahi, n’aurai jamais eu la moindre chance d’approcher ne serait-ce qu'un pied de la Présidence de le République.
Qu’à t-il fait aux islamistes ? Il a fait libérer ceux d’entre eux qui n’avaient pas de sang sur les mains, a reconnu et autorisé leur parti, et même associé aux dialogue les plus extrémistes d’entre eux à partir de leur prison.
Même le personnage controversé de Ould Deddew s’est un moment rapproché du régime pour aider à résoudre le litige entre les banquiers indélicats et la Banque Centrale de Mauritanie, alors que ce religieux très politisé est aujourd’hui considéré comme proche de la branche civile des salafistes d’Aqmi en Mauritanie.
Pour autant, la liste des ennemis du Président Aziz n’est pas uniquement constituée d’ingrats insatisfaits dont il a révélé le vrai visage, il faut également rajouter à la liste la cohorte des éconduits guidés par l'amertume ou la rancune. Tous ces personnages de la politique mauritanienne, qui jouent une mi-temps dans chaque camp, ont voulu approcher Ould Abdel Aziz, pour se servir de lui.
D’Ahmed Ould Daddah qui soutint le coup d’état du Haut Conseil d’Etat, à certains membres de l’Union des forces populaires, aux restes du PRDS/ADIL, en passant par certains islamistes dont Jemil Ould Mansour, la liste est longue de ceux devant lesquels il a fermé la porte…
Pourquoi donc Ould Abdel Aziz s’est-il permis le luxe de repousser ces politiciens qui se croyaient incontournables ?
Par sa réponse, non seulement il a prouvé qu’il n’a nul besoin d’eux, il a surtout mis au jour leur duplicité : Qui donc pourrait, dès lors, lui reprocher de rejeter des alliés si peu sincères et aussi peu constants !
On oublie un peu vite qu’il avait fait confiance, par le passé à Ely Ould Mohamed Vall et àSidi Ould Cheikh Abdallahi ! On sait ce qu’il en a été avec ces deux-là… Ceux qui se croyaient les ‘’guides’’ sont aujourd’hui la risée du peuple, ce qui les conduit à appeler à des actes désespérés… Tragique !
Quant à Mohamed Ould Abdel Aziz, il demeure une énigme pour ces Tartuffe… Est-ce la certitude d’avoir été dans le vrai qui lui donne cette assurance tranquille ? Pourquoi demeure-t-il imperturbable ? Comment se permet-il de se déplacer partout à travers le monde, sans la crainte de se voir ravir le pouvoir en son absence, dans une Afrique où les coups d’état sont aussi fréquents que les coupures d’électricité ?
Comment fait-il pour prendre des bains de foule dans les quartiers populaires, sans avoir la peur au ventre? Comment dort-il du sommeil du juste, alors que ses adversaires ont des insomnies ?
Comment ? Pourquoi ?
Tout simplement parce que ces ingrats, ces rancuniers, ces oublieux, ne se confondent pas avec la majorité du peuple qui, lui, n’oublie pas, a des yeux pour voir, et un cœur, généreux, pour comprendre…
C’est fort de cette conviction que le pouvoir actuel, qui détient le monopole de la force et de la violence légale et a la haute main sur les médias publics, n’a pas cru nécessaire de réprimer les manifestations réunies - laborieusement - dans les Moughataas de Nouakchott la semaine dernière par les mêmes personnes - qui font de la politique leur gagne-pain depuis un demi-siècle, et que ce pouvoir n’a pas non plus hésité à faire couvrir ses manifestations par les médias publics.
Faible, valétudinaire, incapable de produire un leadership crédible, minée par les perpétuelles trahisons et tentations de toute sorte, dépourvue de toute légitimité pour avoir mangé à tous les râteliers, cherchant un discours désormais enragé, et en déphasage complet avec son état réel, cette opposition est en peine de constituer une alternative à Mohamed Ould Abdel Aziz.
Le peuple mauritanien le comprend bien, c’est pour cela qu’il entend que le Président Azizpoursuive son action tout au long de son mandat de cinq ans, avant, certainement, de lui renouveler, le moment venu sa confiance, pour mener le plus loin possible son grand œuvre de reconstruction nationale.
Mohamed Ould Ennobi
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