Sahara Medias - Six buts encaissés en trois matchs, aucune réalisation et comme lors de la première participation une élimination au premier tour. Voilà la triste moisson des Mourabitounes pour leur deuxième participation à cette compétition africaine réservée aux joueurs locaux.
En analysant la prestation des Mourabitounes lors des trois rencontres, on note une amélioration progressive lors de chaque match.
Face au Maroc, ils ont été quelconques, maladroits et peu inspirés face à un adversaire qui n’était pas une foudre de guerre et qui n’était pas invulnérable. Leur défense a tenu une mi-temps avant que le naufrage ne soit collectif.
Leur deuxième rencontre, face aux soudanais, a été mieux élaborée, surtout en première mi-temps, avec d’ailleurs par moment une légère domination.
Il fallait hélas déchanter, car à la reprise du jeu les locaux sont retombés dans l’anonymat, la maladresse et le jeu à l’emporte pièce.
Le meilleur match des Mourabitounes est celui livré face aux guinéens, pour l’honneur seulement, le mal était déjà fait aussi bien pour eux que pour leurs adversaires du jour.
Rien à espérer de ce match sauf sauver la face pour éviter le plancher.
Grandement métamorphosée, comparée aux deux précédentes, la formation des Mourabitounes a fait jeu égal avec celle de la Guinée, et procédé à de bonnes combinaisons, absentes dans ses deux précédents matchs, surtout en deuxième mi-temps.
Au vu de ce match, on est endroit de se poser la question sur le choix du staff lors les deux précédentes rencontres.
A l’heure du bilan, il y a lieu de reconnaître que beaucoup reste encore à faire et que le réalisme nous impose de le reconnaître, sans préjugée aucune.
Des progrès sont certes perceptibles mais la mise en place d’une politique rationnelle, réaliste et désintéressée à long terme, me semble la meilleure voie pour légitimement aspirer à de meilleurs résultats.
Il faudrait nous détromper, le fossé qui nous sépare de tous nos voisins, dans le domaine du football et plus généralement dans tous les sports est encore important.
Il n’est pas insurmontable mais il commence d’abord par une autocritique sereine, des journées nationales pour faire l’état des lieux, des politiques à la base pour découvrir les perles rares, la mise à contribution de tous les cadres sportifs pour cette mission.
Il doit être imposé aux clubs l’obligation de disposer d’équipes dans toutes les catégories et envisager des championnats pour celles-ci.
Le milieu scolaire, longtemps abandonné, peut offrir un créneau porteur de grands espoirs. La formule convenue avec l’entraîneur national a prouvé qu’elle n’a pas été la bonne.
On ne peut pas entraîner une équipe à distance et croire que la présence de quelques jours en Mauritanie suffira à l’aguerrir. Non! Il n' y a pas de formules magiques pour gagner en football.
En analysant la prestation des Mourabitounes lors des trois rencontres, on note une amélioration progressive lors de chaque match.
Face au Maroc, ils ont été quelconques, maladroits et peu inspirés face à un adversaire qui n’était pas une foudre de guerre et qui n’était pas invulnérable. Leur défense a tenu une mi-temps avant que le naufrage ne soit collectif.
Leur deuxième rencontre, face aux soudanais, a été mieux élaborée, surtout en première mi-temps, avec d’ailleurs par moment une légère domination.
Il fallait hélas déchanter, car à la reprise du jeu les locaux sont retombés dans l’anonymat, la maladresse et le jeu à l’emporte pièce.
Le meilleur match des Mourabitounes est celui livré face aux guinéens, pour l’honneur seulement, le mal était déjà fait aussi bien pour eux que pour leurs adversaires du jour.
Rien à espérer de ce match sauf sauver la face pour éviter le plancher.
Grandement métamorphosée, comparée aux deux précédentes, la formation des Mourabitounes a fait jeu égal avec celle de la Guinée, et procédé à de bonnes combinaisons, absentes dans ses deux précédents matchs, surtout en deuxième mi-temps.
Au vu de ce match, on est endroit de se poser la question sur le choix du staff lors les deux précédentes rencontres.
A l’heure du bilan, il y a lieu de reconnaître que beaucoup reste encore à faire et que le réalisme nous impose de le reconnaître, sans préjugée aucune.
Des progrès sont certes perceptibles mais la mise en place d’une politique rationnelle, réaliste et désintéressée à long terme, me semble la meilleure voie pour légitimement aspirer à de meilleurs résultats.
Il faudrait nous détromper, le fossé qui nous sépare de tous nos voisins, dans le domaine du football et plus généralement dans tous les sports est encore important.
Il n’est pas insurmontable mais il commence d’abord par une autocritique sereine, des journées nationales pour faire l’état des lieux, des politiques à la base pour découvrir les perles rares, la mise à contribution de tous les cadres sportifs pour cette mission.
Il doit être imposé aux clubs l’obligation de disposer d’équipes dans toutes les catégories et envisager des championnats pour celles-ci.
Le milieu scolaire, longtemps abandonné, peut offrir un créneau porteur de grands espoirs. La formule convenue avec l’entraîneur national a prouvé qu’elle n’a pas été la bonne.
On ne peut pas entraîner une équipe à distance et croire que la présence de quelques jours en Mauritanie suffira à l’aguerrir. Non! Il n' y a pas de formules magiques pour gagner en football.
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Source : Sahara Medias (Mauritanie)
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