Le Reflet - pénurie de papiers à l’imprimerie nationale c’est désormais de l’histoire ancienne.
Depuis ce lundi 15 janvier 2018, les journaux sont de nouveaux dans les kiosques. Pendant prêt d’un mois l’encre n’a pas coulé à Nouakchott. Les marchands de journaux et ceux qui gravitent autour de la presse écrite pourront de nouveau gagner leur pain.
Cela faisait un moment qu’on avait pas aperçu de journaux dans les kiosques de Nouakchott. En effet l’imprimerie nationale avait arrêté de les imprimer accusant une rupture de stock. Le précieux papier manquait. Pendant un moment, seuls les deux versions du journal officiel étaient imprimés. Beaucoup y ont vu la main du pouvoir qui trouve ainsi une nouvelle façon de museler la presse.
Soulignons que cet arrêt intervient dans un contexte politico-économique particulier. En effet, on était à la veille de l’entrée en vigueur de la monnaie. Monnaie qui suscitait beaucoup d’interrogations chez les citoyens lambda et observateurs.
A cela s’ajoute de multiples réformes proposés lors de différents conseil des ministres et adoptés à l’assemblée nationale. Mais pour les autorités, il n’en est rien.
Une chose est cependant sûr, c’est que cet arrêt pousse les acteurs de la presse écrite à méditer sur le monopole de l’imprimerie nationale. Elle est la seule à imprimer tous les journaux du pays. Après près de trente ans d’existence, l’heure n’est il pas arrivé pour que que le privé ait une part de ce marché?
Rappelons juste que tous les journaux n’ont pas chômé. Grâce à leurs portail web, certains ont continué à diffuser de l’information. D’autres moins chanceux ont tout simplement rangé leurs plumes. Mais comme disait l’autre, c’est l’histoire ancienne. Fini les vacances forcés, les journalistes reprennent le chemin des salles de rédaction.
Par Amadou SY
Depuis ce lundi 15 janvier 2018, les journaux sont de nouveaux dans les kiosques. Pendant prêt d’un mois l’encre n’a pas coulé à Nouakchott. Les marchands de journaux et ceux qui gravitent autour de la presse écrite pourront de nouveau gagner leur pain.
Cela faisait un moment qu’on avait pas aperçu de journaux dans les kiosques de Nouakchott. En effet l’imprimerie nationale avait arrêté de les imprimer accusant une rupture de stock. Le précieux papier manquait. Pendant un moment, seuls les deux versions du journal officiel étaient imprimés. Beaucoup y ont vu la main du pouvoir qui trouve ainsi une nouvelle façon de museler la presse.
Soulignons que cet arrêt intervient dans un contexte politico-économique particulier. En effet, on était à la veille de l’entrée en vigueur de la monnaie. Monnaie qui suscitait beaucoup d’interrogations chez les citoyens lambda et observateurs.
A cela s’ajoute de multiples réformes proposés lors de différents conseil des ministres et adoptés à l’assemblée nationale. Mais pour les autorités, il n’en est rien.
Une chose est cependant sûr, c’est que cet arrêt pousse les acteurs de la presse écrite à méditer sur le monopole de l’imprimerie nationale. Elle est la seule à imprimer tous les journaux du pays. Après près de trente ans d’existence, l’heure n’est il pas arrivé pour que que le privé ait une part de ce marché?
Rappelons juste que tous les journaux n’ont pas chômé. Grâce à leurs portail web, certains ont continué à diffuser de l’information. D’autres moins chanceux ont tout simplement rangé leurs plumes. Mais comme disait l’autre, c’est l’histoire ancienne. Fini les vacances forcés, les journalistes reprennent le chemin des salles de rédaction.
Par Amadou SY
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Source : Le Reflet (Mauritanie)
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