Le président du parti d’opposition Hatem, Saleh Ould Hanena a déclaré samedi 9 juin 2012 lors d’une émission diffusée sur les ondes de la radio indépendante Mauritanid FM que le régime de Mohamed Ould Abdel Aziz est pire que celui de Maaouya Ould Sid’ Ahmed Taya dont il a été le premier à faire vaciller les fondements à travers sa tentative de putsch du 8 juin 2003.
Selon Ould Hanena, la situation sociale, économique et politique en 2003 n’était pas plus mauvaise que celle que connaît le pays aujourd’hui sous le pouvoir d’Ould Abdel Aziz.
Pour Ould Hanena, le blocage politique qui existe aujourd’hui et l’entêtement du détenteur du pouvoir à continuer à enfoncer le pays dans l’incertitude en plus de l’inconstitutionnalité de toutes les institutions républicaines mèneront le pays vers l’issue à laquelle la même situation a mené le Président Tandia du Niger.
Sur les raisons qui ont motivé la reconnaissance de son parti des résultats des élections présidentielles de 2009, Saleh Ould Hanena explique que Hatem a reconnu effectivement que techniquement rien ne s’est passé, mais le parti sait que Mohamed Ould Abdel Aziz a procédé à toutes sortes de malversations (achat des consciences, usage des deniers publics, mobilisation outrancière des moyens de l’armée …) pour se faire élire.
A propos de la tentative de coup d’état du 8 juin 2003, le commandant Saleh Ould Hanenadéclare que beaucoup de choses peu précises se racontent sur cette affaire là. Salehreconnaît à ce titre que le colonel Ould Abdel Aziz a été le plus farouche défenseur de l’ancien Président Maaouya Ould Sid’ Ahmed Taya.
Les unités du Basep auraient, selon Saleh, mené une grande résistance. Sur les conditions de la mort du chef de l’état major de l’armée, feu le colonel Mohamed Lemine Ould Ndiayane, le commandant Saleh déclare que lorsqu’ils sont arrivés aux portes de l’état major, le colonel Ndiayane était déjà mort.
Selon Saleh, la direction des Cavaliers du Changement avait prévu de s’entretenir avec ce valeureux officier aux qualités humaines et militaires extraordinaires. Les thèses qui les accusent d’être les auteurs de sa mort sont à ce titre totalement fausses et incohérentes. D’ailleurs, déclare t-il : « Une enquête doit être diligentée pour situer les responsabilités dans cette tragédie. En ce moment, je suis prêt à fournir toutes les informations que je détiens afin que toute la lumière soit faite sur les conditions de la mort de cet officier hors pair ».
Selon Ould Hanena, la situation sociale, économique et politique en 2003 n’était pas plus mauvaise que celle que connaît le pays aujourd’hui sous le pouvoir d’Ould Abdel Aziz.
Pour Ould Hanena, le blocage politique qui existe aujourd’hui et l’entêtement du détenteur du pouvoir à continuer à enfoncer le pays dans l’incertitude en plus de l’inconstitutionnalité de toutes les institutions républicaines mèneront le pays vers l’issue à laquelle la même situation a mené le Président Tandia du Niger.
Sur les raisons qui ont motivé la reconnaissance de son parti des résultats des élections présidentielles de 2009, Saleh Ould Hanena explique que Hatem a reconnu effectivement que techniquement rien ne s’est passé, mais le parti sait que Mohamed Ould Abdel Aziz a procédé à toutes sortes de malversations (achat des consciences, usage des deniers publics, mobilisation outrancière des moyens de l’armée …) pour se faire élire.
A propos de la tentative de coup d’état du 8 juin 2003, le commandant Saleh Ould Hanenadéclare que beaucoup de choses peu précises se racontent sur cette affaire là. Salehreconnaît à ce titre que le colonel Ould Abdel Aziz a été le plus farouche défenseur de l’ancien Président Maaouya Ould Sid’ Ahmed Taya.
Les unités du Basep auraient, selon Saleh, mené une grande résistance. Sur les conditions de la mort du chef de l’état major de l’armée, feu le colonel Mohamed Lemine Ould Ndiayane, le commandant Saleh déclare que lorsqu’ils sont arrivés aux portes de l’état major, le colonel Ndiayane était déjà mort.
Selon Saleh, la direction des Cavaliers du Changement avait prévu de s’entretenir avec ce valeureux officier aux qualités humaines et militaires extraordinaires. Les thèses qui les accusent d’être les auteurs de sa mort sont à ce titre totalement fausses et incohérentes. D’ailleurs, déclare t-il : « Une enquête doit être diligentée pour situer les responsabilités dans cette tragédie. En ce moment, je suis prêt à fournir toutes les informations que je détiens afin que toute la lumière soit faite sur les conditions de la mort de cet officier hors pair ».
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire