ALAKHBAR (Nouakchott) – Le Syndicat National des Etudiants de Mauritanie a constaté "avec désolation" la multiplication des syndicats suscités par "des politicards" au sein de l’université de Nouakchott ", dénonçant une "attitude déplorable de ces syndicats, qui ne se sont jamais souciés de cette crise et qui ont fermé les yeux devant la brutalité policière dont les étudiants sont victimes".
"C’est avec désolation que nous avons appris que ces syndicats ont copié notre plate forme revendicatif et qu’ils comptent faire une marche qui porte comme slogan : « Non à la politisation de l’université ». (…) A nos yeux, cette marche n’est que le reflet de l’hypocrisie de certains politicards qui, au lieu de chercher des solutions, continuent à enfoncer les étudiants dans ce cercle vicieux. Le SNEM n’acceptera jamais que l’université de Nouakchott devienne le terrain des tractations politiques entre pouvoir et opposition.", a noté ce syndicat dans une note d'information parvenue à Alakhbar.
Le syndicat a par ailleurs rappelé le processus de négociation qu'il a entamé avec l'administration. "Pour les examens, l’administration universitaire a affiché une volonté de résoudre ce problème en tenant compte de nos propositions. Le conseil scientifique et pédagogique de la Faculté de Lettres siègera le lundi 30 avril, selon le doyen de ladite faculté, pour prendre une décision finale et tiendra au courant les étudiants concernés de la date de la tenue de leurs examens. En ce qui concerne la Faculté des Sciences Juridiques et Économique, son doyen dit que le conseil scientifique et pédagogique est entrain d’être renouvelé, que cette procédure prendra fin le lundi 30 avril et se penchera aussitôt sur cette question, afin d’informer les étudiants le plus tôt possible", a-t-il rappelé.
"Cependant, le problème des 11 étudiants exclus n’est pas encore résolu bien que tous les étudiants exclus aient déposé leurs requêtes auprès du président du Conseil de Discipline depuis maintenant 3 semaines. Ils n’ont toujours pas été convoqués alors que nous sommes à quelques semaines de la fin de l’année académique. Nous déplorons ce retard et nous nous inquiétons pour le sort de ces étudiants exclus", a encore ajouté le SNEM.
Le syndicat a rappelé au passage la décision "d'exclusion définitive" de Cheikha Kane, son ancien porte-parole, "pour s’être désolidarisé du syndicat et avoir tenu des propos déplacés à l’égard du bureau exécutif et des militants du SNEM". Il est remplacé par Daouda Amadou Niang.
"C’est avec désolation que nous avons appris que ces syndicats ont copié notre plate forme revendicatif et qu’ils comptent faire une marche qui porte comme slogan : « Non à la politisation de l’université ». (…) A nos yeux, cette marche n’est que le reflet de l’hypocrisie de certains politicards qui, au lieu de chercher des solutions, continuent à enfoncer les étudiants dans ce cercle vicieux. Le SNEM n’acceptera jamais que l’université de Nouakchott devienne le terrain des tractations politiques entre pouvoir et opposition.", a noté ce syndicat dans une note d'information parvenue à Alakhbar.
Le syndicat a par ailleurs rappelé le processus de négociation qu'il a entamé avec l'administration. "Pour les examens, l’administration universitaire a affiché une volonté de résoudre ce problème en tenant compte de nos propositions. Le conseil scientifique et pédagogique de la Faculté de Lettres siègera le lundi 30 avril, selon le doyen de ladite faculté, pour prendre une décision finale et tiendra au courant les étudiants concernés de la date de la tenue de leurs examens. En ce qui concerne la Faculté des Sciences Juridiques et Économique, son doyen dit que le conseil scientifique et pédagogique est entrain d’être renouvelé, que cette procédure prendra fin le lundi 30 avril et se penchera aussitôt sur cette question, afin d’informer les étudiants le plus tôt possible", a-t-il rappelé.
"Cependant, le problème des 11 étudiants exclus n’est pas encore résolu bien que tous les étudiants exclus aient déposé leurs requêtes auprès du président du Conseil de Discipline depuis maintenant 3 semaines. Ils n’ont toujours pas été convoqués alors que nous sommes à quelques semaines de la fin de l’année académique. Nous déplorons ce retard et nous nous inquiétons pour le sort de ces étudiants exclus", a encore ajouté le SNEM.
Le syndicat a rappelé au passage la décision "d'exclusion définitive" de Cheikha Kane, son ancien porte-parole, "pour s’être désolidarisé du syndicat et avoir tenu des propos déplacés à l’égard du bureau exécutif et des militants du SNEM". Il est remplacé par Daouda Amadou Niang.
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