L’agence nationale pour la promotion de l’emploi des jeunes créée par Tayan’est plus que l’ombre d’elle-même.La mission à laquelle elle était destinée a trahi les attentes.
A qui la faute ? D’abord à ses différents responsables qui l’ont géré comme un bien familial, ensuite à tous ces réseaux de chasseurs de marchés, ces députés, « Chouyouchs », ces chefs de tribus qui se sont donnés à cœur joie à dilapider le patrimoine d’une jeunesse qui piaffait de trouver des sources financières génératrices de projets et de revenus.
Au final ce sont de faux chômeurs et de vrais cadres du secteur public et privé, des proches de hauts gradés, des conseillers à la présidence et à la primature qui ont su tirer la substantifique moelle de cette vache à lait.
Toutes ces fausses banques pourvoyeuses de microcrédits que chaque Directeur créait pour les besoins de ses intérêts ont disparu avec l’argent qui leur avait été prêté par l’Anapej. Ce qui est curieux, c’est que personne n’en parle et on ne fait pas allusion à ces pratiques qui ont eu raison de cette institution importante qui pouvait jouer un rôle dans la promotion de l’emploi.
On n’en serait pas là aujourd’hui si les choses avaient été faites dans les règles des procédures bancaires. Ce sont ainsi des milliards d’um qui ont pris d’autres destinations à retrouver mais par qui ? Non il faut que cette fameuse IGE s’intéresse à ce scandale le plus grave dans l’histoire de la gabegie mais dont on ne fait pas cas quand ils s’agit de dénoncer cette pratique. Pourquoi cela ? Et pourquoi continuer à maintenir une agence qui continue d’avoir un budget et qui tourne à perte pour l’Etat. Qui va recouvrer toutes les créances que réclame une jeunesse qui attend sans rien voir ?
Amadou Diaara
A qui la faute ? D’abord à ses différents responsables qui l’ont géré comme un bien familial, ensuite à tous ces réseaux de chasseurs de marchés, ces députés, « Chouyouchs », ces chefs de tribus qui se sont donnés à cœur joie à dilapider le patrimoine d’une jeunesse qui piaffait de trouver des sources financières génératrices de projets et de revenus.
Au final ce sont de faux chômeurs et de vrais cadres du secteur public et privé, des proches de hauts gradés, des conseillers à la présidence et à la primature qui ont su tirer la substantifique moelle de cette vache à lait.
Toutes ces fausses banques pourvoyeuses de microcrédits que chaque Directeur créait pour les besoins de ses intérêts ont disparu avec l’argent qui leur avait été prêté par l’Anapej. Ce qui est curieux, c’est que personne n’en parle et on ne fait pas allusion à ces pratiques qui ont eu raison de cette institution importante qui pouvait jouer un rôle dans la promotion de l’emploi.
On n’en serait pas là aujourd’hui si les choses avaient été faites dans les règles des procédures bancaires. Ce sont ainsi des milliards d’um qui ont pris d’autres destinations à retrouver mais par qui ? Non il faut que cette fameuse IGE s’intéresse à ce scandale le plus grave dans l’histoire de la gabegie mais dont on ne fait pas cas quand ils s’agit de dénoncer cette pratique. Pourquoi cela ? Et pourquoi continuer à maintenir une agence qui continue d’avoir un budget et qui tourne à perte pour l’Etat. Qui va recouvrer toutes les créances que réclame une jeunesse qui attend sans rien voir ?
Amadou Diaara
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