Le président de l’organisation IRA monsieurBirame Ould Dah Ould Abeid serait-il leHoulagou Khan des temps modernes ? Non répondent certains qui expliquent que notre compatriote est pire que le dirigeant mongole.
Ce dernier, dans sa rage de détruireBagdad au XIIIème siècle, s’en était pris certes à la grande bibliothèque de la ville mais cette dernière ne contenait que des ouvrages historiques traitant de médecine et d'astronomie, alors que notre Houlagounational lui, a poussé la perfidie jusqu’à brûler, de ses propres mains, les livres de référence du rite malékite.
Par cet acte blasphématoire, qui viole les valeurs de l’Islam et blesse les mœurs de notre société, Birame Ould Abeid donne la preuve à ceux qui en doutaient encore, que son organisation ne milite guère en faveur de l’émancipation des Haratines moins encore à la consolidation de l’unité nationale, mais vise à saper la cohésion sociale et à heurter nos sensibilités les plus profondes, y compris notre en foi en l’Islam.
Le large élan de condamnation suscité par son geste de profanation montre que les mauritaniens dans leur ensemble, ne sont pas preneurs des grains de discorde qu’il veut semer au sein de notre société en essayant de dresser les communautés les unes contre les autres.
Même les partis de la COD se sont vus contraints de se démarquer de cet homme dangereux qui en brulant ces ouvrages s’est lui-même brulé. En tout cas, il a perdu le peu de crédibilité qu’il lui restait. La preuve ? Certains de ses compagnons ont déclaré que son acte impie ne les engageait pas et ont claqué la porte à l’organisation IRA. De même, les partis de l’opposition radicale l’ont lâché, eux sur lesquels il comptait pour monter son hypothétique Conseil national de transition.
De fait, c’est à contre cœur que ces partis de la COD l’ont condamné car ils ont compris que l’opinion nationale dans sa majorité s’inscrit en faux contre l’incinération de ces ouvrages. Cependant, cette position de la COD ne doit pas nous faire perdre de vue que ce sont certains partis de l’opposition radicale, à l’image de Tewassoul et ses vrai-fausses fatwas ainsi que leRFD et ses positions inconstantes, qui ont encouragé Birame et ses acolytes à en arriver à cet acte insensé.
Autant dire que la COD et ses dirigeants convaincus qu’ils ne pourront en aucun cas, accéder au pouvoir par la voie des urnes, tentent de pactiser, même avec le diable, dans l’espoir de faire « dégager » un régime pourtant fort du plébiscite de la majorité des mauritaniens qui l’ont élu pour un mandat de cinq conformément à la Constitution, et dopé du crédit de confiance que lui accorde les populations en raison des réalisations concrètes accomplies dans différents domaines de la vie sociale et économique du pays.
Nacerdine Ould Nacerdine
nacerdineouldnacerdine@yahoo.fr
Ce dernier, dans sa rage de détruireBagdad au XIIIème siècle, s’en était pris certes à la grande bibliothèque de la ville mais cette dernière ne contenait que des ouvrages historiques traitant de médecine et d'astronomie, alors que notre Houlagounational lui, a poussé la perfidie jusqu’à brûler, de ses propres mains, les livres de référence du rite malékite.
Par cet acte blasphématoire, qui viole les valeurs de l’Islam et blesse les mœurs de notre société, Birame Ould Abeid donne la preuve à ceux qui en doutaient encore, que son organisation ne milite guère en faveur de l’émancipation des Haratines moins encore à la consolidation de l’unité nationale, mais vise à saper la cohésion sociale et à heurter nos sensibilités les plus profondes, y compris notre en foi en l’Islam.
Le large élan de condamnation suscité par son geste de profanation montre que les mauritaniens dans leur ensemble, ne sont pas preneurs des grains de discorde qu’il veut semer au sein de notre société en essayant de dresser les communautés les unes contre les autres.
Même les partis de la COD se sont vus contraints de se démarquer de cet homme dangereux qui en brulant ces ouvrages s’est lui-même brulé. En tout cas, il a perdu le peu de crédibilité qu’il lui restait. La preuve ? Certains de ses compagnons ont déclaré que son acte impie ne les engageait pas et ont claqué la porte à l’organisation IRA. De même, les partis de l’opposition radicale l’ont lâché, eux sur lesquels il comptait pour monter son hypothétique Conseil national de transition.
De fait, c’est à contre cœur que ces partis de la COD l’ont condamné car ils ont compris que l’opinion nationale dans sa majorité s’inscrit en faux contre l’incinération de ces ouvrages. Cependant, cette position de la COD ne doit pas nous faire perdre de vue que ce sont certains partis de l’opposition radicale, à l’image de Tewassoul et ses vrai-fausses fatwas ainsi que leRFD et ses positions inconstantes, qui ont encouragé Birame et ses acolytes à en arriver à cet acte insensé.
Autant dire que la COD et ses dirigeants convaincus qu’ils ne pourront en aucun cas, accéder au pouvoir par la voie des urnes, tentent de pactiser, même avec le diable, dans l’espoir de faire « dégager » un régime pourtant fort du plébiscite de la majorité des mauritaniens qui l’ont élu pour un mandat de cinq conformément à la Constitution, et dopé du crédit de confiance que lui accorde les populations en raison des réalisations concrètes accomplies dans différents domaines de la vie sociale et économique du pays.
Nacerdine Ould Nacerdine
nacerdineouldnacerdine@yahoo.fr
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