Bamako - Le plus radical des chefs rebelles touareg du Mali, Ibrahim ag Bahanga, qui n'a jamais totalement accepté de déposer les armes, est mort vendredi dans un accident dans le nord-est du pays et a été inhumé le même jour, a-t-on appris de sources concordantes.
Ibrahim ag Bahanga est mort ce vendredi dans un accident dans le nord-est du Mali. Son enterrement a déjà eu lieu, a déclaré à l'AFP Bay ag Alhassane, un membre de la famille de ag Bahanga. La nature et les circonstances de l'accident n'ont pas été précisées. Plusieurs élus de Kidal, une région du nord-est du Mali, ont confirmé l'information.
Ibrahim ag Bahanga n'a jamais totalement rejoint le processus né des accords d'Alger, signés en 2006 entre le gouvernement et les rebelles touareg maliens, pour le retour de la paix dans le nord du Mali, un pays qui a connu plusieurs rébellions touareg.
Ibrahim ag Bahanga est mort ce vendredi dans un accident dans le nord-est du Mali. Son enterrement a déjà eu lieu, a déclaré à l'AFP Bay ag Alhassane, un membre de la famille de ag Bahanga. La nature et les circonstances de l'accident n'ont pas été précisées. Plusieurs élus de Kidal, une région du nord-est du Mali, ont confirmé l'information.
Ibrahim ag Bahanga n'a jamais totalement rejoint le processus né des accords d'Alger, signés en 2006 entre le gouvernement et les rebelles touareg maliens, pour le retour de la paix dans le nord du Mali, un pays qui a connu plusieurs rébellions touareg.
Il a été récemment soupçonné par plusieurs chancelleries d'avoir récupéré des armes enLibye à la faveur de la rébellion déclenchée dans ce pays il y a six mois contre le régime deMouammar Kadhafi.
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