Les limiers de l’IGE sont à pied d’œuvre depuis la semaine dernière à l’ANAIR(Agence nationale pour l’accueil et l’insertion des réfugiés). C’est le second passage.
Les sonnettes d’alarmes venues des sites d’accueil sur l’état de dénuement des rapatriés du Sénégal auraient mis la puce à l’oreille des pouvoirs publics. L’objectif serait cette fois-ci de voir plus près les actions menées tambour battant ces dernières années par la direction générale de l’ANAIR.
Pour ce faire, l’IGE compte passer au tamis les comptes de cette agence dont l’excessive médiatisation semble de plus en louche au moment où du côté des réfugiés l’insatisfaction est générale.
Les sonnettes d’alarmes venues des sites d’accueil sur l’état de dénuement des rapatriés du Sénégal auraient mis la puce à l’oreille des pouvoirs publics. L’objectif serait cette fois-ci de voir plus près les actions menées tambour battant ces dernières années par la direction générale de l’ANAIR.
Pour ce faire, l’IGE compte passer au tamis les comptes de cette agence dont l’excessive médiatisation semble de plus en louche au moment où du côté des réfugiés l’insatisfaction est générale.
Il faut signaler que ces derniers temps, l'IGE met les bouchées doubles pour traquer les malversations. Ses limiers viennent de mettre à jour de graves affaires de filouterie au niveau de plusieurs représentations diplomatiques du pays. On parle de Madrid (61 millions UM), deLas Palmas (91 millions UM), de Jeddah (85 millions UM). La liste a tendance à s'allonger...
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