Les rebelles libyens ont pris mardi le contrôle du quartier général de Mouammar Kadhafi à Tripoli après plusieurs heures de combats acharnés, a constaté un journaliste sur place. Des centaines de rebelles ont lancé un assaut sur la résidence du dirigeant libyen trois jours après être entrés dans la capitale.
Les insurgés ont intensifié un peu plus tôt leur attaque, à l'aide de roquettes et d'artilleries lourdes, contre le complexe fortifié de Bab al Aziziah, dans le centre-sud de Tripoli. Le complexe se trouve non loin de l'hôtel Rixos où sont logés les journalistes étrangers.
Certains hôpitaux à Tripoli sont à court de médicaments et d'équipements vitaux, a affirmé de son côté Médecins Sans Frontières. Il manque aussi du personnel, a précisé l'ONG, en indiquant qu'elle est en train de renforcer son action médicale.
Les insurgés ont intensifié un peu plus tôt leur attaque, à l'aide de roquettes et d'artilleries lourdes, contre le complexe fortifié de Bab al Aziziah, dans le centre-sud de Tripoli. Le complexe se trouve non loin de l'hôtel Rixos où sont logés les journalistes étrangers.
Certains hôpitaux à Tripoli sont à court de médicaments et d'équipements vitaux, a affirmé de son côté Médecins Sans Frontières. Il manque aussi du personnel, a précisé l'ONG, en indiquant qu'elle est en train de renforcer son action médicale.
L'hôtel Rixos a pour sa part été secoué vers 11h00 par une forte explosion à proximité, créant un mouvement de panique parmi les reporters qui se sont réfugiés au sous-sol.
Des avions, vraisemblablement de l'OTAN, survolaient la ville, où des affrontements entre rebelles et forces fidèles à Mouammar Kadhafi avaient eux lieu dans d'autres quartiers non loin de l'hôtel Rixos. Les insurgés ont affirmé contrôler la quasi-totalité de la capitale.
Arrestation de Seif al-Islam démentie
Des soldats du régime étaient postés autour de l'hôtel, où sont terrés une trentaine de journalistes internationaux, et des échanges de tirs à l'artillerie lourde étaient entendus.
Au cours de la nuit précédente, Seif al-Islam, un des fils de Mouammar Kadhafi, a prouvé qu'il n'a pas été arrêté. Il se trouvait à Tripoli, où il a rencontré plusieurs journalistes. Il a notamment affirmé que le régime contrôlait la capitale, contrairement à ce que disent les rebelles.
"Je suis là pour démentir les mensonges", a martelé Seif al-Islam, dont l'arrestation avait été annoncée par les rebelles et le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) Luis Moreno-Ocampo.
Des avions, vraisemblablement de l'OTAN, survolaient la ville, où des affrontements entre rebelles et forces fidèles à Mouammar Kadhafi avaient eux lieu dans d'autres quartiers non loin de l'hôtel Rixos. Les insurgés ont affirmé contrôler la quasi-totalité de la capitale.
Arrestation de Seif al-Islam démentie
Des soldats du régime étaient postés autour de l'hôtel, où sont terrés une trentaine de journalistes internationaux, et des échanges de tirs à l'artillerie lourde étaient entendus.
Au cours de la nuit précédente, Seif al-Islam, un des fils de Mouammar Kadhafi, a prouvé qu'il n'a pas été arrêté. Il se trouvait à Tripoli, où il a rencontré plusieurs journalistes. Il a notamment affirmé que le régime contrôlait la capitale, contrairement à ce que disent les rebelles.
"Je suis là pour démentir les mensonges", a martelé Seif al-Islam, dont l'arrestation avait été annoncée par les rebelles et le procureur de la Cour pénale internationale (CPI) Luis Moreno-Ocampo.
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