Le procès de militants des droits de l’homme appartenant à l’Initiative pour la résurgence d’un mouvement abolitionniste en Mauritanie (IRA), organisation non reconnue, se poursuit àNouakchott.
Le parquet général a, dans ce cadre, requis des peine de deux ans de prison ferme à l’encontre de 8 d’entre eux, et de trois ans de prison ferme avec amende pour le neuvième, au motif d’accusation de trouble à l’ordre publique et de rebellion.
Par contre, le collectif de la défense des prévenus a demandé leur libération immédiate, jugeant qu’ils n’ont commis aucun crime mais ont contribué plutôt à l’application de la loi par leur dénonciation d’un cas d’esclavage qui doit être sanctionné.
Le parquet général a, dans ce cadre, requis des peine de deux ans de prison ferme à l’encontre de 8 d’entre eux, et de trois ans de prison ferme avec amende pour le neuvième, au motif d’accusation de trouble à l’ordre publique et de rebellion.
Par contre, le collectif de la défense des prévenus a demandé leur libération immédiate, jugeant qu’ils n’ont commis aucun crime mais ont contribué plutôt à l’application de la loi par leur dénonciation d’un cas d’esclavage qui doit être sanctionné.
C’est une action qui doit être encouragée, selon la défense, parce qu’elle s’inscrit dans le droit file des textes qui stipulent que quiconque ne dénonce pas de telles pratiques peut être taxé de complicité.
Des militants des droits de l’homme indiquent que des dizaines d’avocats des diverses communautés nationales se sont portés volontaires pour défendre la cause de leurs camarades arrêtés il y a près de deux semaines.
Des militants des droits de l’homme indiquent que des dizaines d’avocats des diverses communautés nationales se sont portés volontaires pour défendre la cause de leurs camarades arrêtés il y a près de deux semaines.
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