La crise de l’enseignement qui a duré quelques mois aurait enfin abouti à un règlement consensuel qui satisfait aussi bien les professeurs grévistes que la tutelle, mettant ainsi terme à un malaise qui a occupé sans doute les seconds rôles dans les crises qui frappent le pays, après l’impasse politique.
Selon des sources généralement bien informées, l’accord qui permettra de fermer cette triste parenthèse de l’enseignement, conclu entre les deux parties, stipule le départ des enseignants vers leurs nouveaux lieux d’affectation avant dimanche 20 janvier courant.
Cela avec la perspective du retour de 28 d’entre eux vers leurs établissements initiaux au 1er mars prochain ainsi que la mutation de deux d’entre eux vers la capitale Nouakchott et le reste vers les wilayas de leur choix en dehors de la capitale et de leurs ex structures d’enseignement.
Un accord salutaire qui doit être préservé coute-que-coute par les professeurs, toujours confrontés à une autorité déterminée à mettre en œuvre ses décisions relatives à cet épineux dossier, comme en atteste les derniers éclairages faits par le ministre d’Etat à l’éducation devant les députés, qui attribue tout le tort aux enseignants grévistes.
Selon des sources généralement bien informées, l’accord qui permettra de fermer cette triste parenthèse de l’enseignement, conclu entre les deux parties, stipule le départ des enseignants vers leurs nouveaux lieux d’affectation avant dimanche 20 janvier courant.
Cela avec la perspective du retour de 28 d’entre eux vers leurs établissements initiaux au 1er mars prochain ainsi que la mutation de deux d’entre eux vers la capitale Nouakchott et le reste vers les wilayas de leur choix en dehors de la capitale et de leurs ex structures d’enseignement.
Un accord salutaire qui doit être préservé coute-que-coute par les professeurs, toujours confrontés à une autorité déterminée à mettre en œuvre ses décisions relatives à cet épineux dossier, comme en atteste les derniers éclairages faits par le ministre d’Etat à l’éducation devant les députés, qui attribue tout le tort aux enseignants grévistes.
Source : MOML
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